Circuit Macroéconomique économie Ouverte

entre économies nationales. ? La première vague d’internationalisation (1870-1913) ; l’essor du commerce international et des investissements à l’étranger ; le rôle de la City londonienne. ? La rétractation des échanges internationaux : 1914-18 ; 1929 ; 1939-45. υ Après la seconde guerre mondiale, débute une phase d’internationalisation accélérée. ? Les taux de croissance à deux chiffres du commerce international des pays développés. ? L’ouverture croissante des économies développées

effectué un rattrapage économique souvent spectaculaire par rapport aux pays industrialisés. Quelques uns comme la Corée du sud ou Taïwan sont même parvenus à s’insérer parmi le peloton de tête des pays les plus avancés. Ce rattrapage dans une économie mondiale où les capitaux, les marchandises et les technologies peuvent se déplacer de plus en plus librement n’est pas pour surprendre l’économiste. Le capital s’investit dans les pays les plus pauvres, là où il est le plus rare et donc susceptible

nationalité Malagasy Ingénieur Statisticien Economiste Doctorant en Economie du Développement Spécialiste du Marché du Travail et du Secteur Informel SCOLARITE 2006 : Doctorant en Economie du développement Thèse « Secteur informel, microfinance et lutte contre la pauvreté : le cas de Madagascar » Université d’Antananarivo - Université Montesquieu Bordeaux IV Bordeaux FRANCE 2005 : Diplôme d’Etudes Approfondies (Master II) en Economie du développement, Mention Assez-Bien Université Montesquieu

domaine économique, et ce depuis la fin des années 1970. La question de son ouverture à l’économie mondiale se pose sur ce pays plus que d’autres moins connus et pourtant il n’a pas été toujours fermé à « l’autre monde ». La civilisation des Han a ouvert ses portes, par la route de la soie en lui permettant de nombreux échanges avec d’autres cultures, la Chine a ensuite accueilli de nombreuses influences (bouddhisme d’Inde, le Judaïsme, l’Islam), puis ce fut le commerce de l’Opium et ses deux guerres

[pic] [pic] Université de Nice Sophia Antipolis Institut Supérieur d’Economie et de Management Master 1 en Macroéconomie et Economie Internationale Année universitaire : 2010/2011 Crises et régulation financière : cas du risque systémique Membres du jury : Pr. Sandye Gloria-Palermo (Directeur) Pr. … (Rapporteur) Réalisé par : Touria ZITOUNE Résumé : Bien que les différentes crises financières puissent trouver des explications microéconomiques, l’ampleur

INTRODUCTION GENERALE  Le terme "économie" est dérivé d'un terme grec qui signifie "celui qui tient la maison". Cette origine peut sembler étrange de prime abord. Mais en fait ménage et économie ont beaucoup en commun. Un ménage doit faire face à de nombreuses décisions. Il doit décider quels membres de la maisonnée seront affectés à telle ou telle tâche et ce que chacun retirera de son travail : qui prépare les dîners ? Qui aura le dernier dessert ce soir ? Qui décidera du programme télé de

qu’elles puissent atteindre de larges pans de l’économie,. Il n’y a donc pas seulement une notion d’ampleur et de gravité dans le concept de risque systémique. Pour entrer dans le cadre de la crise systémique, il faut que le choc microéconomique ou macroéconomique (à l’origine de la crise) ait été introduit dans l’économie réelle par le biais des institutions financières. La définition de la BRI3 est claire : « il faut qu’un événement *soit+ à l’origine de pertes économiques importantes ou d’une perte de

SF a un rôle fondamental sur l'activité éco. Sans SF l'activité éco est limitée. - le prêt à intérêt est la base du système éco. 1. La finance directe. 1.1. Le circuit « court » de la monnaie. Mécanisme d'ajustement qui privilégie les financements des marchés de capitaux. La finance directe est le circuit court de la finance, elle correspond au mécanisme de cession direct de titres primaires par les agents qui ont un besoin de financement et qui constituent les emprunteurs ultimes

150 théories économiques (Petit guide de présentation) 1) Concurrence, marchés, réglementation Théorie de la capture ou économie positive de la réglementation L'autorité réglementaire est vénale et soumise à l'influence des groupes de pression. Il n'est plus le garant de l'intérêt général. La réglementation est ici analysée comme un service échangé entre les décideurs politiques et les fonctionnaires (offreurs) et les dirigeants des entreprises (demandeurs). Les offreurs cherchent à maximiser

situation actuelle 3) Une mentalité encore réfractaire à la lutte II Les conséquences de la contrefaçon : pourquoi lutter ? A : Les produits et marques victimes 1) Panorama des produits contrefaits en Aise B : Les conséquences macroéconomiques 1) Impacts pour les états 2) Les impacts sociaux C : Conséquences microéconomiques 1) Impacts pour les entreprises 2) La criminalité organisée et la corruption III La lutte contre les faux A : Prévention 1) Stratégie managériale