Circuit Macroéconomique économie Ouverte

Professeur : M. Silem Économie Générale & Comptabilité Nationale Lexique économique chez Dalloz L’économie politique chez Armand Colin (pages 1 à 269). L’économie contemporaine en 12 leçons chez Sirey Cours en ligne : Jean-Pierre Fitoussi, sciences politiques HEC Montréal Université de Genève HEC de Nantes pour la micro-économie Définitions : • La monnaie est une créance, c’est un équivalent général de toutes les marchandises dans une société donnée. • Le marché n’est pas un lieu

Christian BIALÈS 8 Christian BIALÈS LA POSITION DE CHANGE (PCH) Avoirs en une devise + Montant en cette devise à recevoir - Montant en cette devise à payer = PCH sur la devise considérée PCH = 0 Position « fermée » PCH ≠ 0 Position « ouverte » Manifestation d’une attitude spéculative + existence d’un risque de change PCH > 0 Position « longue » PCH < 0 Position « courte » Si attitude non spéculative : couverture Attente d’une hausse de la devise Attente d’une baisse de

ECONOMIE POLITIQUE. Introduction : 2eme bac droit 2009-2010. Xavier Wauthy. Intérêt du cours : crise bancaire actuelle. Nous allons voir une série d’éléments pour comprendre la crise et pour comprendre comment le monde est organisé sur le plan économique. Le type d’approche des problèmes est différent de celui abordé en droit. L’objectif est de nous proposer une lecture complémentaire de celle donnée dans les autres disciplines de la formation en bac droit. Donner des clés pour comprendre la nature

unité de compte et mesure des valeurs d’échange des marchandises. La monnaie, réserve de valeur. La fonction de liquidité de la monnaie. c/ Deux fonctions macroéconomiques de la monnaie La monnaie, instrument d’alimentation du circuit économique La monnaie, instrument de financement du circuit économique 2/ Une Approche institutionnelle ou conventionnelle de la monnaie. 3/ Les analyses économiques théoriques du statut de la monnaie dans l’économie. a/ Neutralité

Lisbonne, le Pacte de Stabilité ou encore la gestion des fonds structurel européen, a opté pour différentes stratégies par le biais de ces différentes institutions, différentes combinaisons du Policy-mix. « Le Policy mix désigne l’orientation macroéconomique à court terme conjointe de la politique budgétaire et de la politique monétaire. Son évolution traduit les choix de la politique économique au regard du contexte conjoncturel. »[2]. En 2005 la zone euro adopte donc une politique monétaire expansionniste

Marché du travail Chômage => Baisse des salaires => Baisse de la demande => Surproduction  Aggravation du déséquilibre DU RAISONNEMENT MICROECONOMIQUE Document 1 A L’APPROCHE MACROECONOMIQUE Keynes s’intéresse au fonctionnement du système économique global et adopte ainsi une approche macroéconomique, c’est-à-dire considérant que les règles qui s’appliquent et sont valables pour un acteur (la logique microéconomique) ne le sont pas nécessairement pour l’ensemble du système. En effet

monétaire. À partir de quoi, la monnaie est pensée comme la marchandise élue pour devenir « l’équivalent général » grâce auquel la Valeur trouve sa forme universelle. Notre propre conception s’oppose à Marx et à l’hypothèse de Valeur pour suivre la piste ouverte par Aristote. À nos yeux, il n’y a nulle substance derrière l’échange des biens mais seulement la monnaie et le désir illimité et unanime dont elle fait l’objet. Aussi, loin qu’il faille lire les égalités « 1 maison = 10 euros » et « 1 lit = 2 euros

continent une zone d’insécurité alimentaire endémique ; par la crise de la dette extérieure et l’échec de l’amorce d’industrialisation des décennies 1960 et 1970 ; et par la double explosion démographique et urbaine qui accentue les déséquilibres macroéconomiques tout en induisant de nouveaux rapports sociaux. S’agit-il d’une crise du régime d’accumulation, ou d’une crise des institutions de régulation libérale ? Car toutes les études prévisionnelles ou prospectives sur l’évolution du monde 3 au-delà

possible de faire appel aux marchés pour se financer directement, opérer des placements, se couvrir, ou d'utiliser des instruments financiers complexes, comme les options. Les marchés financiers sont devenus depuis les années 1980 l'un des principaux circuits de financement de l'économie, en complément des banques. Aux États-Unis, le recours aux marchés est plus répandu qu'en Europe continentale. Ils comprennent : - Les marchés d'actions, qui sont les plus connus du grand public, mais pas les plus

monétaire. À partir de quoi, la monnaie est pensée comme la marchandise élue pour devenir « l’équivalent général » grâce auquel la Valeur trouve sa forme universelle. Notre propre conception s’oppose à Marx et à l’hypothèse de Valeur pour suivre la piste ouverte par Aristote. À nos yeux, il n’y a nulle substance derrière l’échange des biens mais seulement la monnaie et le désir illimité et unanime dont elle fait l’objet. Aussi, loin qu’il faille lire les égalités « 1 maison = 10 euros » et « 1 lit = 2 euros