Cinna Dilemme

toutes les idées sont bonnes. L’étudiant de Maisonneuve est en faveur de l’utilisé comme argument. Ceux qui défendent le contraire sont soit mal informés soit trop influencés par leur société. vin point d’enseigne L’étudiant Pinville utilise le faux dilemme car il n’a que deux possibilité pour les lecteurs qui affirment le contraire de lui. Il finit après cette phrase avec un proverbe pour sous tenir son argument. Ceux qui, comme Georges W.Bush, défendent que leurs normes sont des vérités absolues sont

lequel la décision d’un joueur peut être prise en fonction des décisions et stratégies des joueurs précédents. • Les jeux finis : On dit qu’un jeu est fini lorsque l’ensemble des stratégies de chacun sont fixées à l’avance. Exemple : le Dilemme du prisonnier • ETC …

TD n°1 : La théorie des jeux * Exercice 3 : Ecriture sous forme stratégique des gains et pertes pour chaque étudiant selon que chacun avoue ou pas avoir inventé l’histoire de la crevaison. Elève 2 | Avoue | N’avoue pas | Avoue | 0/0 | 0/1 | N’avoue pas | 1/0 | 1/1 | Elève 1 (Sur la base de s’ils avouent ils perdent, s’ils n’avouent pas, ils gagnent.) * Elimination de stratégies dominées : Si 1 avoue le 2 n’avoue pas Si 1 n’avoue pas le 2 n’avoue

patriotiques Horace, personnage principal de la pièce, se distingue dés le début par son patriotisme, son héroïsme envers une situation ou il se doit de faire un choix apparemment « cornélien » (cad qui oppose la raison aux sentiments). Le dilemme auquel il se retrouve confronté lui impose un choix dramatiquement simple : fuir ou combattre. Pas un instant, il n’envisage de manquer à son devoir. Pour lui, combattre pour Rome est un devoir «saint et sacré» (v. 497). Ce sont le roi et les dieux

l’effort a+1/2*(b-a) = ½ (a+b) strictement comprit entre a et b, l’agent B continue à gagner, sous l’hypothèse que A ne dévie pas. B aurait un payoff plus élevé. On en conclut donc que s’il y existe un équilibre dans ce jeu, c’est a = b. Exemple : Le dilemme du prisonnier : Un exemple pour mettre en évidence la divergence entre l’intérêt personnel et l’intérêt collectif. Situation de deux malfaiteurs, porteurs d’armes, arrêtés aux alentours d’une banque qui vient d’être braquée, mais pour le crime qu’ils

liberté que l’homme a d’user son pouvoir pour sa vie. Il le fera selon son jugement et sa raison propres. Le problème d’action collective : Déf : Situation où la rationalité individuelle entre en conflit avec la rationalité collective. Il y a le dilemme du prisonnier : 1- Opportunisme 2- Situation idéale (Coopération) 3- Situation réelle (Absence de coopération) 4- Dupe La structure du problème d’action collective : 1- Je récolte les bénéfices, vous assumez les coûts. 2- Nous assumons

confiance des élèves, ces derniers vont être moins intéressés par leurs cours, puis ils oublieront leurs projets d’études universitaires en devenant moins ambitieux. Finalement, la société québécoise sera moins compétitive économiquement. LE FAUX DILEMME («ou bien, ou bien») Soutenir une thèse en réduisant de façon erronée le nombre d’alternatives possibles relativement à une question, à une action (souvent à deux). Souvent, on force à choisir entre une option désastreuse, très peu invitante, et une

modification du choix d’un automobiliste ne pourra que le retarder. L’automobiliste ayant connaissance des possibilités des autres automobiliste il va opter pour le chemin le plus court. Pour illustrer ce comportement égoïste, prenons pour exemple le dilemme du prisonnier qui considère deux prisonniers ayant le choix entre dénoncer l’autre et se taire, et qui montre les peines encourues dans les différents cas de figure. Se tait Dénonce Se tait (6 mois ;6 mois) (0 ; 10) Dénonce (10 ; 0) (5 ; 5) Dans

Fiche de lecture : Cinna de Corneille I. Le titre du livre, sa date de publication et de réédition Cinna (1641), éditée en 1643. Edition Univers des Lettres Bordas (réédition 1970). II. L’auteur Pierre Corneille est né en 1606 à Rouen et est décédé en 1684. Il est un des trois grands auteurs de théâtre du XVIIème siècle en France, avec Molière et Racine. Corneille, auteur baroque (L’illusion comique, 1636), donne aussi au classicisme français quelques-unes de ses plus grandes œuvres comme

un extrait d’une pièce de théâtre tragique nommée Cinna. Cette pièce a été écrite en 1641 par Pierre Corneille. Le passage étudié est une scène d’exposition où Emilie exprime dans un monologue son désir de se venger contre Auguste, l’homme qui a tué son père. Cependant, Emilie s’inquiète du danger qui pourrait s’imposer à Cinna, celui qu’elle aime, s’il répondait à sa demande de tuer Auguste pour elle. Dans cette étude, nous comprendrons le dilemme qu’éprouve Emilie à travers son monologue, et ce