Cinéma underground

et attirer le monde. Il commencera ensuite ses sérigraphies en 3D en reproduisant des boîtes de ketchup ou de la lessive. C'est entre 1966 et 1968 qu'une immense production cinématographique conjuguée et le soutien pour le groupe de rock Velvet Underground, font de lui un artiste touche-à-tout. Il devient une forme de pop star, connu et reconnu dans l’ensemble du monde occidental. Le 3 juin 1968, il échappe de peu à la mort quand une activiste qui avait confié le manuscrit d'une pièce de théâtre

Brillo (en). En 1965, il annonce officiellement qu'il abandonne l'art pictural pour des œuvres cinématographiques, mais il n'arrêtera jamais. C'est entre 1966 et 1968 qu'une immense production cinématographique9 conjuguée au soutien pour le Velvet Underground, font de lui un artiste touche-à-tout. Il découvre le Velvet en décembre 1965 et en devient le producteur10,11. Le groupe se produit souvent à la Factory. Tentative d'assassinat. Le 3 juin 1968, il échappe de peu à la mort quand Valerie Solanas

Toscane. En 1972, il s’installe à Rome et se produit dans des spectacles underground pendant quelques années. * Sa carrière : En 1975, il fait la rencontre fondamentale pour sa carrière, de Guiseppe Bertolucci qui lui écrit un monologue qui eût un grand succés. En 1977, il obtient son premier rôle dans Berlinguer « ti voglio bene ». En 1995 il connu un triomphe avec  « la vie est belle », le plus gros succès de tous le cinéma italien, il reçut l’oscar du meilleur acteur de 1998. III. Synopsis

filmé dans lequel il commente, de manière rétrospective, ses plans. Le premier article est tiré des Cahiers du cinéma, qui, à l'occasion de la rétrospective sur l'œuvre de Jonas Mekas proposée par la galerie Nationale du Jeu de Paume, propose de s'attarder quelque peu sur le travail du cinéaste. Il parle du rapprochement qu'il y aurait dans l'œuvre de Mekas « entre l'expérience de cinéma et l'exil ». Il s'agirait selon lui du même mouvement de connaissance, d'un certain rapprochement envers les choses

ouvre en 1963 la Factory dans une usine désaffectée. C'est une sorte d'atelier artistique qui sert en même temps de studio d'enregistrement pour ses oeuvres cinématographiques. C'est dans cet endroit que se produit souvent le groupe rock The Velvet Underground dont il est le producteur. C'est aussi à la Factory qu'il tourna plusieurs films expérimentaux, sans sujet ni scénario, largement improvisés. A la manière de ses toiles, ces séquences ne sont en réalité qu'une seule répétée plusieurs centaines de

TEMPS Sommaire Carte des notions............................................................................................................................................2 Douglas GORDON, Douglas Gordon Sings the best of Lou Reed & the Velvet Underground (for Bas Jan Ader), 1994. ..................................................................................................................................................3 On KAWARA, Aujourd'hui, 3 mai 2000, 2000 ; Aujourd'hui, 10 mai 2000,

.. « Restons ici, tout est ici. Voici New York. Voici le centre du monde. Ce serait idiot d'aller à Chicago alors que nous sommes à New York. » C'est ainsi que va démarrer la «deuxième vie» de Jonas Mekas, celle de l'exilé involontaire dont le cinéma va devenir la patrie. Durant les premières années, Jonas Mekas exerce toutes sortes de métiers en tant qu'ouvrier (confection, plomberie, nettoyage...), puis jusqu'en 1958 il est opérateur chez Graphic Studios. Il consacre tout son temps libre

concrets. Il réalisa plusieurs musiques et conceptions pour des films et des vidéos. En tant que théoricien, il ouvrît un domaine neuf : l’étude systématique des rapports audiovisuels. Il publia différentes revues sur divers sujets de musique et de cinéma notamment sur Pierre Henry et François Bayle. Sa musique témoigne de l’humain autant dans ses dimensions corporelles que spirituelles, dans ses vides et ses contradictions. John Cage : 1912 - 1992 Compositeur hors pair. Au début de son

BOUKOUS Politiques publiques de l’artisanat : esquisse d’un bilan, Saïd CHIKHAOUI La littérature carcérale marocaine : état des lieux et perspectives de développement, Abdeslam EL OUAZZANI Le cinéma au Maroc – Etats des lieux, Mohamed GALLAOUI Etat de la culture Amazigh après 50 ans d’indépendance (théâtre, cinéma-video, roman, poésie), Abderrahmane LAKHSASSI La création visuelle au Maroc depuis l’indépendance, Mohamed METALSI L’édition dans le Maroc indépendant : 1955-2003, état des lieux, Mohamed SGHIR

INTRODUCTION Le cinéma est un art du spectacle, il expose au public un film, c’est-à-dire une œuvre composée d’images en mouvements projetées sur un support. Depuis son invention, le cinéma est devenu a la fois un art populaire, un divertissement, une industrie et un média. Il peut aussi être utilisé a des fins de propagande, de recherches scientifiques ou de pédagogie. En français, il est couramment désigné comme le « septième art ». Une succession de 24 images va reproduire les mouvements