Châtiments Stella

timides réformateurs se heurtent à cette évidence, adoucir les cruautés de l’incarcération s’oppose forcément à son principe : elle est une peine, elle est faite et uniquement faite pour punir le coupable, pour lui être pénible. Pourquoi punir ? Le châtiment s’ancre dans l’histoire la plus archaïque de l’humanité,celle des terreurs suprêmes que les hommes ont traduites en dieux et déesses au cœur démoniaque. Pas une religion pour sauver l’autre lorsqu’il est question des supplices réservés aux damnés

pouvoirs ; Il a le droit de vie ou de mort sur sa famille. Les châtiments corporels sont un moyen habituel dans la Rome antique pour faire obéir les enfants. La violence existe dans le cercle familial mais aussi dans la société en générale notamment dans le milieu pédagogique (Horace surnommait sont précepteur « Oribilius le frappeur ».Avec la christianisation, le rôle du père va diminuer, le droit des enfants s’accroitre mais le châtiment corporel sera encore valorisé par la société. C’est à la fin

œuvres sont: Poésie:       Odes et ballades  (1826),      Les Orientales  (1829),      Les feuilles d'automne  (1831),      Les chants du crépuscule  (1835),      Les voix intérieures  (1837),      Les rayons et les ombres  (1840), Les châtiments  (1853)       Les contemplations  (1856), La légende des siècles  (1859,1876,1883)      Les chansons des rues et des bois  (1865)      L'année terrible  (1871),      L'art d'être grand-père  (1877),      Les quatre vents de l'esprit  (1881) 

« Lux » est le dernier poème des châtiments. L’ensemble de ce poème revient sur ce qui est fondamental dans la pensée de Victor Hugo. On distingue cinq parties, chacune d’entre elle pourrait porter un nom car chaque partie renvoie à un thème particulier, la première partie correspond à La réconciliation universelle, la deuxième à une réelle harmonie retrouvée, enfin la troisième renvoie à la question de dieu essentiellement, puis les deux dernières parties s’attardent sur l’avenir, l’espoir

|Evolution dans la seconde partie du roman avec apparition de |Mais évolution de la religion dans l’œuvre : tout d’abord religion qui punit (II, 3): | | |l’aumônier = religion est liée à idée de mort, religion |la peste est un châtiment divin. Image d’un Dieu vengeur qui correspond à peu près aux | | |accompagne dans la mort. |visions obscurantistes de la religion. Vision de Paneloux qui s’adoucit ensuite (IV, | | |Meursault refuse

que son père, qui en était partisan, assista un jour à l’exécution publique d’un criminel, qu’il en vomit de dégoût toute l’après-midi et devint abolitionniste...           Je souhaite exposer ici pourquoi je trouve que la peine de mort est un châtiment inutile, illogique, cruel et inhumain. 1. La peine de mort est inutile. a- Ses partisans avancent souvent l’argument de l’exemplarité : cela dissuaderait les assassins. Notons tout de suite que toutes les études prouvent le contraire : l’abolition

pirates. Les futurs pirates étaient tentés par la perspective de gagner facilement beaucoup d'argent. Un pirate qui s'était mal conduit pouvait s'attendre à de gros ennuis. Pour tous les marins la flagellation était la punition la plus courante. Autre châtiment typique: on bourrait la bouche d'un homme d'étoupe noire (des bouts de cordage goudronnés), à laquelle on mettait le feu. De nombreux supplices du genre étaient imposés aux pirates qui ne suivaient pas les règles. Pour se détendre après une journée

les comportements de la population. Les habitants ont des difficultés à communiquer avec leurs proches qui sont à l'extérieur et tentent de surmonter tant bien que mal les difficultés de l’enfermement. Le père Paneloux dit que l’épidémie est un châtiment divin et appelle ses fidèles à réfléchir sur cette punition dirigée contre ces hommes sans esprit de charité. Tarrou, fils d'un procureur et étranger à la ville fait preuve de courage et se tient à la disposition de Rieux pour organiser le service

beau. Il utilise la figure de style qui’on appelle antithhése (contraste): * Dieu/ Satan * Beaute/ Laideur * Jour/Nuit XVII ième siècleLa fonction du poète selon Malherbe | XIX ièmeLa fonction du poète selon Hugo | OEUVRES: Les Châtiments : recueil de poésies satiriques contre Napoléon III, il le exile pour 19 ans. Les contemplations : recueil de poésie dédies à sa fille aînée Léopoldine noyée a 19 ans avec son mari. Hernani : pièce dramatique, La bataille d’Hernanià avant

Il franchit ici l’étape ultime du défit. C’est pourquoi le dénouement clôt la pièce à partir de la scène 4 en mettant en scène son châtiment devant le seul Sganarelle. Comment un dénouement de comédie peut-il clore un sujet aussi sérieux ? Dénouement comme fin de la pièce, mélange des genres. I- Dénouement comme fin de la pièce a) De l’avertissement au châtiment A la scène 4, Sga est scandalisé par la nouvelle attitude de son maître, hypocrite il l’affronte «  quel diable de style prenez