Chevalement

se développent à proximité des bassins houillers, ce qui explique éclatement des communes. • les vestiges des bassins houillers  - terrils (Bruay, Nœux-les-Mines, Lens) : monticules formés par entassement des déblais d’une mine - chevalement (Liévin) : charpente élevée permettant la descente et la remontée des mineurs ainsi que la récupération du charbon extrait des mines. • les caractéristiques des cités ouvrières (habitats) - les cités ouvrières sont situées généralement

partir du moment où l’on savait transformer le charbon de terre en coke, on avait trouvé un combustible presque inépuisable pour traiter le minerai de fer. Quand on y ajouta la machine à vapeur permettant d’attiser la braise des fourneaux, les chevalements des houillères et les cheminées des usines sidérurgiques poussèrent de plus en plus haut dans les régions où l’on trouvait du charbon. La main d’œuvre se précipitait dans les nouveaux centres industriels ; en quelques années de petits villages

tricot est formé donc, de longues mailles régulières. A l'endroit, une petite maille presque invisible alterne en hauteur avec une maille arrondie, très en relief, qui est à l'origine . 2. Les tricots chevalés sont formés grâce à la technique de chevalement : déplacement latéral d'une fonture par rapport à l'autre tout en conservant le même écartement entre les aiguilles AV et AR. Pour obtenir un effet varié soit sur les deux faces ou sur une seul faces. 1. Comme conclusion, nous pouvons dire

béton ou plus anciennement en bois) supportant en son sommet deux molettes (poulies) sur lesquelles passent les câbles d'extraction (historiquement plats puis ronds). Le bâtiment de recette, un bâtiment qui entoure le puits et se trouve sous le chevalement. C'est dans ce bâtiment qu'ont lieu toutes les manutentions autour du puits (déversement des berlines contenant du charbon où des déblais, changement des cages, des cuffats où des bennes, descente du personnel, du matériel où encore des chevaux)

du Nord-Pas-de-Calais. Il utilise naturellement le vocabulaire minier de cette région. Vous trouverez ici les correspondances avec celui du bassin de la Loire. Briquet (à Saint-Étienne : la portion) : casse-croûte Beffroi (à Saint-Étienne : le chevalement) : structure en bois ou en métal élevée au dessus du puits pour relier les cages à la machine d'extraction. Berline (à Saint-Étienne : benne) : wagonnet utilisé à la mine pour le transport du charbon, du bois, des remblais. Coron : ensemble de

deux au chemin de fer pour assurer le transport des hommes et des matériaux. L’eau est présente tout autour de l’installation : elle est essentielle. On observe le même type d’organisation à L’hôpital avec la succession de différents puits (avec chevalement) tout au long de la ligne de chemin de fer (Puits Neuf, Puits six, Puits de Peyemirhoff) . Mais la carte ancienne ne nous donne pas l’intégralité des informations, puisqu’elle arrête en 1922 ; Or la construction des puits ne s’est terminée qu’en

ne sont guère appréciés par les locaux. Le mineur arrive au point du jour, vers cinq heures, à la mine. Il y a parfois une longue distance à parcourir du domicile à la mine. De loin, il aperçoit la bouche d’extraction, le " jour ", que le " chevalement ", en bois d’abord puis en fer, surmonte afin de la rendre visible. Le mineur pénètre dans la " recette ", vaste pièce où il possède un casier. Il s’y change. Il reçoit sa lampe du lampiste. La lampe est garnie, allumée et fermée à clé. Le mineur

l’univers « Gastronomie d’ici et d’ailleurs ». L’objectif est de faire découvrir la saveur de la viande chevaline et d’en rappeler les bienfaits pour l’Homme. Notre stand sera organisé de la manière suivante : * 15m2 réservé aux animations enfants « Chevalement bon » o Dégustation de plats à base de viande chevaline o Animation expliquant les différents morceaux de viande bons pour la santé o Petit film retraçant le rôle du cheval à travers les époques. Forte sensibilisation au fait qu’il y ait différents

mine, un espace dans lequel se trouvent toutes les installations de l’exploitation : des bâtiments industriels, les bureaux de l’administration, des chaudières et des cheminées, des ateliers, des usines pour les sous-produits du charbon, et les chevalements qui soutiennent deux gigantesques poulies autour desquelles s’enroulent des centaines de mètres de câbles d’extraction, au bout desquels est accrochée la cage. Un quart du personnel travaille à la surface, notamment à la réception du charbon qui

bassin minier du Nord pas de Calais en activité. C'est en 1930 que démarre l'exploitation des fosses 9 / 9 bis et 10. Elles fermeront le 21 décembre 1990. Le site a été classé monument historique permettant la préservation du bâtiment et des deux chevalements. Quant au 170 ha de terrain alentours, ils sont protégés en tant qu'Espace Naturel Sensible. Aujourd’hui se pose la question de la reconversion du carreau de Oignies, c'est à dire de l'ensemble des installations de surface de l'ancienne mine