Chateaubriand Voyage De La Grèce

lui insuffle une grande ferveur religieuse. Ferveur religieuse renforcée par les années qu'il passe au collège de Belley, pendant lesquelles il lit Chateaubriand, Virgile et Horace. Après avoir fini ses études, ne désirant pas servir l'usurpateur, il mène une vie de gentilhomme campagnard (1808-1811). Il écrit de la poésie chrétienne, et entame un voyage en Italie (1811-1812) pendant lequel il rencontre une jeune napolitaine qui lui inspirera Pour Graziella (1849). Il devient garde du corps de Louis

« Harmonies Poétiques et Religieuses ».L’action philosophique et politique  : · Le Voyage en Orient : Lamartine entreprend un voyage aux Lieux Saints pour raffermir sa foi et enrichir son inspiration épique. Il visite la Grèce, le Liban et le Saint Sépulcre à Jérusalem (tombeau du Christ). La mort de sa fille lui fait perdre sa foi. Il relate sa nouvelle pensée religieuse dans « Le Voyage en Orient », qui se précisera dans ses œuvres suivantes.· Lamartine député : il devient l’un des

secrétaire d'ambassade à Florence et publie Les Harmonies Poétiques et Religieuses. 1832 : visite la Grèce, le Liban, va jusqu'au Saint-Sépulcre pour raffermir ses convictions religieuses. La mort de sa fille lui inspirera Gethsémani. 1833 : élu député (jusqu'en 1851). 1848 : tête de file des révolutionnaires (il était jusqu’alors connu pour s’être rallié à la monarchie de Juillet). (+ Le Voyage en Orient, Jocelyn, et La Chute d'un Ange) 1869 : mort à Paris, deux ans après une attaque l'ayant

Introduction Ce roman inspiré des voyages de Chateaubriand en Amérique raconte le parcours d'un vieil indien qui, d'abord fait prisonnier par les Français, s'évade avec l'aide d'Atala, une jeune indienne. Atala, déchirée entre son amour pour l'indien et son vœu d'entrer en religion se donne la mort. Les descriptions de la nature, l'ambiance mystique et les personnages complexes font de ce roman l'une des œuvres fondamentales du romantisme. II) Biographie de Chateaubriand ( 1768-1848) Ecrivain français

Correspondance picturale Callet, L’Embarquement des Parganiotes •Adolphe-Apollodore Callet (1799-1831), L’Embarquement des Parganiotes (Salon de 1827) Les peintres qui exposent au Salon de 1827 sont très engagés en faveur de l’indépendance de la Grèce. L’épisode représenté ici se situe en 1819 (Stendhal, La Chartreuse de Parme, I, 3, 1839) Correspondance picturale Géricault, Officiers de chasseurs de la garde impériale chargeant L’exaltation des sentiments Bonheur, nature, amour, rêve, liberté

voyageurs à faire récit de leur périple. Les récits de voyage du XVIe au XXe siècle Hérodote : une figure tutélaire (paternel) Écrivains du XVIe n'ont inventé genre du récit de voyage. Dès Ve av J-C., 1er à parcourir monde grec est grand historien Hérodote, afin d'observer mœurs et coutumes d habitants de Perse, Égypte / Babylonie. Ses commentaires sont rapportés dans Enquêtes, histoira en grec, mot qui a donné « histoire ». Le voyage humaniste « Voir puis savoir ». Au XVIe, si totalité

proclame lui-même dans un de ses poèmes célèbres. Tiraillé entre une mère royaliste et un père, général dans l’armée de Bonaparte, futur Napoléon 1er, Victor Hugo sait très vite qu’il veut devenir écrivain puisqu’en 1816, il dit « je veux être Chateaubriand ( grand écrivain pré-romantique) ou rien ». Il va devenir chef de file d’un nouveau mouvement, le Romantisme. Cédant à la mode et au goût de ses contemporains pour l’exotisme oriental, il publie en 1828 un recueil de poèmes Les Orientales

foi et quelques fois avec raison. Pourquoi avec raison ? En grande partie parce que si son œuvre et son grand cœur sont peu contestables, il a, dès le début, mis sa vie en scène comme une pièce de théâtre. Son affirmation enfantine : « Je serai Chateaubriand ou rien », n’a pas tardé à devenir : « Je serai Victor Hugo ou rien », Et il a écrit « live » « une vie de Victor Hugo ». Sensible aux honneurs, il a été pensionné dès l’âge de 20 ans par l’Ancien Régime, Pair de France sous la Monarchie de Juillet

cette sélection de dix textes, Adieu !, poème dont la voix ne peut révéler la forme en acrostiche : « Adieu ! L’amour est libre, il n’est jamais soumis au sort O Lou, le mien est plus fort encor que la mort Un cœur, le mien te suit dans ton voyage au Nord Lettres ! Envoie aussi des lettres ma chérie, On aime en recevoir dans notre artillerie Une par jour au moins, une au moins, je t’en prie Lentement la nuit noire est tombée à présent On va rentrer après avoir acquis du zan, Une,

de quitter prématurément. La Nature sous des formes diverses : la forêt, la mer, la montagne, la tempête, le soir, la lune, le désert, l’automne et la ruine est abondamment exploitée par Rousseau dans La Nouvelle Héloïse, Lamartine avec Le Lac, Chateaubriand avec Mes joies de l’automne et sont même peints, notamment par Gustave Courbet ou Delacroix. De cette Nature naît un sentiment nouveau : l’association d’un spectacle à un sentiment souvent triste (Le Lac). L’homme entretient donc un rapport étroit