Château de la Belle au bois dormant

Un château est à l'origine une construction médiévale destinée à protéger le seigneur et à symboliser son autorité au sein du fief. Les premiers châteaux étaient construits en bois souvent sur une élévation de terre (motte castrale ou féodale), puis en pierre afin de résister aux nouvelles armes de guerre. On les appela les châteaux forts. À la Renaissance, les rois de France, bientôt imités par leurs vassaux, décidèrent de construire ou d'aménager leurs châteaux non plus pour la défense, mais pour

Les formules de clôture. page 50 - Les substituts lexicaux. page 51 L’accord de l’adjectif qualificatif. Page 42 Les homophones grammaticaux: ce/se ; ces/ses; c’est/s’est Page 53 « La belle au bois dormant. » Page 45 « L’Arbre entêté. » Page 48 « L’Arbre entêté. » Page 49 « La belle au bois dormant. » Page 57 Professeur : Melle. Djahara Sihem Directrice : Mm. Ben Mbarak Sakina Tkouti Inspecteur : Mr. MATALLAH LAHCENE p48 physique relizane www.physique48.org Niveau : 2.AM

(Favart) C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le chœur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susurre, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. 1 Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont s'exhale l'humble antienne

langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le choeur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susure, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. Cette âme qui se lamente En cette plainte dormante, C'est la nôtre, n'est-ce pas ? La mienne, dis, et la tienne, Dont

et mystère et où le temps ne s’écoule pas à la même vitesse que sur Terre. Mais elles peuvent aussi habiter tout près des hommes dans des endroits cachés ou au contraire à la vue de tous. Leurs habitations vont de la sombre caverne au merveilleux château. Elles aiment certains lieux comme les sources, les fontaines, les rivières, les dolmens, les menhirs. Leur vie est beaucoup plus longue que celle des humains mais elles n’auraient pas d’âme immortelle contrairement à ces derniers. Activités

de l’adjectif qualificatif. Page 42 Je rédige le portrait moral et physique du personnage de mon conte. page43 « La belle au bois dormant. » Page 45 Consolidation des acquis. « exercices » Les homophones grammaticaux: ce/se ; ces/ses; c’est/s’est Page 53 Je rédige la situation finale de mon conte. Page 55 « La belle au bois dormant. » Page 57 Le passé simple de l’indicatif. Page 28 Inspecteur : Mr. MATALLAH LAHCENE p48 physique relizane www.physique48

un miroir magique et qui se vantait d’être la plus belle. Lorsque Blanche-Neige devint plus belle qu’elle dit le miroir, la reine devint jalouse d’elle et ordonna à un garde de la tuer. Le garde abandonna Blanche-Neige dans la forêt et lui dit de s’enfuir. La jeune fille, errant dans le bois, aperçut une chaumière et y entra. Des nains y entrèrent quelques heures plus tard et l’accueillirent parmi eux. La reine belle-mère, apprenant que sa belle-fille avait survécu, la retrouva, prit la forme d’une

Charleroi 12. Bruxelles. Simples fresques. 13. Bruxelles. Chevaux de bois. 14. Malines 15. Birds in the night Aquarelles 16. Green 17. Spleen 18. Streets 19. Child wife 20. A poor young shepherd 21. Beams | ARIETTES OUBLIÉES | C'est l'extase langoureuse Le vent dans la plaine  Suspend son haleine.  (Favart) C'est l'extase langoureuse,  C'est la fatigue amoureuse,  C'est tous les frissons des bois  Parmi l'étreinte des brises,  C'est, vers les ramures grises,  Le choeur

ramée, La mousse, et, dans les noeuds des branches, les doux toits Qu'en se superposant font les feuilles des bois. Ainsi fait l'oiseau. Nous, nous cherchons, dans la ville, Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille, Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants, La rue où les volets sont fermés ; dans les champs, Nous cherchons le sentier du pâtre et du poëte ; Dans les bois, la clairière inconnue et muette Où le silence éteint les bruits lointains et sourds. L'oiseau cache son nid

chevalier : A 7 ans le futur chevalier quitte le château paternel pour se rendre chez un feudataire et se mettre à son service. Pendant quelques années, il est tour à tour page, puis écuyer, portant sur le champ de bataille l’écu et le bouclier de son maître. Les devoirs de l'écuyer consistaient à cirer l'armure et les armes (sujettes à la rouille), aider le chevalier à se vêtir et à se dévêtir, veiller sur ses biens et même le protéger en dormant devant la porte tel un garde. Au cours de tournois