Charme

L'amour me fait ici chercher une inhumaine. Mais qui sait ce qu'il doit ordonner de mon sort, Et si je viens chercher ou la vie ou la mort ? Pylade Quoi ? votre âme à l'amour en esclave asservie Se repose sur lui du soin de votre vie ? Par quel charme, oubliant tant de tourments soufferts, Pouvez?vous consentir à rentrer dans ses fers ? Pensez?vous qu'Hermione, à Sparte inexorable, Vous prépare en Epire un sort plus favorable ? Honteux d'avoir poussé tant de voeux superflus, Vous l'abhorriez

époque, la femme a été l'inspiratrice, la muse d'une multitude de poètes. Jusqu'à aujourd'hui il est resté le plus beau et le plus inépuisable des sujets. La femme par sa beauté incontestable, sa grâce, sa douceur, son élégance, sa sensualité, ses charmes, a été comparé à tout les plus beaux trésors dont regorge notre monde. Évocatrice d'admiration, de fougue, d'amour passionnel, de désir ardent,elle a été sublimée par la plume des plus grands poètes. Amis lecteurs je te présente dans cette anthologie

l’admiration générale des personnes qui fréquentent la cour et qui sont de belles personnes. En plus d’être « une beauté » comme l’a souligné le narrateur plusieurs fois, elle est aussi « une des plus grandes héritières de France. » ce qui rajoute à son charme. La phrase « le vidame alla au-devant d’elle ; il fut surpris de la grande beauté de Mademoiselle de Chartres » montre bien qu’elle est certainement un des plus belles femmes de la cour. De plus, les critères de beauté sont propres à chaque personne

lui affirmant qu'il est ravi et qu'il n'a jamais vu personne aussi charmante. Il décrit cette rencontre : agréable.  Il insiste également sur le fait qu'une paysanne comme elle ne devrait pas finir ses jours dans un milieu tel que celui ci, ce qui charme et embarrasse la jeune Charlotte. Enfin pour venir à bout de sa résistance, Dom Juan abuse de ses allures de gentilhomme pour paraitre sincere. Il lui déclare n'avoir jamais eu la moindre pensée de la trahir. Charlotte accepte alors, d'etre sa femme

Cas pratique 1 Blanche , 15 ans ,a fait des photos de charmes . Cette dernière donne son autorisation au journal intimité 0 pour les publier . Sa mère estime que ces clichés nuisent à l’avenir de sa fille souhaite intervenir . Nous sommes en matière de cession au droit à l’image Un journal peut-il publier des photos de charmes d’une mineur , avec comme seule autorisation celle de cette dernière ? Selon l’article 9 , alinéa 1 du Code civil : «Chacun à droit au respect de sa vie

discours direct de la femme = le pouvoir érotique · détentrice d’un savoir vers 5- 6 « Moi, je » : mise en valeur du pronom personnel complément, tournure emphatique = elle veut charmer et attirer le regard : orgueil démesuré (fin du discours avec « moi » !) « lèvre humide »  : allusion érotique « je sais la science » /« docte »v.11 : détentrice d’un savoir mystique, magique, surnaturel

les yeux ! " ) 2) Un besoin de liberté avec " toutes les femmes " ( "Toutes les belles ont droit de nous charmer" ) 3) C/ L'amour 1) Le pouvoir de la séduction ( Il a un sentiment de contrôle sur la femme par la séduction ) 2) Le pouvoir qui passe par le regard ( Champ lexicale de la "vue" très présent ex: "yeux" ,"voir" , " vois" etc ... ) 3) Position de victime ( Il subit les charmes "inexplicables" des femmes selon lui ) II/ Le portrait d'un Dom Juan libertin A/ Un provocateur

Tu prépares pour l'apaiser, A l'habitant de mes pensées La nourriture d'un baiser, Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d'être et de n'être pas, Car j'ai vécu de vous attendre, Et mon coeur n'était que vos pas. Paul Valéry - Extrait de Poésies - Charmes - éd. Poésie/Gallimard Extrait du commentaires : En rhétorique, un métasémèmes est une figure affectant le sens des mots : il s’agit donc d’un terme assez proche du trope (figures repérables et isolables dans un fragment d’énoncé, qui peut se

devient nuisible il oubli presque entièrement l'exemple de la chasse elle devient une maladie lecture= charme/sorcellerie opposition peu t beaucoup (parallèle qui marque cette maladie , le monde réel est envahie par cette imaginaire , la fiction est une sorte de charme et finalement le personnage est prisonnier de la lecture , il est comme prisonnier de se charme , douleur lié a se charme qui n'est plus forcement un plaisir mais une douleur «la torture» , il essayant de décortiquer un monde qui

mirage, plus on s’en approche plus on s’en éloigne. Pour Proust, elle est d’abord un rapport au monde, et la mémoire seule l’archive. Il n’est pas possible de décrire instantanément la poésie que dégage un être («la mystérieuse lumière, le petit charme, la petite couleur» de Mme de Guermantes dont il fait référence), car elle ne se révèle qu’à posteriori, par un effet de contraste. Le passage est construit suivant une métaphore filée de la lumière et de l’éclipse («la petite lumière se rallume»