Charles X

Eugène Delacroix Liberté guidant le peuple Artiste : Eugène Delacroix Année : 1830 Catégorie : Huile sur toile Dimension : 260 cm x 325 cm (102,4x128,0 en dedans Emplacement : Louvre-Lens Description Liberté guidant le peuple est une peinture par Eugène Delacroix commémorant la révolution de Juillet de 1830, qui a renversé Charles X de France . Une femme personnifiant la liberté conduit les gens vers l'avant sur ​​les corps des soldats tombés au combat, tenant le drapeau de

politique menée par Charles X tous comme le reste des doctrinaires. Il est très attaché à la monarchie et à la charte mais il défend plus l’équilibre en absolutisme et héritage de la révolution. Lorsque la période des cent-jours commence c’est-à-dire au retour de Napoléon Ier, il s’oppose à l’idée que partage les conservateur royaliste qui sont restée fidèle à Louis XVIII. Il rejoint donc les rangs de l’opposition et devient un critique des institutions. Durant le règne de Charles X, il devient un opposant

deux symboles sont donc singulièrement opposés. En arrière plan se trouve une barricade, signe de résistance mais surtout le peuple, triomphant et levant au ciel baïonnettes et drapeaux 2 ) Sens et Signification Les Trois Glorieuses obligent Charles X à fuir Paris et peu après, les Chambres proposent comme souverain Louis-Philippe d'Orléans qui hésite mais accepte finalement. Ce tableau témoigne de ce sacre et de celui par ailleurs de la Nation. On assiste à une véritable poussée démocratique

Révolution à Paris — est roi de France et de Navarre (1774-1791), puis roi des Français (1791-1792). Louis XVI est le fils de Louis de France et le petit-fils de Louis XV auquel il succède en 1774. Il est le frère aîné des futurs rois Louis XVIII et Charles X Il devient Dauphin en 1765, par la mort de son père. Biographie Marie Antoinette : Maria Antonia Josepha Johanna de Habsbourg-Lorraine, plus connue sous le nom de Marie-Antoinette d'Autriche ou Marie-Antoinette de France (Vienne, 2 novembre 1755

partisan du légitimisme, de la légitimité, qui défend l'ordre établi, le pouvoir en place ou une dynastie.En France, au XIXe siècle on appelle "légitimistes", les royalistes partisans du droit au trône de la branche aînée des Bourbons, représentée par Charles X, par opposition aux orléanistes, partisans de Louis-Philippe et de ses descendants. Ils soutiennent la candidature de l'héritier telle que le prévoient les lois fondamentales de succession "de mâle en mâle par ordre de primogéniture" et d'indisponibilité

napoléonien, la monarchie est restaurée. Dans un premier temps, la restauration ne remet pas en cause les acquis de la Révolution Française de 1790. Louis XVIII organise une sorte de royauté à l’anglaise (où le parlement à plus d’importance). En 1824, Charles X lui succède, avec des phases extrêmement réactionnaires (retour vers le passé où la monarchie avait plus de pouvoir). Il ne vient pas à bout des opposants et, en 1830, La Révolution de juillet (les Trois Glorieuses) le chasse. La Monarchie de juillet

durant l'évènement historique des Trois Glorieuses. Les Trois Glorieuses sont les trois journées révolutionnaire du 27, 28 et 29 juillet 1830. Cette révolte armée est une réaction du peuple aux ordonnances signées par Charles X, le 25 juillet 1830 qui limitent les libertés. Charles X perd son trône et s'exile en Angleterre. Le duc d'Orléans devient Louis-Philippe 1er et fonde la Monarchie de Juillet, qui donne le pouvoir à la haute bourgeoisie française. Elle durera jusqu'en 1848. Durant cette période

Nathan-Université, 1991, p. 21). Stendhal (1783-1842) se vante d’avoir su le premier « faire le portrait de ces mœurs si peu aimables qu’a données à la France et singulièrement à la province française le gouvernement de Louis XVIII (1755-1824) et de Charles X (1757-1836) ». Il a donc décrit en 1829 et publié en 1830 (révolution de Juillet et avènement de LouisPhilippe) « l’état d’une France grave, morale, morose, que nous ont léguée les Jésuites, les congrégations et le gouvernement des Bourbons de 1874

1. Titre : la liberté guidant le peuple Auteur : Eugène Delacroix Année : 1830 Dimensions : 260 cm x 325 cm Types : Huile sur toile Localisation : Musée du Louvre, Paris 2. Les Couleurs : il y a peu de couleurs froid mais surtout de couleurs chaudes La lumière provient de l’arrière-plan derrière l’allégorie Le premier plan est composé de plusieurs hommes tués durant la révolution, ils ont teint le blafards. Les hommes sont dos contre terre, il donne au tableau une dimension

départementales et municipales, interprétation de l'article 14 de la Charte[3]. Aucune de ces réformes, même la dernière, ne suppose stricto sensu de révision constitutionnelle. Le lieutenant général conclut en communiquant aux Chambres l'abdication de Charles X et de son fils. Cette nouvelle ne manque pas d'inquiéter tous ceux qui espèrent un véritable changement de régime, car elle laisse entrevoir le strict maintien de la Charte au prix d'une simple succession dynastique faisant passer la couronne d'une