Charles Perrault Les Fées

Cette histoire a-t-elle suscité de la peur en vous ? Expliquez. ………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………. 2. Lecture de Les Fées de Charles Perrault a) Déterminez dans quel type d’univers se déroule cette histoire : univers réel ou irréel ? Justifiez votre réponse. ………………………………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………….

fille aînée, et ils les emportèrent au cœur de la forêt. Quant à Dorothée, elle suivit son prince dans un lointain royaume. Et s'ils ne sont pas morts, c'est qu'ils vivent encore! Ann Rocard, Contes d'Europe, ed. Lito, 1999 III. Les fées: conte de Perrault Il était une fois une veuve qui avait deux filles; l'aînée lui ressemblait si fort et d'humeur et de visage que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu'on ne pouvait vivre avec elles

belle ? Elle se rendit au bal dans un carrosse doré. Gepetto n’en crut pas ses yeux lorsqu’il se réveilla... Mais à peine avait-il commencé à frotter la lampe... Français – TP2 3 Étape : 1) Introduction + 2) Conte à la loupe : « Les fées » Grand point de la leçon : Petite histoire littéraire + la situation initiale Méthode Matière 3 minutes MA / TC 5 minutes MA / TC Je lis moi-même l’encadré à voix haute et m’arrête sur

173)=> Perrault: il écrivait les contes à la fin de sa vie. (genre mondain: 180) un retour au plaisir narrative, simple et bref. Mais il s’agit en fait d’adaptions élaborées. Perrault instaure une complicité avec son lecteur en ironisant sur les crédulités populaires. Le conte est donc, malgré les apparences, un genre mondain, car il suppose une connivence entre lettrés, même s’il s’adresse en principe à des enfants. + modernes : l’imitation n’est pas bonne les anciens Un conte de fées est un

s’appliquer à de simples mortels, comme vous et moi, » Bettelheim, psychanalyse des contes de fées ; Robert Laffont 1976. Le mythe requiert la croyance dans la société où il a cour. D’autre part, la conclusion, dans les mythes, est presque toujours tragique alors qu’elle est presque heureuse dans les contes merveilleux (sauf pour le Petit Chaperon Rouge de Perrault que Bettelheim ne considère pas comme un conte de fées, mais comme un conte de mise en garde essentiellement pour cette raison. Le mythe

PSYCHANALYSE DE CONTES DE FEES I/ Généralités a) Définition Récit commençant par « Il était une fois », c’est une histoire teintée de merveilleux, magie où interviennent des fées, rois, princesses, sorcières, dragons et qui enchante l’enfant. La fin est généralement heureuse. b) Origines La littérature ne sait pas qui a inventé le premier conte de fée mais on sait en revanche que Charles PERRAULT a été le premier à les transcrire. Il le faisait dans le but d’amuser la cour du Roi au XVIIème

contes de fées, à l’aspect effrayant, se nourrissant de chair humaine. (Un appétit d’Ogre) 2ème définition : fam. Homme effrayant. On retrouve dans la mythologie grecque, Kronos qui fait figure d’ogre : il mangeait ses propres enfants de peur que ceux-ci lui prennent son trône. Il y a aussi le cyclope Polyphème, fils de Poséidon, qui mangea plusieurs compagnons d’Ulysse dans L’Odyssée. Dans la littérature classique, on trouve l’ogre du Petit Poucet dans le conte de Charles Perrault. L’Ogre avait

refléter l’…………………. du personnage, pour ce faire, on emploie des verbes de paroles . (Par exemple : « Chut ! Tu vas réveiller les enfants ! » murmura maman. ). Exercices. 1. Corrige ce dialogue . Les fées, Charles Perrault. La bonne femme ayant bu, lui dit «  Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don ( car c'était une fée qui avait pris la forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté

commun : la vraisemblance. C’est ce qui fait que le public s’intéresse au livre. Presque tous abordent le sujet des êtres humains, relient des événements concevables de façon logique. Malgré leurs apparences, L’Assommoir d’Emile Zola et Les fées de Charles Perrault sont assez similaires dans le sens où leurs histoires sont plus ou moins possibles : toutes traitent d’être humains, d’amour, de valeurs… Enfin, quel que soit le choix de l’auteur, son roman abordera forcément l’imaginaire et le réel, car

également qu'il faut rester courtois avec n'importe quelle personne quelle que soit son apparence. ------------------------------------------------- Le titre[modifier] Le titre du conte fait référence aux versions orales, où figuraient deux fées. Charles Perrault n'en a gardé qu'une. ------------------------------------------------- Influences[modifier] Dans les Contes de la rue Broca, Pierre Gripari reprend ce conte en le modifiant légèrement : la fée du robinet fait cracher des perles à la méchante