Charles-Augustin Coulomb

international: Karl MARX (1847 Le Manifeste communiste ; 1867 Le Capital ; 1864 la première Internationale ouvrière à Londres). Le progrès scientifique. Louis PASTEUR (1822-1895). Les travaux de Pierre et Marie CURIE sur le radium. L’évolutionnisme de Charles DARWIN. Le prestige de la science rayonne aussi sur la littérature, où il influence de façon décisive l’école naturaliste. L’industrialisation. La découverte de la machine à vapeur (trains, bateaux, usines, …) rend possible une industrialisation rapide

sainte-beuvienne (célèbre méthode critique littéraire du milieu de XIXème siècle) non sans poser son point de vue concernant la critique littéraire. La première question qui mérite d’être posée est la suivante : en quoi consiste la méthode de Sainte-Beuve ? Charles-Augustes Sainte-Beuve est considéré comme le maitre incontesté de la critique littéraire au XIXème siècle en France. Avant toute chose, il est utile de rappeler que le XIXème siècle est marqué par le triomphe du positivisme avec les travaux

référence, il faut citer pour l’âge romantique aussi l’Abbaye aux bois où, autour de Madame Récamier et de Chateaubriand, se réunissent quelques jeunes écrivains dont Hugo et Lamartine qui y lit les Méditations. Puis l’Arsenal dont le bibliothècaire Charles Nodier fait à partir de 1824 un lieu de rencontre que fréquentent les habitués du journal La muse francaise comme Hugo, Emile Deschamps, Vigny, Dumas, Nerval... Et aussi le Petit cénacle où on trouve ceux qu’on appelle parfois les petits romantiques

Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement littéraire qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine

chaque prénom a également été choisis avec génie; «Odette » à une étymologie d’origine allemande. Le substantif « Odo » en allemand signifie « la richesse » ou « la fortune », or Odette a atteint un certain rang aristocratique en se mariant avec Mr Charles Swann puis avec duc de Forcheville. On peut également soulever le faite qu’elle soit intéressé par l’art- Mr Swann l’initie; le morphème -ode peut faire penser au chant antique, l’Ode - un poème chanté destiné aux vainqueurs. Et le morphème -ette

L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Fouché, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve et Vigny, et se refuse à aduler le « maître » Victor Hugo. Il moquera notamment les promenades nocturnes du « cénacle » sur les tours de Notre-Dame.

Zola, que l'écrivain applique une méthode strictement littéraire qui se rapproche de celle mise en œuvre par les sciences naturelles, et qui avait été utilisée pour la première fois dans la critique positiviste des phénomènes littéraires par Charles-Augustin Sainte-Beuve et Hippolyte Taine. Auguste Comte avait, en effet, affirmé, dans son Cours de philosophie positive (1830-1842), que l'art, parvenu au stade « positif », obéissait aux mêmes lois que la science. Suivant le positivisme, Taine va alors

[pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’Lorenzaccio’’, ‘’Le chandelier’’ et ‘’La confession d’un enfant du siècle’’ qui sont étudiés dans des fichiers à part). Bonne lecture ! Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris, au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57 boulevard Saint-Germain). Appartenant à une famille de toute petite noblesse, il était le fils du vicomte Victor-Donatien de

Ce qu’on aime, on le trouve partout et l’on voit partout des ressemblances », Novalis, Foi et Amour, Préface, 4, in Semences, traduit de l’allemand, annoté et précédé de Fragments et totalité, par Olivier Schefer, Paris, Allia, 2004, p. 97. 2. Charles-Augustin de Sainte-Beuve : « Lettre à M. William Reymond sur le caractère de l’École romantique française » [datée du 2 novembre 1863] in Nouveaux lundis, t. IV, Paris, Michel Lévy frères, 1865, p. 454 : « Aucun des grands poètes romantiques français

Le Lys dans la vallée est un des romans des Études de mœurs d’Honoré de Balzac paru en volume en1836, s’insérant, dans l'édition de 1844, dans le deuxième livre Scènes de la vie de campagne de sa grande fresque intitulée la Comédie humaine. Écrit principalement au château de Saché en Indre-et-Loire dont Balzac s’inspira fortement, ce roman a été publié pour les deux premières parties (Les Deux Enfances et Les Premières Amours) de novembre à décembre 1835 dans la Revue de Paris. Puis en raison