Chapelle de la Sorbonne

& 1807 Format : 6,29cm X 9,79 m Œuvre conservée au : Musée du Louvre à Paris L'œuvre est commandée oralement par Napoléon 1er en Septembre 1804. David commence sa réalisation le 21 décembre 1805 dans l'ancienne chapelle du collège de Cluny, près de la Sorbonne qui lui sert d'atelier. Il met touche finale en novembre 1807 à l'aide de son élève Georges Rouget. L'œuvre est exposé du 7 février au 21 mars 1808 au Salon de peinture annuel en 1810 elle est présentée au concours des prix décennaux

et religieux (encore aujourd'hui avec le Palais de Justice et l'hôpital de l'Hôtel-Dieu), et la rive gauche universitaire et intellectuelle. En effet l'île de la Cité est alors parée de la cathédrale Notre Dame  (entreprise en 1163), de la Sainte-Chapelle sous saint Louis (1246), tandis que le palais royal de la Cité est agrandi par Philippe le Bel (1285-1314). La tradition intellectuelle de la rive gauche date de l'installation au 12è siècle de maîtres dissidents de la Cité : en effet les contraintes

le terme d’échafaud. Louis IX a fait construire la Sainte-Chapelle entre 1226 et 1270. Le bâtiment est de style gothique. Elle servait à accueillir les reliques de la couronne de Jésus Christ. Saint Louis a voulu construire la Sainte-Chapelle afin d'abriter la Sainte Couronne, un morceau de la Sainte Croix ainsi que diverses autres reliques qu'il avait acquises. Il accueille donc cinq reliques : Un des vitraux de la Sainte-Chapelle de Paris | * la couronne d'épines portée par le Christ lors

de Médicis. Il travaillera pour la reine mère, Marie de Médicis ainsi que pour Richelieu car il sera le seul peintre à être autorisé à peindre le Cardinal de Richelieu en habit de cardinal. Il décore le Palais-Cardinal, le dôme de la chapelle de la Sorbonne et d’autres bâtiments à Paris. Il dessine également plusieurs cartons pour des tapisseries, des séries de tableaux, décore d’Anne d’Autriche au Val-De-Grâce ainsi que le réfectoire de cet hôpital. En 1655, il est nommé professeur. A la

1628 : «  L'adoration des Berges » et sa dernière peinture fût «  L'enfant Jesus retrouvé dans le temple », Durant ses année auprès de Richelieu il fait des séries de portraits de Richelieu (1938), Il décore le Palais-Cardinal, le dôme de la chapelle de la Sorbonne et d'autres bâtiments à Paris, dont l'église Saint-Germain-l'Auxerrois. Il fait plusieurs tableaux pour la cathédrale Notre-Dame-de-Paris dont son vœu de Louis XIII, datant de 1638 Champaigne est du mouvement classicisme. Mais l'une de ses

une fondation charitable ayant pour but d'héberger des étudiants pendant leurs études. C'est sur ce principe et sur des fondations déjà existantes que Jeanne de Navarre va lancer son projet, en s'appuyant notamment sur le collège de Sorbonne, fondée par Jean de Sorbon, proche de Saint Louis. Cependant, le projet du collège de Navarre est une expérience novatrice à l'époque médiévale et ce pour de diverses raisons : pédagogiques, administratives... C'est ce que nous allons essayer de démontrer dès

peinture comme en littérature un siècle ouvert. L’architecture : Le XVIIème siècle est caractérisé par une architecture grandiose. La première moitié du siècle avait déjà vu l’édification du palais Luxembourg, du palais Cardinal et de la chapelle de la Sorbonne. Sous Louis XIV Claude Perrault édifie la colonnade du Louvre. En 1665, François Mansart achève le Val-de-Grace. Jules Hardouin-Mansart dirige les somptueux agrandissement du Palais de Versailles. La musique : Pendant le XVIIème siècle

cardinal de Richelieu en habit de cardinal : il le représente onze fois. Il est, avec Simon Vouet, l'un des deux peintres les plus réputés du royaume. Il reçoit en 1629 ses « lettres de naturalité ». Il décore le Palais-Cardinal, le dôme de la chapelle de la Sorbonne et d'autres bâtiments à Paris, dont l'église Saint-Germain-l'Auxerrois. Il fait plusieurs tableaux pour la cathédrale Notre-Dame-de-Paris dont son vœu de Louis XIII, datant de 1638. Il y dessine également plusieurs cartons pour des tapisseries

César pour la sculpture, Licata pour le mosaïque et Velickovick pour le dessin. Elle participe à divers salons « Réalités nouvelles». En 1988 elle devient deuxième Lauréate du Prix Feneon où elle aura sa première exposition personnelle à la Chapelle de la Sorbonne. En 1989-1990 elle lauréate de la bourse du Ministère des affaires étrangères représentant la Grèce ou elle fait le master ENSBA à l’atelier CUECO. En 1990, Diana Despina reçoit le Prix de meilleur artiste boursier qu’elle partage avec le

déplaire aux philosophes et aux croyants. Les philosophes se tinrent sur la réserve. Voltaire, qui parlera plus tard, ne dit rien alors. Les parlements ne se firent point déférer le livre. Les évêques ne décernèrent point de mandements contre lui et la Sorbonne qui ne savait que dire, fut heureuse de voir l'archevêque Beaumont s'entremettre entre Montesquieu et elle. Ce furent les gazettes religieuses, les Nouvelles ecclésiastiques jansénistes et le Journal de Trévoux jésuite qui attaquèrent le livre et