Censeur

l’actualité et leur public. Les moins engagés se sont voulu des historiens, prolongeant la vocation des gazettes. Mais des témoins parfois acteurs, participant aux événements => intensité de leurs écrits, passion, chronique heure par heure. Journalistes censeurs, inquisiteurs, tribuns du peuple. Journalisme d’agitation, très personnalisé Parfois injurieux et grossier : Le Père Duchesne de Jacques-René Hébert; Ou juste violent : L’Ami du peuple de Marat Portrait - Jean-Paul Marat (1743-1793) Député

et un monde nouveau plein de jeunesse, de promesses et d'incertitudes. Le mariage de Figaro n'est certes pas une pièce révolutionnaire, (Beaumarchais s'en défend d'ailleurs dans sa préface, même si cela semble aussi une manière de se protéger des censeurs) mais il justifie sans doute le mot de Beaumarchais : "qui dit auteur dit oseur".

fut Hernani. La rédaction s’étala du 19 août au 24 septembre 1829, et il lut son œuvre le 30 septembre à ses amis du cénacle romantique, qui l’approuvèrent presque sans réserve. Il obtint l’autorisation de créer sa pièce au Théâtre Français, les censeurs désirant l’abattre une fois pour toutes, et une nouvelle lecture le 5 octobre devant la troupe de la Comédie-Française suscita l’enthousiasme. Aussitôt distribuée, la pièce entra en répétition. Les répétitions furent cependant ardues : Mademoiselle

Hugo. Verdi choisit la pièce de Victor Hugo ''Le roi s'amuse'' qu’il estime être « la plus grande intrigue et le plus grand drame des temps modernes ». Il choisit comme titre La maledizione. Après de nombreuses tentatives de négociation avec les censeurs, Piave et Verdi vont devoir retravailler l’opéra en déplaçant l'action de la cour du roi de France vers celle d'un duché d'Italie, et en renommant les personnages. La scène dans laquelle le souverain se retire dans la chambre de Gilda doit être

l’absence de la raison ( ’ le sommeil de la raison’ ) fait tomber l’homme dans l’inconscient : la conscience, en l’absence de la raison qui donne en partie à l’homme son statut de sujet conscient, ’n’est plus’, ou plutôt ne fait plus office de juge ou censeur chargé de refouler les éléments les plus profonds de l’inconscient qui tentent de ressurgir. L’homme est alors en proie à ces pulsions ( manifestation de son animalité toujours présente ), à ses désirs les moins réalisables ( et respectables ) dans

le parlement Bouche de la loi = (citation de Montesquieu) Le juge interprète la loi Pouvoir d’interprétation (lacunes, lois obscures standard juridique) Jurisprudence = source du droit (uniformisation de la loi) Le juge est un censeur de la loi Contrôle de constitutionnalité a priori (art 61) et a posteriori (art 61-1 : QPC depuis 2008) Contrôle de conventionalité

ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'Opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne a quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs" (l 14 à l 17). Dans La Question d'argent, Dumas va dénoncer les manières que certaines personnes utilisent pour s'enrichir, pour tout faire afin de devenir l'homme le plus riche et ainsi l'homme le plus puissant. Il va utilisé l'énonciation pour

passent pour des vertus » il généralise : « on » , « chacun » ici Molière dénonce l'hypocrisie et DJ va s'en servire et lui permettre d'être méchant. 2) DOM JUAN HYPOCRITE Vice social: Etre hypocrite lui permet de juger et accuser les autres: “censeur” (qui surveille), « jugerai »... => comble de l'immoralité nouvel avantage : la vengeance personnelle : « je me ferai vengeur des intérêts du ciel » => il se prend pour le bras droit de dieu, son représentant par cette phrase il trouve du plaisir

la tentative de conviction. Le texte nous prouve tout d'abord la maturité de Racine. Dans le premier paragraphe il annonce que « les critique se sont évanouis » et que sa « pièce à demeuré ». Cette expression peu être perçu comme une satire des censeur, comme celle de la première préface, qui est moins imposante et plus réfléchie dans la seconde. Ensuite il nous indique qu'il c'est inspiré de « Tacite », un historien romain. Sa pièce a donc un sujet historique ce qui était à cette époque la spécialité

un baron de la compagnie partir en criant « Ce Molière ne vaut pas mieux que Tarfuffe, il c'est lui même Tartuffé ». Molière lui, fort mécontent de la critique portée à sa pièce déclara aussitôt « il faut mieux malgré tout être dévot que d'être censeur ». Qu'en pensez-vous, quand il s'agit de trahison et d'infidélité, faut il être du côté de la victime , du scélérat ou du spectateur critique ? Le roi bien entendu, ne s'est pas consacré à cette histoire, il en reste du moins la dernière parole,