Celles-sur-Belle

dans sa spécificité même. La laideur : une absence de qualités requises On peut considérer qu’une représentation laide peut être jugée telle dans la mesure où l’on constate une absence de certaines qualités nécessaires à la production d’une belle œuvre. Rosenkranz dans son étude[7] renvoie la laideur à l’incorrection de la forme, c’est-à-dire à une absence d’accord entre le modèle et la représentation. Selon le philosophe « la correction exige (…) par exemple que dans un tableau représentant

le locuteur. En effet, les savants sont montrés prenant le fait brut, comme le souligne l’emploi répété du verbe d’action « écrire » (l. 9/l.13/l.14) et de celui de « faire » associé à l’adverbe « aussitôt » (l. 15 = « Rullandus fait aussitôt une belle et docte réplique » qui suppose l’absence d’observation initiale C/ Le placere * Registre comique : Un comique de situation et de répétition. - Le premier savant explique l'événement par des causes religieuses faisant du phénomène une sorte de miracle

pour tous. Au nom de leurs convictions, ils croient en une ‘’ nouvelle et belle Russie’’ dans un futur proche. Mais est-ce juste, légitime de lutter pour la paix par la bombe et l’attentat ? Est-ce que les personnages peuvent être caractérisés comme ‘’Justes’’ ? Tout d’abord les personnes ne pensant pas comme Camus diront que les personnages de l’œuvre ne sont pas des justes. En effet celles-ci les qualifieraient plutôt de meurtrier car les acteurs tuent le grand duc

L'un se nomme Gusman, fort de corpulence, il reste simple d'esprit et de part son rôle de valet, n’apparaîtra pas souvent dans la pièce, si ce n'est seulement dans la scène d'exposition. Il est dévoué à Elvire, c'est une belle jeune femme, mais un peu trop naïve, comme toutes celles passées avant elle. Elle est partie d'un couvant, a refoulé tous ses serments envers Dieu, pour se marier avec un homme. Elle en est tombée éperdument amoureuse, sans se douter de qui il était vraiment. Pourtant, aux premiers

[   /70 points] Mise en situation Aux funérailles de sa grand-mère, une jeune fille entend les propos de la parenté, qui est fortement touchée par le décès. Les uns disent que la mort est une libération et que l’âme de la grand-mère ira rejoindre celles des personnes décédées, dans une sorte de paradis où les âmes continuent d’exister pour l’éternité, sans corps pour troubler la sérénité de leurs pensées. Ainsi, la grand-mère pourra rejoindre les gens qu’elle aimait et discuter avec eux jusqu’à la

bateau à moteur dans un magasin spécialisé dans la revente de bateaux fabriqués par l’entreprise Naviros. Lors de sa promenade en compagnie de madame Belle, le moteur explose et blesse grièvement monsieur Pasdechance au bras droit et madame belle à la jambe gauche. Quelles sont les actions dont disposent monsieur Pasdechance, et madame Belle, contre le vendeur et le fabricant du bateau ayant causé le préjudice ? Selon les dispositions de l’article 1386-1 du Code civil, « le producteur est

illustré par l'apparition et le jeu silencieux de Blanche-Neige, de sa mère naturelle, et de sa belle-mère. Ce faisant, il lit un livre, comme si c'était le conteur de l'histoire, un soir au coin du feu. Par la suite, durant la pièce, c'est le seul personnage qui se permet de s'adresser au public. Par exemple, il nous fait part de ses dilemmes, sa difficulté à révéler à la Reine qu'elle « n'est pas la plus belle femme du monde ». Comme son rôle de miroir l'exige, il suit et reproduit les mouvements de

sonnet s’annonce comme un bref récit. a. Il en présente les éléments constitutifs habituels. b. Les temps employés en marquent clairement les différentes étapes. c. Un examen attentif des rimes montre tout un jeu subtil. 2. Silvandre et sa belle s’opposent tout au long du sonnet. a. Sa structure même les sépare constamment. b. L’effet est renforcé par l’évolution des sentiments du narrateur. c. Parallèlement, la jeune femme délivre un double message. 3. Ce sonnet peut être considéré

lui même, dont la connaissance n'est pas également partagée par tous. On sait, au moins depuis Kant, que le paradoxe du jugement de goût est précisément de se prétendre universel alors qu'il est d'abord subjectif : lorsque je dis que la Joconde est "belle", je sous-entend que n'importe qui doit la juger semblablement, mais tel n'est pas nécessairement le cas. Chacun choisit certaines oeuvres au détriment d'autres, et l'on admet aisément que c'est dans de tels choix qu'intervient la sensibilité. je peux

Van Dongen, et renvoie ainsi une image contemporaine de la femme qui n’est plus peinte derrière un environnement idyllique, abstrait mais bien réelle. Vacillante entre le respectable et l’indécent, cette peinture du Nu est certainement différente de celles connues au temps de la Renaissance. Ainsi, l’érotisme dans le Second Empire, transforme peu à peu l’image du Nu en une vision de nudité, un plaisir charnel traduit par des corps ou des conventions imparfaites, et conséquemment sexualisés4. Ainsi,