Celles-sur-Belle

MOULOUD KARIM BTS MUC 1ère année Culture générale et expression Devoir n°1 1] Etude des paratextes : 1.1 Dans ce premier document il faut distinguer d’une part les informations concernant l’auteur (a) et d’autre part celles au sujet du contenu (b) a) Sur l’auteur nous savons que c’est un texte de jacques Prévert publié en 1934 dans un recueil intitulé « paroles ». Sous le titre du texte à droite il y a une dédicace de l’auteur à une certaine Marianne Oswald. En deuxième partie

incarne la « mauvaise mère » qui refuse de voir sa fille prendre sa place. Elle est décrite comme « fière », « hautaine » et « ne pouvant souffrir qu'aucune autre la surpasse en beauté ». Sa seule source de sa méchanceté est sa volonté d'être la plus belle du royaume et pour parvenir à ses fins, elle est coupable de tentative de meurtre. En effet, son envie et sa jalousie ont muées en haine qui est devenue source d'une rage sans bornes . Certains l'associe à l'hiver qui inhibe le développement du jeune

sonnet :1. Ce sonnet s’annonce comme un bref récit.a. Il en présente les éléments constitutifs habituels.b. Les temps employés en marquent clairement les différentes étapes.c. Un examen attentif des rimes montre tout un jeu subtil.2. Silvandre et sa belle s’opposent tout au long du sonnet.a. Sa structure même les sépare constamment.b. L’effet est renforcé par l’évolution des sentiments du narrateur.c. Parallèlement, la jeune femme délivre un double message.3. Ce sonnet peut être considéré comme un apologue

avait de belles maisons à la ville et à la campagne, de la vaisselle d’or et d’argent, des meubles en broderie, et des carrosses tout dorés; mais par malheur cet homme avait la barbe bleue.» Les années 30. Une route de campagne, le jour tombe. Une belle voiture s’enfonce dans la forêt. Judith et sa soeur Anne roulent vers le mystérieux château de Barbe Bleue. La Barbe Bleue est une adaptation infidèle du célèbre conte de Charles Perrault. Chacun connaît cette histoire et se l’est appropriée. Tout

l’urbanisme, l’autorisation de transformer une cabane en belle villa en pleine zone inondable inconstructible. Alors pourquoi et comment les élus passent-ils outrent les règles de sécurité ? Sont-ils sanctionnés ? Qui sont ces gens prêt à tout pour obtenir un permis de construire ? Autorisations mystères en zone inondable. Les délogés de Vendée et les victimes de Xynthia seront ravis de l’apprendre, il existe deux sortes de zones inondables : celles dans lesquelles on démolit les maisons, parce

ises-59609786.html Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 15:23 La Première guerre mondiale a-t-elle fait progresser l’émancipation des femmes françaises ? Le simple visionnage de documents d’archives aboutit souvent au même constat : la femme de la Belle Epoque, portant chignon, engoncée dans son corset, empêtrée dans sa robe longue et dans un carcan de principesi, est bien différente de celle des Années Folles, en jupe courte ou pantalon, les cheveux coupés « à la garçonne », dansant le charleston

Française » où il dirige la section politique. Il le présente à M. Walter, le propriétaire du journal qui donne son consentement à la seule condition que Georges accepte d’écrire une série d’articles sur son expérience en Algérie. Forestier jouit d’une belle situation et a épousé une charmante jeune femme prénommée Madeleine qu’il présente au jeune homme. Dès lors, Georges Duroy se sachant beau garçon, emploiera toutes ses énergies et sa ruse afin de plaire aux femmes et de se propulser au sommet de la

La beauté parfaite, un mythe contemporain. Le mythe de la beauté parfaite concerne en majorité les femmes, qui donnent une très grande importance à l’aspect extérieur. Celles-ci croient que la beauté résout tous les problèmes, qu’elle va leur apporter joie et bonheur et leur permettra d’avancer dans la vie. Cette femme n’a qu’un seul et unique but dans la vie : être remarquer grâce à son apparence physique par tous. Celle-ci compte beaucoup plus que la beauté

faire des « flash-back », aucune action ne se passe dans le présent, ces deux choses rendent l’histoire moins vivante. Ce récit sert à montrer comment la guerre a pu détruire des familles, en particulier les familles juives. Rares parmi celles-là sont celles qui n’ont subi aucune perte, certaines familles ont même perdu tous leurs membres. Je pense que l’auteur a réussi « son pari » car cette histoire arrive à créer une certaine émotion chez le lecteur et aussi à faire pendre conscience de tous

débute son approche de manière très sûr de lui. En effet, on note l’utilisation de « Ah ! » interjection ayant pour but d’alerter et d’attirer l’attention sur lui et sur ce qu’il va dire ; c’est une façon d’accentuer ses propos qui sont : « ...la belle personne, et que ses yeux sont pénétrants ! ». Aussi, à peine Charlotte eut-elle l’occasion de répondre une phrase qu’il poursuit son discours par une tirade assez longue ponctuée de point virgule, pour articuler ses propos, de points d’interrogations