Cedar Point

Dans un plan rapporté à un repère orthonormé (O,OI,OJ) , on donne les points : A(1,-1) ; B(3,1) et D(-4,2). 1)a. Placer les points A, B et D dans le repère (O,OI,OJ) . b. Déterminer les composantes des vecteurs AB et AD c. Prouver les points A, B et D ne sont pas alignés. 2)a. Déterminer les coordonnées du point C pour que ABCD soit un parallélogramme. b. Les droites (AC) et (BD) se coupent en K, déterminer les coordonnées du point K. 3) On désigne par H le symétrique de A par rapport à O. a. Vérifier

1/6 1. Schéma des traitements (9 points) 1 point par opération (à partir de l’envoi du bon de commande, puisque les autres étaient données). Il faut avoir une interprétation large et ne pas être aussi exigeant que dans le processus 10. Dés que l’opération est présente et dans la bonne colonne, le point est attribué. 8 3862 CT PA 01 2/6 Schéma des traitements (suite) 8 3862 CT PA 01 3/6 2. Tableau des traitements (9 points) 1,5 points par opération Opération 2 Traitements

| |2. Quel est le point fort qui vous a le plus surpris ? | | | |3. Quel a été pour vous le point faible le plus inattendu ?

maintenir cette allure de manière constante, quelle distance aurais-je parcourue en 1 h 30 min ? Audrey avait tracé un triangle AVU au crayon et les médiatrices de deux des côtés au stylo. Son voisin Rémi a effacé le triangle mais a laissé le point A et les deux médiatrices. Reconstruis le triangle d'Audrey. A

IV ) LA REDACTION. -1- L'introduction. Puisque le texte à expliquer est philosophique, donc centré sur un problème, il convient de faire du problème le point de départ du travail de rédaction. C'est pourquoi l'introduction est destinée à présenter autant le texte que son problème. On doit donc y trouver, dans l'ordre : - Le thème du texte (ne pas oublier de citer son auteur, mais ne rien en dire de plus) - Une question, en rapport avec le thème, qui introduit le problème. - Le problème, c'est-à-dire

Classe de 1èreS Physique Chapitre 5 Chapitre 5 : Le travail d’une force : Introduction : fiche élève Considérons des objets qui subissent des forces dont le point d’application se déplace : Par exemple : On peut faire changer un solide d’altitude : imaginons une grue transportant une palette, la force de tension du fil à son point d’application qui se déplace (puisque le solide se déplace), on arrive à lever le chargement. On dit alors dans ce cas que la force exercée par la grue travaille.

un intellectuel est quelqu'un qui a une connaissance très aboutit aussi bien dans les domaines philosophiques que dans plusieurs autres sciences humaines et parfois naturelles, une personne apte à juger la société d'un point de vue omniscient, qui donne ses analyses et son point de vue de manière désintéressé de préférence. Comment les considères tu ? Les intellectuels contemporains sont pour moi, dans la majorité, bien inférieur à ceux d'antan, qui était d'ailleurs plutôt qualifié sous

| |Le point de coord. (2 ; 5 ) appartient à la courbe représentative de f. |Le point de coord. ( 3 ; 0 ) appartient à la courbe représentative de g. | |La courbe représentative de f passe par le point de coord. (2 ; 5 ). |La courbe représentative de g passe par le point de coord. ( 3 ; 0 ). | |Le point d’abs. 2 de la courbe représentant f a pour ordonnée 5. |Le point d’abs. 3 de la courbe représentant g a pour ordonnée 0. | |Un point d’ordonnée

> 0, on a : f (1 + h) = −(1 + h)2 + 4(1 + h) − 2 1+h−1 −1 − 2h − h2 + 4 + 4h − 2 = h −h2 + 2h + 1 = h 1 = −h + 2 + h −x2 + 4x − 2 . x−1 D’où : 1 f (1 − h) = h + 2 − h On a donc : 1 1 h+2− −h+2+ f (1 − h) + f (1 + h) h h = 2 2 4 = =2 2 Le point Ω(1 ; 2) est donc bien un centre de symétrie de Cf . Exercice 4 a) P (1) = 0 b) P (x) = (x − 1)(2x2 − 3x − 11) √ √ 3 − 97 11 3 + 97 c) S = −∞ ; ∪ 1; ∪ ; +∞ 4 8 4 −2x4 + 3x2 + 5 < 0 √ √ − 10 10 S = −∞ ; ∪ ; +∞ 2 2 Exercice 5 P (x) = 2x3 − 5x2 − 8x +

conserve sa forme et sèche plus facilement. Un repos de deux jours avec les embauchoirs est nécessaire aux chaussures pour ôter l'humidité d'une journée de port. Empeigne : C'est la partie de la tige (panneau du dessus de la chaussure) qui va de la pointe au cou-de-pied, la partie arrière de la tige étant les quartiers. Escarpin emprunt à l'italien Scarpino, diminutif de Scarpa (soulier). Désigne une chaussure base décolletée, à semelle fine et sans fermeture sur le cou-de-pied. Forme : pièce