Catastrophe De Tchernobyl

compétitivité économique du nucléaire par rapport aux énergies fossiles. L'énergie nucléaire reste un sujet controversé. Elle donne lieu à querelles entre les spécialistes et suscite d'autant plus l'inquiétude de l'opinion publique. Le traumatisme de Tchernobyl est toujours présent dans l'esprit des citoyens européens, qui sont par ailleurs de plus en plus préoccupés par le devenir des déchets nucléaires. La problématique du réchauffement climatique de la planète, phénomène auquel le nucléaire ne contribue

sans elle, l’Homme n’est absolument rien ! En quoi l’écologie, science majeure du XXIème siècle, permet-elle une meilleure protection de l’environnement ? Nous étudierons tout d’abord les fondements de l’écologie, puis nous traiterons des catastrophes écologiques et enfin nous analyserons les solutions que l’on peut apporter à différentes échelles.   I. LES FONDEMENTS DE L’ECOLOGIE : 1) Histoire : Depuis de nombreux siècles, notre environnement est l’objet d’études diverses

élevé de survivants. Ceci nous donne un aperçu des conséquences d'une explosion atomique. Or, malgré toutes les précautions prises, un accident est toujours possible dans une centrale nucléaire. Tchernobyl en 1986 et Fukushima en 2011 sont là pour nous le rappeler. Le monde a en fait connu 35 catastrophes nucléaires de 1960 jusqu'à nos jours sans compter toutes celles qui ne sont pas divulguées par l'Etat … Et dont deux classées niveau 7 (niveau le plus élevé) sur l'échelle de gravité. A l'apogée

risques peuvent être probabilisés en analysant le passé on peut prévoir l’avenir. Mais que faire des risques dont la survenance est très improbable ? Ce sont justement ces derniers qui, lorsqu’ils surviennent, entraîne une catastrophe : explosion de la centrale nucléaire Tchernobyl en 1986, attentats de New York et Washington en 2001, scandale financier d’Enron et Worldcom en 2002, etc. En Algérie nous pouvons citer des exempleS d’accidents tels que : GNL, Sonatrach en 2004 et RTE Sonatrach en 2005

des années 1980/1990 + l’essor d’Internet (30 à 40% de l’humanité connectée en 2013). REMARQUE : Ces progrès peuvent aussi créer des problèmes et des dangers: > La pollution (automobile, aviation…marées noires) > Des catastrophes (nucléaires : Fukushima, Tchernobyl). > la cybercriminalité sur Internet.

communautaire de l’environnement fut tardive. Celle-ci ne s’est produite au moment ou l’on a pris conscience de la menace écologique sur la croissance économique spectaculaire d’après guerre, par exemple de la grande catastrophe technologique de Seveso de 1970, ou encore Tchernobyl en 1986. Ainsi, ce n’est qu’en 1972 que les chefs d’Etats et de gouvernements de la CEE réunit à Paris reconnaissent « qu’il convient de mettre en œuvre une politique commune de l’environnement ». La commission s’élança

utiliseraient des armes nucléaires ou radioactives ou qu'ils seraient prêts à sacrifier leur vie. "Nous avons besoin de prendre des mesures préventives. Nous ne devons pas attendre d'être confrontés à une situation du style de celle du 11 septembre ou de Tchernobyl", a-t-il déclaré. "Le danger existe partout. Il est réel, il est actuel et il nous faut croiser les doigts pour que rien ne survienne", a ajouté M.ElBaradei. Le ministre australien des Affaires étrangères, Alexander Downer, a soutenu l'analyse

couple devant la télévision. Les médias annoncent : « Une catastrophe telle que Tchernobyl n'arrivera plus jamais et certainement jamais dans un pays de haute technologie ». Le couple se dit : «  Comme nous quoi, ou le Japon ». Cette remarque fait référence à l'éxplosion de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, un pays assez évolué dans la Technologie. Ce qui contre-dit les médias qui annoncaient, à l'occasion des 25 ans de Tchernobyl, qu'un incidant nucléaire d'une telle empleure ne pourrait

picotechnologies et manipulations des atomes ; ectogenèse ; marées noires ; production de déchets ; réchauffement climatique ; inflation des techniques de communication ; risques pour l’emploi liés au développement des machines ; e-délinquance ; catastrophes comme Tchernobyl ; danger des biotechnologies ; risques associés aux xenogreffes … 2 les raisons de croire (encore) au progrès scientifique et technique : option voltairienne. Pour limiter les risques liés aux technosciences, il n’y a pas de choix :

produire des pollutions de sols, qu’il s’agisse d’évènements naturels (les retombées des cendres d’un volcan suite à une forte éruption par exemple), ou technologiques (retombées radioactives suite à un essai nucléaire ou une catastrophe, comme lors de l’accident de Tchernobyl).