Casse-croûte

1.Biographie Hergé est le surnom de Rémi Georges (R.G) un auteur belge de bande dessinée qui doit sa célébrité à la série « Les aventures de Tintin » comptant 24 albums dont : Tintin au pays des Soviets, L'Oreille cassée, L'Île noire, Le Sceptre d'Ottokar, L'Or noir, Tintin et les Picaros, Cigares du pharaon, Sept boules de cristal Rémi Georges est né le 22 mai 1907 à Etterbeek (Belgique). Très vite, il se passionne pour le dessin. En 1925 après ses études, il entre au journal quotidien Le XXe

toiles comme La tranchée, d’autres toiles représentant le monde dérisoire des mutilés : les Mutilés de la guerre, Mutilés jouant aux cartes, le Marchand d’allumettes... Les œuvres de l'artiste illustrent l'horreur des combats, les gueules cassées d'anciens soldats réduits à la mendicité, victimes d'un ordre social déboussolé. Il est inspiré par le futurisme dessiné exagérément et l‘expressionnisme, deux mouvements artistiques. Après la prise du pouvoir par les nazis, 170 d'entres elles

Clémence ne cesse de le hanter. Les miroirs étant interdits, Adrien finit par découvrir son visage défiguré dans le reflet d’une vitre. Il songe alors à se suicider. Pourtant, il devient l’ami et le confident d’Henri et Pierre, deux autres « gueules cassées ». Le chirurgien de l’hôpital, fasciné par la pratique alors toute nouvelle des greffes de peau, tente sans succès une première opération sur son visage. Malgré tout, Adrien reprend peu à peu le dessus Après une nouvelle opération, Adrien retrouve

Nous pouvons constater que le peintre n’a utilisé aucune couleur vive. Les teintes du tableau tournent autour du verdâtre, noir et bleu foncé, ce qui a pour but de mettre ma à l’aise le visionneur et de le plonger dans l’univers des « gueules cassées (1) » au lendemain de la guerre, fait de tristesse et de mort prochaine. Sur cette toile nous pouvons voir au premier plan, trois personnages assis sur une chaise, autour d’une table, ils sont en train de jouer aux cartes. Le personnage de gauche

lesquelles volent des choux-fleur. Cela souligne la modernité de la pièce, le renouvellement. Aussi, on remarque cette plaque tournante au sol, sur laquelle les acteurs marchent sur place, n’avancent pas; sans doute est-ce une manière de représenter les casse-têtes et sales affaires qu’Ui et sa bande tentent de résoudre en manipulant tout au long de la pièce. D’ailleurs, le caractère de chacun est bien mis en avant pour chaque personnage. Que ce soit dans sa façon de marcher, de bouger, de parler, on ressent

une table et des chaises de troquet. Les trois hommes ont fait la guerre et en gardent de nombreuses séquelles: membres arrachés, visages défigurés, perforés, mâchoires artificielles, conduits auditifs, oeil de verre...: ce sont les «gueules cassées »: totalement mutilées. Le personnage de droite est un allemand car il porte la « croix de fer « sur sa veste. Il s'agit d'une décoration de guerre donnée aux soldats pour faits héroïques ou pour avoir été blessés. Les couleurs, l'éclairage: Sur

De l'autre coté Samantha Mccarffey est une fille normale âgée de neuf ans. Un soir, alors qu’elle rentrait de l’école, le ciel s'assombrit. Les nuages noirs s'amoncellent à une vitesse stupéfiante au dessus d'une petite fille, seule dans la nuit. Elle ne savait pas du tout ce qui lui arrivait et personne, parmi les maisons animées, ne semble se rendre compte de ce qu'il se passe dehors. Puis d'un coup, un éclair, que seule la gamine a vu. Elle court, elle court, pour essayer d’échapper à la foudre

1920 Otto Dix peint les conséquences physiques de la guerre. La situation présentée est une scène ordinaire : trois personnes jouent aux cartes. Mais cette banalité est contrebalancée par l'horreur dégagée de ces personnes, véritables "gueules cassées" de la première guerre mondiale. L'aspect  des  joueurs n'a rien d'humain, l'un d'entre eux tient ses cartes avec le pied. Otto Dix critique ainsi la guerre, en montrant de façon choquante ses conséquences dans la société. En montrant un de ses personnages

ceux qui pourraient en comporter n’en sont qu’inutilement et inesthétiquement allongés. On écrira donc : RATP, MGEN, IUFM… Néanmoins, pour certains sigles très répandus et de prononciation aisée (acronymes) il est d’usage de les écrire en bas-de-casse avec une capitale initiale. On écrira donc : Benelux (sans accents), Euratom, Unesco, Ima, Ccomcen, Macif, Camif, Smacl, Solidarité Laïque… Lors du développement du sigle, seule l’initiale du premier mot est en majuscule (sauf, bien sûr s’il y a un

dents de la boue, de la boue… de la boue… de la boue… partout. A tout moment du jour et de la nuit, on est alertés, les bords des tranchées, s’éboulent, croulent, coulent. (Analyse : cours de français.) Document 4 : Les gueules cassées, tableau d’Otto Dix. On observe à travers le film que la guerre change les hommes physiquement comme moralement. Ils subissent des blessures irréparables. Ces horribles souvenirs de la guerre, celle que l’on appelait la grande guerre, resteront