Cas Levis Eco

activités sont très variées et touchent bien des branches économiques : l’innovation pharmaceutique, le secteur agroalimentaire, l’énergie et les industries de l’environnement... Ainsi, les entreprises industrielles opérant sur le " marché vert " ou éco- industries enregistrent un chiffre d’affaires de 4,5 milliards d’euros. Le traitement de l’eau constitue le premier domaine d’intervention, suivent le traitement de l’air et les déchets. De nombreux organismes spécialisés sont impliqués dans la recherche

des régimes totalitaires durant les années 1920 (le cas de l’URSS) 102 Section 3 : Les années 1930 : crise et dépression 117 La Crise 117 Les manifestations de la crise -Les causes profondes de la crise - Le Krach boursier et le déclenchement de la crise aux USA - Les mécanismes d’extension de la crise - Les conséquences de la crise 117 Les remèdes à la crise dans les démocraties libérales 137 Les politiques économiques des dictatures :Le cas de l’Allemagne 142 De la Deuxième guerre mondiale à

personne qui est passée de 34,7 kg en 2002 à 22,2 kg en 2011, soit une réduction de 36 % en 10 ans. D’ailleurs, la part relative du produit frais par rapport à la consommation totale de pommes de terre est passée de 48 % en 2002 à 39 % en 2011. Dans le cas des pommes de terre transformées, la consommation par personne de croustilles est passée de 11,6 kg en 2002 à 12,8 kg en 2011, celle des pommes de terre congelées, de 13,7 kg à 11,4 kg et celle des autres pommes de terre transformées, de 12,1 kg à

internationale (échange entre les étudiants internationaux et parisiens). Innovation et découverte Objectifs • Comprendre les enjeux de l’innovation, intégrer le poids des ruptures sur la vie industrielle et culturelle. Illustrations • Concours et cas d’école (Renault, Graines de boss, Grand prix Paris Match, La Tribune), projet associatif (Nosy Komba à Madagascar), conférences («Sport et développement durable»), expositions («Yves Saint-Laurent, 40 ans de création», «Ville rêvées, villes nouvelles»)

1.3 SECTION POLITIQUE ET AFFAIRES PUBLIQUES ...................... 3 1.1.4 SECTION COMMERCIALE ................................................. 3 1.1.5 SECTION COOPÉRATION .................................................. 4 1.2 SERVICES EN CAS D'URGENCE ................................................................................................... 5 1.2.1 PENDANT LES HEURES D’OUVERTURE DE L’AMBASSADE ........ 5 1.2.2 EN DEHORS DES HEURES D’OUVERTURE DE L’AMBASSADE ..... 5 1.2.3

synthèse. À l’évidence, de telles extrapolations ne sont pas encore possibles. L’évaluation de l’exposition La troisième étape de l’évaluation du risque vise à déterminer et à mesurer les degrés d’exposition aux produits potentiellement nocifs. Dans le cas des nanotechnologies en général et de leurs applications dans le secteur agroalimentaire en particulier, les rapports d’experts soulignent l’intérêt d’une approche fondée sur la notion de « cycle de vie » des produits (CE-CAC, 2008, p. 76; FAO/OMS,

À l’évidence, de telles extrapolations ne sont pas encore possibles. L’évaluation de l’exposition La troisième étape de l’évaluation du risque vise à déterminer et à mesurer les degrés d’exposition aux produits potentiellement nocifs. Dans le cas des nanotechnologies en général et de leurs applications dans le secteur agroalimentaire en particulier, les rapports d’experts soulignent l’intérêt d’une approche fondée sur la notion de « cycle de vie » des produits (CE-CAC, 2008, p. 76; FAO/OMS,

de susciter des changements concrets et bénéfiques s'agissant de ces pratiques. Par ailleurs, elles partageront leurs informations non concurrentielles pour contribuer, à leur niveau, à l’enrichissement de la connaissance collective. Dans certains cas, comme par exemple la réduction graduelle du sucre ajouté, un engagement commun, par secteur, sera probablement nécessaire. Enfin, dans un souci de transparence, les entreprises communiqueront sur l’intégralité de leurs portefeuilles de produits, et

. . . . . . . . . . . . . . 291 291 294 303 308 312 323 323 327 330 334 347 349 355 359 Table des matières • 7 LISTE DES PRINCIPALES ABRÉVIATIONS ABSA AMF APCE ARPU BA BALO BDPME BFR BIMBO BPA BSA BSCPE CMPC COB CRM EBE EBIT EBITDA ECO EPS ESOP EV FCF : Action à bons de souscription d’actions : Autorité des marchés financiers (ex COB) : Agence pour la création d’entreprise : Average revenue per user : Business angels : Bulletin d’annonces légales obligatoires : Banque des PME :

indications renvoient au temps de l'énonciation: nous devons les interpréter comme un commentaire de l'énonciateur sur l'ordre de son discours ("d'abord je vous parle du carré de carton bleu, puis du donjon et enfin de la plate-forme"). Si c'est bien le cas, la description signalerait sa propre temporalité discursive. Ce serait aussi une façon de donner l'impression qu'on n'a pas suspendu la temporalité narrative, même si, en réalité, on l'a fait, en glissant du temps de l'action représentée au temps du