Cas Levi S Eco

Commission Consultative de la Régionalisation Livre III La régionalisation avancée au service du développement économique et social CCR/Rapport sur la régionalisation avancée/Livre III : la régionalisation avancée au service du développement éco. & social Page 1 Table des matières Introduction 5 Synthèse des recommandations 8 Partie I : Bilan‐diagnostic du développement économique et social régional 12 Chapitre 1 : l’Etat des indicateurs du développement socio‐économique

pour lesquelles l’écobilan sera sensiblement différent : les filières de produits alimentaires et les filières de produits artisanaux. Dans le cas des filières de produits alimentaires, les modes de production agricole choisis dans le commerce équitable limitent leurs impacts négatifs sur l’environnement et même ont un impact positif, notamment dans les cas d’agroforesterie2. Les producteurs et leurs organisations sont encouragés à adopter les méthodes de l’agriculture biologique ou, au moins, limitent

est réalisée par rapport à sa situation interne du pays et aux exigences internationales, ce qui donne une image motivante dans divers secteurs dans un cadre concurrentiel. Mais en pratique, le pouvoir public recours à des moyens qui dans certains cas sont susceptibles de fausser la concurrence et par conséquent un déséquilibre du marché notamment avec l’octroi au niveau national des aides proportionnées dite « publiques» qui est définie comme le versement par les pouvoirs publiques de sommes d’argent

du nom, du design et de l’aspect technique), enjeux de la normalisation Ce qu’on attend de l’élève : Importance du service rendu (besoin réel et besoin induit) Identifier pour un produit donné le service à rendre (exploitation d’un diagramme de cas d’utilisation et/ou le diagramme des exigences pour identifier le ou les besoins réels) Identifier les besoins induits lors de la phase d’utilisation d’un produit : consommables, pièces d’usure, ‘’accessoires’’ Justifier l’adéquation produit/besoin

synthétique de Musgrave : (économiste Américain) il présente une classification des fondements de l’intervention des pouvoirs publics dans l’éco de marché => fonction d’allocation des ressources, de redistributions des revenus, et de régulation de l’acti éco. *DGCCRF = Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes. Elle veille à l’application des règles d’étiquetage, et des règles concernant la pub sur les prix/produits/prestations services. L’Etat interdit

MARQUES DE DISTRIBUTEUR     DEFINITION La marque est la somme du contenu d’un produit : ses propriétés, et du contenant-image de celui-ci et de son fabricant, qui permet au consommateur son identification et la répétition de son achat. Dans le cas de la marque de distributeur, le propriétaire de la marque est le distributeur, le fabriquant étant le plus généralement un industriel sous-traitant. Le consommateur la choisit pour sa qualité, son prix, et pour la caution de l’enseigne. On distingue

justice part qui revient au plus fort) vision sur ordre social, proscrit propriété personnelle= logique communautaire et non marchande. Aristote = appréhender fonctionnement réel éco (et non normatif comme Platon)  rejet immortalité âme = bonheur doit être atteint sur terre et non après vie sur terre  obtenu grâce éco marchande répond besoins primaire (nourrir) fondé sur propriété privée car propriété communautaire trop conflictuelle nécessité monnaie pour faciliter échanges. Pour Aristote, l’économie

On emprunte pour I (effet levier). 1852 (2nd Empire, euphorie du chemin de fer) : création du Crédit Mobilier. 1863 : Création du Crédit Lyonnais. 1864 : Société Générale. La plupart de ces banques sont mixtes, universelles aujd. A la fois : banques de dépôts et banques d’affaires. Elles peuvent se financer par : - actions obligations - drainer l’épargne En France à l’époque, peu de banques qui se spécialisent dans la banque d’affaire, c’est tout le même le cas de Paribas (1872). En même

cadre générale de la compréhension du pouvoir en distinguant l'infrastucture économique et la super structure politique qui sont considéré comme des élement de la super structure politique . Mais pour Marx la relation qui existe entre l'infrastructure éco et la super structure politique est une relation de cause , soit que les propriétaires des moyen de production (soit l'infrastructure) crée des instrument de domination politique et industrielle. Soit le fait que une minorité d'individu (les bourgeois)

nécessairement rentable I.4 L'expérience des fonds éthiques I.5 Le poids de l’opinion publique I.6 Illustration par des exemples de grands groupes II - Qu’en est-il des PME ? II.1 Les conclusions de plusieurs enquêtes II.2 Des études de cas probants Deuxième partie : Les nouvelles attentes des partenaires de la PME I- Les donneurs d’ordres I.1 Introduction I.2 Fondamentaux d'une politique d'achat responsable I.3 Etat des lieux des pratiques actuelles et perspectives d’évolution