Carré Magique De Kaldor

conjoncturelle » quand elle vise à remédier à court terme aux dysfonctionnements de l’économie. C’est de cette dernière catégorie que relèvent les politiques de stabilisation, dont les objectifs ont parfois été illustrés par le « carré magique » de l’économiste britannique Nicholas Kaldor (1908-1986) : croissance (forte) + inflation (faible) + chômage (réduit) + commerce extérieur (en excédent). Ces politiques sont mises en œuvre dans les situations de : • récession (ralentissement du taux de croissance du

commencent à investir à nouveau. Expansion Crise Dépression Expansion Crise Dépression Cycle kondratief Il dure environ 50 ans, depuis la fin du XVIIIe. Il s’agit d’un cycle industriel. Est-il utilisable aujourd’hui ? -Le carré magique De Nicholas Kaldor. t de chomage t de croissance t d’inflation Commerce extérieur t de chomage t de croissance t d’inflation Commerce extérieur L’équilibre de ces 4 éléments représente une économie qui fonctionne bien. (Existait il y a quelques

prix : par taux d’inflation en % : Veut garantir pouvoir d'achat, lutte contre érosion monétaire Équilibre des échanges extérieurs : par solde de la balance des paiements en % du PIB : Exportations – Importations. Schématisé par Nicolas Kaldor sous un carré magique : graphique avec axes cardinaux, un axe = un objectif. Les objectifs sont interdépendants. (Au Nord : Taux de croissance le + haut possible A l’Ouest : - de chômage possible Au sud : - d’inflation possible A l’est : En situation d’excédent

des situations de conflits entre objectifs qui débouchent sur des arbitrages. Il en résulte souvent une hiérarchie entre les éléments de choix qui ne peuvent pas être réalisés en même temps et avec le même degré d’efficience, exemple le « carré magique » de N. Kaldor, formé du plein emploi, de l’équilibre extérieur, de la croissance et de la stabilité des prix. [pic] La question de la place de l’Etat dans la sphère économique est un sujet de désaccord entre les principaux courants de la pensée

prix, et l’équilibre des échanges extérieurs. L’économiste britannique Nicolas Kaldor a résumé en 1971 ces quatre finalités à l’aide d’une représentation graphique appelée « carré magique » (voir encadré). Les quatre objectifs sont représentés sur quatre axes perpendiculaires à l’intérieur d’un carré. Si l’on joint les valeurs définies par ces indicateurs, on obtient un quadrilatère. Plus ce dernier tend vers le carré représenté, plus il est proche de la situation d’équilibre macroéconomique.

été porté à 95,2 % en 2005. III. LA RELATION INFLATION - CHOMAGE Depuis la seconde moitié du XX siècle, l’inflation et le chômage constituent les maux les plus importants de nos sociétés, au point d’être présentés par Kaldor comme les pierres angulaires de son Carré magique. Dans les années 50, la courbe de Phillips va tenter d’établir une relation entre le chômage et l’inflation. Cette courbe a donné lieu à un certain nombre d’interprétations – keynésienne, monétariste, nouveaux classiques

seul problème : pouvoir de ces institutions politiques et les objectifs d’une politique économique on peut atteindre certains objectifs si le politique a des structures correspondants à l’économique ceci permettrait d’atteindre les objectifs du carré magique –croissance-stabilité des prix- .. Or aujourd'hui on n’arrive pas à obtenir les 4 objectifs car le cadre économique est beaucoup plus large que le cadre politique d’où les échecs des politiques économiques. ) aujourd'hui on a de subjectifs réellement

fournis par l’innovation. Au lieu de s’intéresser aux questions d’équilibre immédiat, d’intervention structurelle des pouvoirs publics on s’intéresse au PT. VI. L’évolution macroéconomique récente  L’outil utilisé en macroéconomie c’est le carré magique de Kaldor :  La croissance : 1ère moitié du 20e siècle : 1% de croissance puis Entre 1950 et 1973 : 5% de croissance. La crise des années 70 n’est pas si dramatique que ca. En fin de décennie il y a toujours un pic de croissance (on approche

par Keynes. C’est Jan Tinbergen qui en 1962 a définit la politique économique avec ses objectifs et ses moyens. Cette politique éco s’est incarnée dans la carré magique (4 éléments : taux de croissance de l’économie ; taux de chômage ; taux d’inflation ; taux de couverture de commerce extérieur Export/Import), définit par Nicolas Kaldor et utilisé par l’OCDE. La politique économique analyse la façon dont les autorités politique des Etats effectuent des choix économiques dans le but d’orienter

12 de sa Théorie générale de l’emploi... est très importante • • • • Un auteur : John Maynard Keynes (1883, 1946) Un livre : Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie (1936) Des disciples : keynésiens (Roy Harrod, Nicolas Kaldor, Joan Violet Robinson…) Les précurseurs : Xénophon, les mercantilistes (A de Montchrestien, John Law, Colbert, Misselden (inventeur du multiplicateur)rd Cantillon, Condillac • Développements : • Néo-keynésiens (J.P. Bénassy, E. Malinvaud…)