Capétiens

sont les Capétiens qui tinrent ce rôle malgré une très longue lutte avec les Plantagenêts. Cependant si les Capétiens accumulent de nombreux territoires, il semble qu’un mouvement de décentralisation se produise dans le même temps. A cette époque se développe le phénomène des apanages par lesquels les souverains concèdent un fief à leurs fils, fief qui retourne aux souverains après leur mort. Ainsi à part le duché de Bretagne, tous les propriétaires de fiefs sont des descendants des Capétiens. Le phénomène

César la province romaine. Les royaumes barbares viennent remplacer l'autorité en Gaulle. Ensuite la constitution d'un royaume Franc, formant l'unité de la province romaine, avec la création de la dynastie mérovingien, puis carolingiens et enfin capétiens. A travers cette phase nous pourrons abserver que le pluralisme s'est fondé sur un fondement ethique, qui deviendra fondement territorial. La seconde phase du 13em au 16em siècle: Phase la plus importante, phase d'équilibre, on pourrait utiliser

signer la charte européenne sur les langues régionales. Pour comprendre cette dernière particularité, il faut revenir sur l’histoire plurimillénaire de ce pays. I – La monarchie capétienne La monarchie française est née au IXe siècle autour des possessions de modestes seigneurs de l’Île-de-France, appelés Robertiens, puis Capétiens. Il s’avère que cette région correspondait à une de celles dans lesquelles se développeait la langue d’oil. Pour autant, ces premiers monarques français n’eurent aucune politique

des protections locales, de construire des châteaux forts et ca va renforcer ces dynasties seigneuriales qui vont disputer l’autorité et le trône au dernier roi carolingien ce sera le cas de Robert le Fort et sa lignée qui va être l’ancêtre des Capétiens. * 751 -822 : c’est la phase d’essor, des bâtisseurs d’Empire * 822-888 : la phase des crises : la succession à l’empire avec les partages * 888- 987 : la phase d’élimination progressive de la dynastie Décision d’élire un nouveau

règnes successifs des Mérovingiens (Clovis) ; disparition de la dynastie au profit des Carolingiens (milieu du 8ème siècle), fondés par Pépin le Bref en 751, puis Charlemagne (décadence et disparition en 987). 2° : Moyen-Age. 987 = avènement des Capétiens (Hugues Capet), s’achève au milieu du 15ème siècle (1453), fin de la guerre de Cent ans. 3° : 1453 – 1789 : les Temps modernes, l’Ancien Régime. Droit et institutions des périodes 2 et 3 ; cela reviendra à se pencher sur l’ensemble des règles

est un enfant de 7 ans : il est sacré du vivant de son père, comme son propre père Henri Ier et son grand-père Robert II le Pieux. Les carolingiens avaient coutume d’associer leurs héritiers au trône ; c’est une tradition que la nouvelle dynastie capétienne reprend pour assurer sa pérennité et s’inscrire dans la continuité des précédents souverains. Cette pratique achève d’établir le caractère héréditaire de la royauté en faisant passer au second plan sa dimension élective, qui perdure toutefois dans

posséder le pouvoir judiciaire était devenue un enjeu fondamentale au sein du pouvoir, ce qui fera l'objet d'une lutte de pouvoir entres les différentes juridictions. Dés 987 apparaît avec Hugues Capet ,la dynastie capétienne qui marque la fin de la dynastie carolingiennes. Et ces capétien ont directement souhaité affirmer la souveraineté du roi sur la justice. En effet le roi souverain ,souhaitait affirmer sa souveraineté sur le domaine judiciaire face à la féodalité , ce pouvoir ayant longtemps été

plusieurs acteurs, dont l’échelle d’implication dans l’espace considéré diffère selon les cas : trois acteurs sont locaux (les chanoines de Saint-Martin, les moines de Marmoutier et l’archevêque de Tours), tandis que le souverain, carolingien puis capétien, se situe à une échelle internationale ou suprarégionale. Sans prétendre m’inscrire dans une démarche chorématique du type de celle de R. Brunet (Brunet, 1986), j’ai synthétisé par des petits schémas l’analyse des représentations spatiales de

Naissance de la France :un Etat royal, une capitale, une langue Les réussites capétiennes : X- XIIIème s. Elles se situent dans le contexte du grand essor de l'Occident. Elles correspondent à quatre éléments : A La continuité dynastique Le hasard biologique n’a pas provoqué de crise de succession. Il y a succession automatique des rois de France à partir d’Hugues Capet. Les rois laissent tous un fils vivant à leur décès. Deux pratiques s’instaurent : la primogéniture et l’exclusion

féodal et le dominer. Les capétiens vont parvenir à affirmer leur souveraineté. 2 périodes : 11ème-13ème siècle (le capétien apprend à domestiquer le système féodal), et 13ème-15ème siècle (période où naît la souveraineté). TITRE 1 : LES TEMPS FEODAUX Dans la féodalité, il ya plusieurs pouvoirs. Le roi est l’un de ses pouvoirs ; il est obligé de le partager. Au début, il le partage avec les seigneurs, avec les princes territoriaux. A partir du 12ème siècle, le capétien partage son pouvoir avec