Capitalisme rhénan

Histoire du Capitalisme 1500 2010 Michel BEAUD Professeur dans les Universités parisiennes, Michel BEAUD a su présenter dans Histoire du Capitalisme 1500 – 2010 comment l’accumulation des biens et des moyens de production, régit notre monde et tend à s’affirmer en tous lieux comme l’organisation la plus profitable. S’il est aujourd'hui encore un moteur du développement, c’est que le capitalisme a été dès son apparition un régulateur social et économique. L’auteur décrit très objectivement l’avènement

Président et Edgard Faure Ministre de l’Economie, que l’on a envisagé un SMIG, un salaire indexé sur l’évolution de l’indice des prix. Si l’on a mis en place des salaires minimas, c’est dans une logique de justice sociale, de limitation des abus du capitalisme et de l’exploitation des travailleurs. Ce salaire minima n’est pas une dotation destinée à survivre mais être une rémunération décente du travail et surtout du travail non qualifié. Par la suite, le salaire minima connu d’autres légitimités : il

pas compris l’énigme de l’accumulation posée par Sismondi .De même, l’énigme était insoluble car elle était concentrée sur les problèmes de crises. Le débat a abouti à un double quiproquo qui s’est avéré absurde avec l’évolution ultérieure du capitalisme. Cependant, la critique de Sismondi reste importante du point de vue historique car elle montre la décomposition de l’économie classique incapable de résoudre les problèmes abordés. La deuxième polémique concerne l’interventionnisme étatique dans

La pièce Les chaises d’Eugène Ionesco présenté à la Bordée durant le dernier mois a amenée ses spectateurs à se pencher sur certains enjeux existentiels de l’humanité tels que la vieillesse et le sens même de la vie. C’est à l’aide d’un texte complètement absurde que Réjean Vallée et Nancy Bernier viennent remettre en question les bases mêmes de notre société. En plus de l’excellent jeu des acteurs que nous font presque croire que ce qu’ils disent est cohérent, la mise en scène de Bertrand Alain

économies », « calculs » qui n’était pas traité auparavant -Argumentation du renard emplie de clichés : l’artiste maudit qui renie l’argent « trivial », « triste », « gêne », « planez » … qui symbolise la montée en puissance du capitalisme (naissance du capitalisme suisse dont est originaire l’auteur) 3-La morale -Les personnages changent, la fable les a fait évoluer, ils ne sont pas enfermés et ne sont plus symboliques (grenouille petite / bœuf énorme s’oppose aux deux personnages qui tire

du communisme. Cette thèse de la ruse de la raison se retrouve chez Luc Ferry, ils insistent sur le fait que le capitaliste moderne a su intégrer l’épanouissement de la vie individuelle, la responsabilité dans le travail…tout ceci au service du capitalisme moderne.

produits agricoles par l’Etat. La liberté du commerce est rétablit, des petites et moyennes entreprises sont tolérées et on assiste alors au rétablissement du marché avec un système de prix et un retour à la propriété privée. C’est donc une forme de capitalisme public qui se développe mais on constate alors l’apparition d’une nouvelle classe de privilégiés qu’on appelle les Nepmen pour les chefs d’entreprise de PME et les Koulak qui sont des nouveaux propriétaires d’exploitation agricole. Il y a un nouveau

Le courant marxiste 19ème siècle Le capitalisme se développe rt domine les structures économiques. La condition ouvrière se détériore: -baisse des salaires -mauvaises conditions de travail -dépenses économiques accrues Les excès du capitalisme social vont faire apparaître un mouvement de réaction politique et social -- »mouvement syndical (le socialisme) aussi une réflexion d'ensemble sur la réalité et l'avenir du mode de production capitalisme: C'est le Marxisme. KARL MARX (1818-1883)

essentiels (santé, éducation, logement, alimentation, énergie, culture…). Celle de la résistance, contre les exclusions et les pauvretés sous toutes leurs formes, contre l’extension illimitée du domaine de la marchandise, contre les dérives du capitalisme financier et le productivisme qui mènent notre planète à sa perte. Si les entrepreneurs sociaux ont la tête dans ce ciel étoilé, ils ont bien en revanche les pieds sur terre. Pleinement dans l’économie de marché, ils sont acteurs de la réconciliation

marchander l’eau, à faire de l’eau l’or bleu. L’eau est un bien commun et l’accès à l’eau fait partie du droit à la vie, car comme chaque espèces vivantes, sans eau on meurt. Mais encore une fois, lorsque l’on parle de droit à la vie, on parle de capitalisme et de secteur privé or ceux-ci ont déjà accepté la privatisation de l’eau, c’est un défi colossale que de changer la décision de ces hommes d’affaires. De plus, leur régime a été mis sur pied il y a près de vingt ans de cela, lorsque les pays ont