Capitalisme Et Socialisme Enjeux Et Limites

champ académique « Business and Society ». Par contraste, les travaux historiques montrent que l’idée de Responsabilité Sociale se diffuse dans la Société et les milieux d’affaires dès la fin du 19ème siècle, dans un contexte de transformation du capitalisme américain (Epstein, 2002 ; Heald, 1961, 1970 ; Miller et O’Leary, 1989). L’accroissement radical de la taille des entreprises industrielles américaines (Chandler, 1988) et l’avènement progressif d’« une ère des organisateurs » (Burnham, 1947), concomitant

de plus en plus frappant. Un îlot capitaliste se développe au milieu de la RDA communiste. Les Berlinois de l’Est manifestent en juin 1953 contre leurs conditions de travail. L’agitation est réprimée par les chars soviétiques ce qui montre les limites de la « coexistence pacifique » espérée après la mort de Staline (mars 1953). Les Occidentaux n’ont pas bougé, respectant la règle de non-intervention dans le bloc adverse. La répression accentue la fuite des Allemands de l’Est vers l’Ouest : de

communautés diverses, classes, etc.) Problématique : A partir de sa définition sociologique, peut-on constater un développement de l’individualisme dans nos sociétés contemporaines ? En quoi ? Quelles manifestations ? Si tel est le cas, quelles limites et garde-fous rencontre-t-il ? Est-il asocial par essence ? Quelles formes adopte-t-il ? Sociétés contemporaines. A quelle échelle raisonne-t-on ? _ 1789- 2006 ? _ 1960 – 2006 ? _ 2000- 2006 ? La marche vers un plus grand individualisme

26 29 32 37 41 45 49 53 57 61 65 69 74 Leçon 1 Leçon 2 Leçon 3 Leçon 4 Leçon 5 Leçon 6 Leçon 7 Leçon 8 Leçon 9 Leçon 10 Les découvertes scientifiques et les mutations économiques. Le développement du capitalisme et les mutations sociales. Les doctrines sociales : syndicalisme et socialisme. Les missions et les explorations. Les rivalités coloniales : La conférence de Berlin et ses conséquences. Les résistances : formes, exemples, bilan. Les systèmes coloniaux (exemples français et britannique)

effondrement car le monde se diversifie et n’est plus européo-centré. L’Europe devient un simple moteur. Les russes veulent imposer un nouvel ordre sans colonisation par le socialisme. Lénine veut la décolonisation de tous les pays par le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Il veut briser le capitalisme pour aller vers le socialisme. Pour Wilson, cela empêche l’Europe d’aller aux USA et ainsi l’Europ reste aux américains, ce qui est le but de la doctrine Monroe. Les RI doivent obéir à des valeurs

2) Le libéralisme et le capitalisme : F. Braudel, K. Marx, C. Arnsperger, F. von Hayek. 3) Le régulationisme. 4) Les démocraties majoritaires : F. von Hayek et Buchanan. 5) Le communisme : F. von Hayek. 6) La tyrannie. CHAPITRE 3 : L’IDEAL SOCIAL, SA MESURE (4 heures). 1) Les choses sont préprogrammées. 2) La maximisation de la richesse matérielle ou la croissance économique : définition, outils de mesure, interprétation et limites. 3) La durée de vie

américaines, britanniques et françaises – définie à Yalta et Potsdam en 1945 – est une enclave au cœur de la zone d'occupation soviétique. En quoi l'histoire de l'Allemagne et de Berlin entre 1947 et 1991 montre la bipolarisation du monde, mais aussi les limites de l'ordre voulu par les deux Grands ? Nous verrons d'abord que de 1947 à 1962, l'Allemagne est au cœur de l'affrontement militaire et idéologique entre les deux Grands. Puis nous montrerons que de 1962 à 1985, si elle est au centre du rapprochement

chronologique de l’histoire permet de saisir les différences entre Orient et Occident, autour de la région du « croissant fertile » et de comprendre la marche de l’Histoire. chapitre 2 : une brève histoire du capitalisme Attali décrit l’avènement, le règne et le déclin des neufs « cœurs » du capitalisme. chapitre 3 : la fin de l’empire américain Attali interprète les événements contemporains comme le déclin du 9ème « cœur ». Il prévoit l’avènement de l’Ordre Polycentrique. ---- L’histoire de l’avenir

l’entreprise dans cette démarche, le contrôleur de gestion doit en avoir une vision élargie. Il lui faut être conscient des limites des systèmes de pilotage traditionnels et combiner les logiques cartésienne et complexe en fonction des situations de gestion. En outre, il lui apparaîtra qu’un capitalisme essentiellement tourné vers la satisfaction de l’actionnaire, montre à terme, ses limites. Cette appréhension « éclairée » de l’entreprise, perçue comme un système vivant, a nécessairement des répercussions

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