Capitalisme Et Mutations Sociales

Le cadre général des activités économiques et sociales. A) Population et travail : Introduction : Y a-t-il trop ou pas assez d’homme sur la terre pour satisfaire la croissance? La répartition des âges est-elle correcte ? Faut-il intervenir politiquement pour stopper ou susciter la croissance ? Est-ce le rôle de l’État ? 1°/ L’évolution de la population mondiale: a) Intérêt et limites de la démographie. La démographie est une science jeune (milieu du 19ième siècle). Avant

de richesses économiques et /ou sociales et améliore le bien être collectif. La diversité des initiatives entrepreneuriales participe à une adaptation plus fine de l’économie aux besoins de la société en matière d’emploi, de santé, d’environnement ou encore de la lutte contre les exclusions ou les inégalités sociales. Créateur de richesses, l’entrepreneur est en effet un acteur de justice sociale dans ses efforts de réconciliation de l’économique, du social et de l’environnemental. En plus

les concepts du capitalisme : Le système socialiste : C'est un courant de pensée et un ensemble de mouvement politique apparus au cours du 19 ème siècle. Ses caractéristiques : L'appropriation collective des biens, des moyens de production. L'état assure la propriété collective des biens et services et met celle ci à disposition de la collectivité (oppostion avec système capitaliste : la propriété est avant tout privée, ce qui est source d'inégalités). L'égalité sociale, en opposition

expliquant que chacun donne à la gestion de ce qui lui appartient, des soins plus attentif qu’il n’en donnera à 1 bien commun. Chacun évite l’effort & laisser le soin aux autres de pourvoir a l’œuvre commune. De plus la propriété est facteur de paie social qui évite d’inutile conflit. Pour st thomas si la propriété est légitime, tout usage ne l’est pas car st thomas pense aux nécessiteux. 3) C’est à la suite d’Aristote que les Scolastiques vont étudier les transactions monétaires. Ils l’analysent

marxiste, qui voyait dans cette institution la "béquille du capitalisme". Cette théorie permet dans une certaine mesure de comprendre pourquoi cette redistribution a évolué de façon croissante et constante. En effet, dans ce contexte de crise, l’intervention massive de l’Etat français en terme de revenu depuis 1970 trouvait son explication dans le besoin de l’Etat d’aider les acteurs économiques à surmonter la crise (une crise du capitalisme) connue depuis le premier choc pétrolier en 1973. Par ailleurs

d'étude secondaire, passant après les analyses économiques, celles portant sur les classes sociales par exemple. Il apparait cependant que l'observation de la place des loisirs dans la société est un révélateur des avancées sociales, économiques : les loisirs recouvrent un certain nombre de réalités historiques non-négligeables, et ont ceci d'avantageux : ils permettent de percevoir les mutations culturelles et sociales d'un pays. Dès lors, l'étude des loisirs dans un pays renseigne bien sur une pluralité

massive des villes attire les paysans qui se regroupent, formant ainsi des cités ouvrières en périphérie des villes et autour des usines, c’est ce qu’on appelle la paupérisation. Avec cette révolution industrielle, on voit alors apparaître une mutation de la société. On retrouve deux classes bien distinctes : d’une part la bourgeoisie qui remplace l’aristocratie et la noblesse d’ancien régime. Elle domine l’économie et la politique, ce sont les détenteurs du capital industriel. On retrouve en opposition

de travail rencontrent un large succès au XXe siècle. Bouleversant le travail des ouvriers dont les tâches sont décomposés et chronométrées, le travail à la chaîne permet d’importants progrès de la productivité Le fordisme ajoute une dimension sociale à l’OST, les salaires de l’industrie devant être suffisamment élevés pour permettre aux ouvriers d’acheter les biens qu’ils produisent .Progressivement, d’abord aux Etats-Unis, la société de consommation se met en place B. Les effets de la croissance

Travail et cohésion sociale Le travail assure-t-il toujours la cohésion sociale ? Introduction Depuis l'apparition du capitalisme et son développement lors de la révolution industrielle, le travail semble être devenu le "grand intégrateur" de notre société. Depuis une vingtaine d'années, la crise dans les PDEM s'accompagne d'une remise en cause du travail comme élément essentiel de la cohésion sociale. A - Le déclin du travail en tant que facteur de cohésion sociale. 1. Les transformations

l’environnement) et elle fait des dégâts au niveau social. On commence à entendre des gens qui demandent une démondialisation. Aujourd’hui, l’Europe n’est plus au cœur de la mondialisation. Aujourd’hui on dit que la mondialisation est polycentrique (plusieurs centres qui se livrent une « guerre »). Etudier l’histoire de la mondialisation revient plus ou moins à étudier l’histoire du capitalisme. Si on en croit Fernand BRAUDEL, le capitalisme s’est constitué au Moyen-âge en Italie. Il a pris