Capital Risque Biotechnologie

LE CAPITAL INVESTISSEMENT ET LE DISPOSITIF FOPRODI Riadh ABIDA ATIC 1 Le plan de l’intervention 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. Rappel de la définition du capital investissement Importance du capital investissement Le capital investissement et les pouvoirs publics Le financement des projets à risque Rendement d’un portefeuille capital risque création Où en est le capital investissement en Tunisie? La problématique du capital investissement La problématique spécifique au FOPRODI

contraignants sont introduits dans la relation de crédit pour garantir son remboursement de ce dernier. On retient généralement comme facteurs contraignants les garanties, la relation de clientèle et le groupe solidaire. · Les garanties. Pour minimiser le risque d'insolvabilité de certains emprunteurs, le prêteur peut exiger au préalable lors de la mise en place d'un crédit la constitution des garanties. Nombreux sont les auteurs qui se sont intéressés à l'introduction de la garantie dans la relation de crédit

soutien économique au "printemps arabe" risque d’être coûteux ! 25/06/2013 | 13:48 Quelle complémentarité entre privé et public dans les pays Arabes? Tous ses articles Bien que les statistiques disponibles indiquent une hausse significative des prêts bancaires au secteur privé dans les pays arabes au cours de la dernière décennie, l’essentiel des prêts profite uniquement aux grandes entreprises. Le comportement d’aversion excessive au risque des banques n’explique qu’en partie les

s’interroger par la suite sur l’existence d’une structure financière optimale, qui maximiserait la valeur de l’entreprise. PLAN du chapitre 1. Le financement par fonds propres 1.1. Autofinancement 1.2. Augmentation de capital 1.3. Introduction en bourse 1.4. Le capital-risque 2. Le financement par dettes 2.1. La dette bancaire 2.2. La dette obligataire 3. Le financement par crédit-bail 4. Le choix d’une structure financière 4.1. Un monde parfait : La neutralité de la politique de

lui attribuant la totalité de la participation aux pertes ou l’excluant du partage des bénéfices. En principe, au regard de l’article 1844-1 du code civil, la participation au résultat est proportionnelle à l’apport de chaque associé dans le capital social. Cependant, c’est une règle supplétive qui peut être écarté par une clause d’inégalité de traitement prévue dans les statuts si la loi l’autorise. Cependant, le législateur pose une limite à cette possibilité par l’interdiction des clauses

de croissance annuel de 4,5% (contre un minable + 0,3% aux Etats-Unis !). Nous avons, dans ce domaine, le profil d’un pays émergent (+ 5,8% chez les Brics). On a beau nous traiter de pessimistes, d’allergiques au libéralisme et de timorés face au risque… nous avons foi dans l’avenir avec une âme de pionnier et un tempérament d’explorateur. Et toc. Puis flop. Car ces courbes vigoureuses et cette prolifique fertilité font certes de nombreux beaux bébés, mais les plus vaillants se font dévorer avant

peut donc y avoir des rationnement en fonds propres des entreprises. Rappel : Stiglitz-Weiss (1981) – rationnement endogène du marché du crédit La banque, face à une entreprise, cherche à évaluer le risque. Il y a asymétrie d’information. Le banquier cherche à se couvrir en exigeant une prime de risque plus importante que ce qu’impliquerait un fonctionnement transparent des marchés. Dans ce cas, l’entrepreneur qui sait que son projet est bon ne passe pas par une banque mais par du « love money » ou

externe : LBO …………………………………………………..12 b. Le rachat d’une entreprise par les salariés ………………………………13 c. Le capital risque ………………………………………………………………………………13 2. Financement du développement de l’entreprise ………………………….15 a. L’introduction en bourse ……………………………………………………………….15 b. L’augmentation du capital …………………………………………………………..16 c. Les sociétés de capital risque ……………………………………………………….16 Deuxième partie : intelligence économique ……………………………………….18 I. Définition et objectif

mémoire A titre d’exemple, intéressons-nous à Innovacom, la société de capital risque créée par France Télécom. Innovacom finance en fonds propres les phases de création et de démarrage de sociétés innovantes dans les domaines des composants, du hardware, des logiciels et des services dédiés aux télécommunications. L’équipe de gestion du fonds s’appuie sur sa connaissance de France Télécom et de ses filiales (Orange, Wanadoo…) pour favoriser les contacts techniques et commerciaux entre les

besoins des entrepreneurs ou sont parfois inadaptés au contexte socio-économique marqué par l'insuffisance de fonds propres. Du coup, d'autres produits, en particulier le capital-risque, sont mis en place pour pallier la faiblesse des ressources financières et favoriser la création et le développement de PME. Le capital risque se traduit premièrement par une injection de liquidités qui permettra de développer l’activité et de financer la croissance, on peut le définir comme étant une activité d’intermédiation