Canton du Marigot

Je vivais dans le marigot de Pehou depuis longtemps. Je vivais là tapi entre deux eaux à attendre impassiblement que quelque chose vienne troubler mon ordinaire. La patience est une vertu cultivée par mes aïeux depuis des millénaires. Je crois qu’aux origines même de la vie sur terre, ils la pratiquaient de toute éternité. J’imagine même que le mot rond de cuir qu’on utilise aujourd’hui pour railler l’immobilisme, a connu son origine inspiré par mes ancêtres. Le cuir c’est ma carapace. Je suis

physique  Assane Seck   Revue de géographie alpine     Année   1955   Volume   43   Numéro   43-4   pp. 707-755 708 | | 710 | | 710 ASS ANE SECK. Au point de vue administratif, la Moyenne Casamance est divisée en 9 cantons qui portent les noms indigènes des régions : Canton de Boudhié de Yacine Sud de Souna-Balmadou de Pakao-Tilibo de Fogny de Sonkodou de Balantacounda de Brassou de Kabada Mais ces régions que les indigènes ont su distinguer ne peuvent servir de base à une étude régionale

s’occuper de leurs jeunes frères et soeurs, pour aller chercher de l’eau aux marigots ou aux puits et faire la vaisselle et la lessive », résume Raoul, jeune sociologue congolais. En outre, dans de nombreux villages africains, notamment lorsque la population est musulmane, certains chefs de famille sont convaincus que l’éducation est inutile dans leurs sociétés où les filles sont censées se marier très jeunes et se cantonner au petit cercle familial. « Que voulez-vous que ma fille aille faire à l’école

: APERCU GEOGRAPHIQUE Il s’agit ici de présenter le village de Gbomblora et les facteurs géographiques qui ont favorisé l’installation de la population lobi à Gbomblora. I-1-PRESENTATION DU VILLAGE DE GBOMBLORA Faisant partie de l’ancien canton d’Iridiaka crée en 1924, Gbomblora devient chef lieu du département en 1983 par l’ordonnance n°83 021/PRES/CNR du 14 Novembre portant réorganisation de l’administration territoriale du Burkina Faso. Il devient fonctionnel en 1984. A

vestiges, des ruines abandonnées d’anciens édifices religieux. Situation politique En 1946, Polynésie devient le territoire d’outre-mer autonome(TOM). Le 6 septembre 1984, il y a une grande réforme instituant l’autonomie interne, à l’image des cantons suisses et les lois de 1996 complètent le statut d’autonomie. En 2003, elle devient aussi la collectivité d’outre-mer (COM). Il n’y a pas de divisions administratives, mais 5 divisions d’archipel (L'archipel des Marquises, L'archipel des Australes

document publié par le club de Rome attire l’attention de toute l’humanité sur la nécessité de meilleure pratique en matière de Gestion des Ressources Naturelles. Mais les populations locales, celles d’Afrique de l’ouest, organisées en village ou canton possédaient dès l’époque précoloniale leur propre système de gestion des ressources naturelles. Ce système traditionnel est autant intéressant à connaitre qu’il constitue un domaine d’exploration dans la recherche des stratégies visant à amélioré

pointe de Grande-Terre et l’île de La Désirade à l’est de Grande-Terre . Jusqu'en 1997, le département français de la Guadeloupe était découpé en trois arrondissements (Basse-Terre, Pointe-à-Pitre et Saint-Martin / Saint-Barthélemy) subdivisés en 43 cantons et 34 communes. Mais, depuis le 15 juillet 2007, le statut de Saint-Martin et de Saint-Barthélemy a été modifié et ces deux îles ne font plus partie de la Guadeloupe; elles sont devenues des collectivités d'outre-mer. Avant le 15 juillet 2007, la

sentent un territoire de 1628 kilomè tres carré : 400 736 habitants. La s Guadeloupe est divisé en trois arrondissements (Marigot, Basse Terre et Pointe à Pitre), 43 e cantons pour 34 communes dont Pointe à Pitre (132 870 habitants) et Basse Terre (37 455 habitants) sont les plus importantes. Non loin de la Guadeloupe, la partie franç aise de Saint Martin dont la capitale est Marigot a une superficie de 53 kilomètres carrés (l’île de Saint Martin entiè = 93 kilomè re tres carré et compte 38 819 habitants

une pièce, il vient voir un spectacle. C’est l’histoire d’un soir dont la pièce sera plus le résidu, la retombée, le souvenir, que cette partition de mots qui a présidé à sa naissance. Il n’empêche. À travers le marais de la représentation et le marigot des plumitifs moyens, un certain nombre d’auteurs ont su s’orienter et naviguer à bon port. Avec obstination et talent. Sans pousser le bouchon jusqu’au palmarès, on peut toutefois dresser un inventaire, ni exhaustif ni totalement sélectif. En observant

par un trou d’un sac, d’un grenier ». 41. « Se presser. » 42. « Fondre (métal). » 43. « Lamantin ; esprit du lamantin. » 44. « Creuser. » 45. « Creuser. » 46. « Chauffer. » 47. « Brousse, zone inculte. » 48. « Se réjouir. » 49. « Pétrir. » 50. « Marigot ; bord de l’eau. » 51. « Entasser ; se réunir. » 52. « Lutter. » SEIGNOBOS C. & TOURNEUX H., 2001, Contribution à l’histoire des Toupouri et de leur langue, in R. Nicolaï (éd.), Leçons d’Afrique : Filiations, ruptures et reconstitution de langues