Candide Visée Satirique

fin du XIXe siècle oscille entre deux pôles : le progrès comme simple source d’inventions plus ou moins fabuleuses (les Voyages excentriques (1894-1914) de Paul d'Ivoi ou encore les machines rêvées qui hantent le Journal des Voyages) et les récits à visée didactique (Uranie de Camille Flammarion en 1889, les découvertes stellaires du héros de Le Faure et Graffigny) ou spéculative (le Vingtième siècle d’Albert Robida en 1884). La Belle Époque est le point d’orgue de l’anticipation française. Presque

l’imaginaire, l’illusion et finit par basculer dans la folie. Le rêve du Bourgeois Au lieu d’accepter son rang, il veut faire partie de la noblesse. Acharnement à nier sa propre réalité. Il ne veut pas changer l’ordre social mais satisfaire sa vanité candide. Il s’agit pour lui d’imiter les manières, habitudes, culture etc. des nobles. L’échec du Bourgeois Échec triple : il ne devient pas et ne passe pas pour gentilhomme, et il est dupé. Son erreur est de ne s’attacher qu’aux apparences. Il se déguise

une carrière de diplomate et d’homme politique. Depuis 1987, il participe à de nombreux gouvernements de son pays et assure la charge de différents ministères. Oyono n’est donc pas seulement un homme de lettres : il envisage la littérature dans sa visée polémique et politique. Il ne publiera que trois romans qui sont à comprendre comme une trilogie car chacun se lit en tant que satire du colonialisme : Une vie de boy en 1956, Le vieux nègre et la médaille la même année et Chemin d’Europe en 1960.

droit. Il se mêle au peuple dont il observe les mœurs et le dialecte. Il séjourne avec Jean Bouchet (poète) avec qui il entreprendra des acrobaties verbales des rhétoriqueurs. Finalement il part à la faculté de Poitiers. Il s’y inspire d’allusions satiriques. • L’étudiant et le voyageur : il étudie médicine à Montpellier car les auteurs grecs utilisent beaucoup d’anatomie humaine. En 1532 il se fait connaître avec ses commentaires sur un livre d’Hippocrate. (1532-1551) il exerce la médicine et

lexicaux en rapport ou |accord avec l'état d'âme). | | | | | | |non avec le sujet décrit. |critique, satirique (portraits). | | | | | | |densité des figures de style |réaliste (elle a souvent alors une |

| |- La Bruyère, Les Caractères ou les mœurs de ce siècle |Commentaire : Voltaire, Candide, chap III | |- Voltaire, Candide, chap III |Dissertation : Victor Hugo fustige « le penseur qui se mutile / Et s’en va, chanteur inutile, / Par la porte de

: les animaux décrits comme des héros de l’Iliade d’Homère et dans Les Deux coqs de La Fontaine. -la Satire tourne en dérision de manière plaisante ou virulente, un individu ou une institution : Voltaire se moque des Jésuites dans ses poèmes satiriques. -l’ironie exprime le contraire de ce que le locuteur veut faire comprendre. L’antiphrase, figure de style privilégiée de l’ironie, suppose une complicité entre auteur et lecteur : On dit « Bravo, je te félicite ! » à quelqu’un que l’on souhaite

Encyclopédie - Voltaire, « Guerre », Dictionnaire philosophique - Giraudoux, La Guerre de Troie n’aura pas lieu HACHETTE Annales Bac 2007 La critique de la guerre (corpus 16, p. 350) - La Bruyère, Les Caractères ou les mœurs de ce siècle - Voltaire, Candide, chap III - Damilaville, article « Paix » Encyclopédie - Giraudoux, La Guerre de Troie n’aura pas lieu, I, 6 NATHAN Interro des lycées 2008 (L – juin 2003) - La Fontaine, « Les obsèques de la lionne », Fables, VIII,14 - Zola, Germinal, IV,7 - Jarry

lesquelles lui aussi condamne la guerre. Il s’adresse à son père Priam en présence d’Andromaque… [Ces deux personnages interviendront nécessairement dans la scène théâtrale.] Question : Comparez les différents textes du corpus. Commentaire : Voltaire, Candide, chap III Dissertation : Victor Hugo fustige « le penseur qui se mutile / Et s’en va, chanteur inutile, / Par la porte de la cité » (Les Rayons et les Ombres). Pensez-vous que les écrivains doivent ainsi être toujours au service de la population

du texte. C’est pourquoi il est peut-être plus riche de choisir une œuvre où la fin marque une sorte de rupture par rapport aux attendus. Pensez aux effets de surprise. Ex : Cinna : la fin pose problème eu égard à la définition canonique du genre. Candide : fin ambiguë, certes positive : mais on peut en douter. La question à poser est donc qu’est-ce que « bien » ? Ce « bien » est un mot flou. L’œuvre qui finit bien serait d’abord celle qui s’achève entièrement, qui est « bien terminée ». A opposer