Candide Leldorado

Candide, de Voltaire Chapitre XV, Comment Candide tua le frère de sa chère Cunégonde Depuis « Le baron ne pouvait se lasser… » jusqu’à « …et dans ces trois il y a deux prêtres » (p.47-48 de l’édition Folio) Introduction Candide est un conte philosophique utilisant les pouvoirs de la fable et les ressources du comique et de l’ironie pour dénoncer plus efficacement les idéologies et les mœurs du temps. Situation Les retrouvailles inattendues de Candide et du Baron de Thunder-ten-tronckh

Candide, ou l’Optimisme * Nom et prénom de l’auteur : François Marie Arouet, dit Voltaire (1694-1778), est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective des Français. Il inaugure en effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. * Date de la 1ère publication : janvier 1759 * Genre de l’œuvre : conte philosophique 1) Résumé de l’œuvre : Candide

Passivité => Impulsivité, pas de réflexion. - « lui firent boire du punch et le renvoyèrent » (pg6) => Le huron paraît ridicule aux yeux des autres personnages  CC : - Dénonciation de la guerre Elargissement : rapprochement avec le chapitre 3 de Candide qui dénonce également l’horreur de la guerre en parlant de « boucherie héroïque »

VOLTAIRE Candide ou l’Optimisme. Chapitre premier, 6 premiers paragraphes. En 1759, Voltaire écrit son troisième conte philosophique : Candide ou l’Optimisme. Cette forme littéraire originale lui permit de contourner la censure en faisant passer un message idéologique à travers les tribulations d’un personnage fictif. Le premier chapitre remplit son rôle d’exposition en présentant le contexte et les personnages à la façon d’un conte traditionnel. Cependant, au-delà de cette présentation, la présence

Enfin, la fable a une vocation traditionnelle qui est de délivrer un message, un enseignement, une bonne morale qui permet de vivre en société et de mettre en garde celui qui s’aviserait de ne pas respecter les règles. Candide, jeune homme issu d’une société aisée, dans Candide de Voltaire, découvre les difficultés et les absurdités du monde, et doit apprendre à surmonter les épreuves. Les leçons restent le plus souvent implicites, mais visent toujours l’apprentissage de la vie.

philosophiques, de romans à visée didactique (qui permettent de contourner la censure menaçante à cette époque), qui veulent susciter la réflexion et développer un esprit critique sous un aspect divertissant cherchant à séduire le public (Zadig ou Candide ou l'Optimisme de Voltaire). Le romantisme : Le romantisme se développe en Allemagne et en Angleterre à la fin du XVIIIe siècle. Il apparaît ensuite en France au XIXe siècle, en réaction à la rigueur classique et au rationalisme des Lumières.

ARGENT: Monnaie en pièce et en billet de banque. L’argent occupe, dans Candide, une place très importante. En effet, on constate qu’il est présent dans une grande partie du roman. Il peux être présenté comme une source de souffrance : « Nous vous défrayerons, mais nous ne souffrirons jamais qu’un homme comme vous manque d’argent », ce qui voudrait dire que cela pourrait être un «danger» ou un piège pour l’innocent Candide. Mais il est également affichié positivement dans cet ouvrage. Extrait

A : Un récit de voyage : Chapitre 3 : Candide est témoin d’une guerre entre les troupes bulgares et arabes. Il alla dans un village arabe et il vit toute les horreurs commises par les Bulgares ; de même quand il alla dans un village bulgare où il y vit les horreurs commises par les arabes. Il déserte en Hollande, où il y découvre l’intolérance et ou il rencontre Jacques un anabaptiste qui lui donne à manger. Le lendemain il rencontre un clochard en très mauvais état. Chapitre 4 : Le clochard

découvrir d'autres mœurs, d'autres conceptions, d'autres opinions, à des époques différentes ou dans des lieux différents. -> Référence : Discours du vieux Tahitien (Supplément au voyage de Bougainville) remise en question de la société Occidentale, Candide l'Eldorado, comparaison de deux sociétés à tout point de vu opposées.  -> Le Détour par l’Autre permet, par le procédé du détour de faire passer un avis plus ou moins objectif par l’Autre, ainsi, dans le Supplément au voyage de Bougainville, par

mais surtout annonçant le Figaro de Beaumarchais : « Si le Ciel l'eût voulu, je serais fils d'un prince[3]. » Candide est également un récit de formation, récit d'un voyage qui transformera son héros éponyme en philosophe, un Télémaque d'un genre nouveau. L'onomastique[4], en matière d'interprétation des textes voltairiens, se révèle souvent féconde. Le mot « candide » vient du latin candide ou candidus qui signifie blanc et a pour second sens « de bonne foi, avec candeur, simplement ». Le choix d'un