Camus Les Justes Personnages

apparit° de tragédies s’inspirant d’histoires bibliques ou mythologiques. Commedia dell’arte 1528 Littéralement « théâtre interprété par des gens de l’art », ainsi = genre de comédie italien joué par troupes de professionnels masqués avec des personnages récurents comme Arlequin, Pantalone. C’est 1 représentat° qui raconte un fait l’improvisant donc s’adapte de façon naturelle à chaque public. Baroque : début XVIIème ou fin XVIème dont le principal auteur est Corneille et son dilemme cornélien

équivalent maléfique), Pantalon (le vieillard amoureux d'une jeune fille), etc. Les procédés utilisés dans la commedia dell'arte sont le quiproquo, le comique gestuel et les blagues grivoises.
On retrouve de nombreux procédés parallèles et de nombreux personnages équivalents à ceux de la commedia dell'arte dans la comédie classique. EXEMPLE Dans les pièces de Molière, on retrouve Sganarelle, le valet bouffon. Il peut être considéré comme l'équivalent d'Arlequin. En effet, il est lâche, volubile, et se

librement. Nous trouvons en littérature de nombreux exemple de ce « je » narratif bien distinct du « je » biographique. Dans Cris, Laurent Gaudé retrace l'histoire de quelques soldats dans les tranchées de la Première Guerre mondiale. Les différents personnages mis en scène parlent tous à la première personne et chacun raconte la guerre selon la manière dont il la vit. Laurent Gaudé est né après les deux Guerres mondiales, il ne pourrait donc à travers son œuvre exprimer sa propre expérience. Ce qu'il

de la nuit côtoient les humains, et le théâtre représenté sur scène (= mis en abyme) apporte à son tour son lot de réjouissances. Au lever du jour, la raison reprend ses droits après une parenthèse enchantée qui a plongé les spectateurs et les personnages au cœur d’une troublante féérie. Mais le divertissement offert par le théâtre s’appuie sur tous les ressorts de cet art. Et la langue théâtrale est ici le ferment de son efficacité. Comment ne pas être sensible à la beauté des stances de Rodrigue :

va-et-vient, sur un aller-retour entre la fiction et les événements. La littérature d'idées n'est pas une littérature formelle, abstraite, où tout se jouerait dans le style abscons, dans un galimatias ébouriffé. Même les récits romanesques bourrés de personnages et d'intrigues peuvent servir d'écrin à une réflexion, vulgariser une doctrine, sans verser dans le didactisme érudit ou pédant. La littérature nous aide à comprendre le monde, parce qu'elle est avant tout une production de l'esprit.... [deuxième

Conférences de littérature française aux XIX-XX siècles Balzac , Flaubert, Maupassant, A. France, R.Rolland, R . Martin du Gard, L. Aragon, A. Camus Conférence 1. Le réalisme du XIX s. L’oeuvre de I. Balzac , de II. Flaubert, de III.Maupassant  1.I Honoré de Balzac (1790 - 1850) et sa « Comédie humaine » HONORÉ DE BALZAC est né à Tours. De 1807 à 1813 il est pensionnaire chez les oratoriens à Vendôme, puis, comme la famille déménage à Paris, il fréquente des cours à la Sorbonne

Trotsky (1879-1940), un des leaders de la Révolution de 1917 en Russie, exclu du parti communiste russe en 1927 après la mort de Lénine, en 1924, puis pourchassé par Staline qui placera à ses côtés un secrétaire qui l’assassinera en 1940. Quant aux personnages d’hoederer et d’hugo, ils représentent les deux versants possibles du militant communiste: d’un côté, le pragmatique, hoederer, prêt à se «salir les mains» pour faire triompher sa cause – «est-ce que tu t’imagines qu’on peut gouverner innocemment

tout autrement. Aussi Guez de Balzac a-t-il dit de lui, avec raison : « Montaigne sait bien ce qu’il dit, mais il ne sait pas ce qu’il va dire. » Du reste, dans ce désordre, il y a tant d’esprit, de science, de profondeur, de pensées ingénieuses et justes, qu’on est heureux de le suivre partout où il va ; il parle si agréablement qu’on regrette de le quitter ; c’est le causeur le plus instruit, le plus spirituel qu’on puisse rencontrer.   De même que Rabelais, Montaigne attaqua les travers de son époque :

l'histoire prend vie. Devant nos yeux de spectateur, des acteurs pénètrent la peau des personnages et des décors sont présents pour aider à donner un effet vraisemblable. La représentation donne le pouvoir aux acteurs de jouer un rôle. Ce pouvoir donné permet au spectateur de poser un visage sur un simple nom. En outre, le spectateur peut aussi se forger une opinion claire du caractère et de l'attitude du personnage. Lorsqu'une pièce est représentée, les émotions ressenties sont plus fortes : la représentation

bienséance interne de la bienséance externe. La bienséance interne doit assurer la cohérence interne à la pièce. La bienséance interne oblige le personnage à certains principes: Le caractère du personnage doit rester constant du début jusqu'à la fin de la pièce. Le personnage doit se comporter en conformité avec son statut social. Si le personnage est connu, il doit être dans la pièce tel qu'il est dans la réalité. La bienséance externe est le fait de devoir se conformer aux mœurs des spectateurs