Camus Et Surréalisme

l’œuvre de Proust A la recherche du temps perdu. • Les autres écrivains poursuivent le genre romanesque traditionnel. Les sujets traités s’attachent à décrire à la fois des destins individuels et l’histoire collective (ex. : Malraux, Sartre, Camus, …) - 2ème moitié du siècle : • Une contestation radicale : c’est le Nouveau Roman qui prône la disparition des notions de personnage, d’intrigue, de chronologie, pour mieux reproduire le désordre de la vie, où rien ne commence et ne

Labiche Laforgue Lamartine Mallarmé Maupassant Musset Nerval Rimbaud Sainte-Beuve Stendhal Verlaine Vigny Villiers de l’Isle-Adam Zola XXe siècle Alain-Fournier Apollinaire Aragon Bazin Beauvoir Beckett Bernanos Bonnefoy Breton Camus Céline Patrick Chamoiseau Claudel Cohen Colette Ernaux Follain Gide Giono Giraudoux Goffette Gracq Ionesco Kafka Le Clézio Lévi-Strauss Malraux Mauriac Montherlant Pagnol Ponge Proust Romains Saint-John Perse Sarraute Sartre

artistes de s’engager. Sartre a pu ainsi, parfois, exiger cet engagement, car l’artiste est impliqué, comme les autres, dans un monde qui va de l’avant et dans lequel les luttes sociales concernent aussi les artistes (voir les polémiques avec Albert Camus)… Il y a un autre problème : si cette exigence était légitime, elle devrait reposer sur le présupposé selon lequel les œuvres délivrent toujours (ou doivent délivrer) un « message ». « S’engager dans la voie du Progrès » signifierait alors faire

tombes (1946).,Elles se rendent pas compte (1948) ou Et on tuera tous les affreux (1948), Vercoquin et le Plancton (1946), l'Automne à Pékin (1947), l'Herbe rouge (1950) et l'Arrache-Cœur (1953), l'Écume des jours (1947) Style : Il utilise le surréalisme et parle aussi de la sexualité et le scandale. La mort des jeunes prend aussi une part importante. Presque comme une pièce de théâtre, il utilise beaucoup de DRD. Le passé simple présente l’action dans sa ponctualité, il est bien pour la scène

« Le théâtre de l'absurde » Au XXe siècle, le plus populaire parmi les mouvements d’avant-garde fut le théâtre de l’absurde. Héritiers spirituels de Jarry, des dadaïstes et des surréalistes, influencés par les théories existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve,

s'énonce clairement" L'art poétique Breton André : -"dites vous que la littérature est un des plus tristes chemins qui mènent à tout" Manifeste du surréalisme -"la poésie n'a de rôle à jouer qu'au delà de la philosophie" Manifeste du surréalisme Butor Michel : "Chaque mot écrit est une victoire contre la mort" Entretiens avec Georges charbonnier Camus Albert : "Oui, j'ai une patrie, la langue française" Carnets -"la grandeur de l'homme est dans sa décision d'être plus fort que sa condition"

propagande. De nombreux auteurs vont y participer : Corneille, Boileau, Molière, De la Fontaine...3) Le ClassiqueLes Lumières :4) RomantiqueLe Romantisme :Le Réalisme :Le Symbolisme :Le Naturalisme :5) Moderne Le Surréalisme : (Cf : 3) ) 6) ContemporainLe Théâtre de l'Absurde :La poésie :1) Histoire et définition de la poésieLa poésie est un art littéraire, un genre, codifié par des règles de versification qui

de la présence de la métropole dans les pays colonisés. Au niveau culturel, la France est secouée par plusieurs courants. Le premier, issu du symbolisme, est entrainé par André Breton, qui publie le Manifeste du Surréalisme la même année que le Voyage : il s’agit en effet du surréalisme, qui refuse les valeurs bourgeoises. Le roman reste la forme privilégiée de la littérature, elle est influencée par le cinéma (le jeu des caméras est souvent imité dans l’écriture, mais aussi par les sujet qui sont

Français Biographies | Auteur |Siècle |Mouvement |2 genres |2 oeuvres |2 thèmes |Nationalité | |Guillaume Apollinaire |19/20 |surréalisme |poésie, récit |Alcool, Le poète assassiné |amour, temps qui passe |français | |Stevenson |19 |réalisme / |roman, récit de |L'île aux trésors, Voyages avec un

qui veille. Mais moi, maître clément du vin et de l’abeille, Sans bâton pour le battre et pour le houspiller, Un soir qu’il visitait le cep et l’espalier, J’ai pris le maraudeur par le bout de l’oreille. Il était roux, velu, penaud et sur sa face Camuse se mêlait la peur à la grimace; Il soufflait bruyamment et ne regimbait pas; Et, tout en le menant par l’enclos, de la sorte, Dans l’ombre, j’entendais piétiner sur mes pas L’ongle d’un sabot sec parmi les feuilles mortes. Ce sonnet de Henri de