Camus Et Kafka

Chabert Stendhal, Le Rouge et le Noir Flaubert, Madame Bovary, L’Education Sentimentale Maupassant, Bel-Ami Zola, Germinal, L’Assommoir Proust, Du côté de chez Swann Gide, Les Faux-Monnayeurs Mauriac, Thérèse Desqueyroux, Le Sagouin Kafka, La métamorphose Camus, L’Etranger Malraux, La Condition humaine Céline, Voyage au bout de la nuit Vian, L’Ecume des jours Duras, Le Ravissement de Lol V. Stein, Moderato Cantabile C. Simon, La route des Flandres Butor, La Modification Gracq, Le rivage

rapprochent du roman. Les œuvres du xxe siècle témoignent de la postérité du conte philosophique et de son évolution. Si l’on retrouve l’écriture ironique et plaisante chez Marcel Aymé, la tonalité se fait beaucoup plus dramatique chez Kafka et Buzatti. On y retrouve cependant la même intention critique visant à montrer, comme le faisait déjà Voltaire, l’absurdité du monde et l’inconséquence des comportements humains. L’organisation des trois sous-séquences consacrées à l’essai

quotidienne. II- Le courant de l’absurde : Définition : c’est l’homme confronté au non sens du monde et de son existence. Ce courant se développe surtout après 39-45. Le courant de l’absurde touche aussi le roman : Kafka, le Procès, la Nausée de Sartre, l’Etranger de Camus. Ces romans se trouvent sur la liste des oeuvres à lire... A- Caractéristiques de ce mouvement : L’existence est absurde car : nos actes sont monotones, mécaniques, nous n’avons pas de but, d’où le sentiment de la

| |Ce type de personnage au caractère bien défini est absent dans plusieurs œuvres contemporaines (« La Nausée » de Sartre, « | |L’étranger » de Camus, « Voyage au bout de la nuit » de Céline). On y trouve des personnages incertains voire peu sûrs | |d’eux-mêmes. | |

« Le théâtre de l'absurde » Au XXe siècle, le plus populaire parmi les mouvements d’avant-garde fut le théâtre de l’absurde. Héritiers spirituels de Jarry, des dadaïstes et des surréalistes, influencés par les théories existentialistes d’Albert Camus et de Jean-Paul Sartre, les dramaturges de l’absurde voyaient, selon le mot d’Eugène Ionesco, « l’homme comme perdu dans le monde, toutes ses actions devenant insensées, absurdes, inutiles ». Rendu célèbre par Eugène Ionesco (la Cantatrice chauve,

l'Incipit. On peut parler d'un statut polyphonique car le narrateur se sert de toutes les informations qui sont dispensables afin de pouvoir rédiger une chronique exacte, objective et confidentielle. La Peste est aussi une œuvre engagée. En effet Albert Camus laisse deviner dans le texte ses idées anti-nazies et dénonce entre autres l'atrocité vécue par le peuple juif au cours de la Seconde Guerre mondiale. La maladie est une représentation allégorique du nazisme (surnommé alors peste brune). Les malades

beaucoup d’écrivains prennent alors position sur les grands problèmes du moment : l’épuration, le rôle du Parti Communiste, la guerre froide, la colonisation. Par rapport aux écrivains collaborateurs les jugements se partagent entre les intransigeants (Camus, Aragon) et les modérés (Mauriac, Paulhan). De nombreux écrivains sont également attirés par la renaissance de la vie politique : Sartre est à l’origine d’un parti éphémère (le Rassemblement Démocratique et Révolutionnaire), Mauriac exprime son soutien

| | |Le personnage du nouveau roman |Remis en question, « notion périmée » :|Nathalie Sarraute, Tropismes | | | |on parle de la mort du personnage |Camus, L’Etranger | Le personnage de roman Le roman, grâce à la diversité de ses formes, a permis, au cours de son évolution du XVIIe au XXe siècle, de représenter la vie des hommes aussi bien dans leur intériorité que dans

hommes et ne pouvons vivre de passion amoureuse avec une femme, est un capable de recevoir l’amour que lui vous, D’Albert et Rosette : je ne pourrai jamais aimer complètement personne, ni homme, ni femme. CALIGULA, Albert CAMUS CONTEXTE : Pièce de théâtre d’Albert Camus, publié en 1944. Avec deux autres ouvrage de l’auteur, L’étranger, (1942), et Le Mythe de Sisyphe (essai 1942), Caligula fait partie du cycle de l’absurde : une philosophie, non pas du désespoir, mais vu, comme un point de

dénonce en parti l’injustice d’une société semblable à celle de la France durant le XVIIIème siècle. Un deuxième roman raconte la vie d’un homme qui est condamné à mort lors d’un procès dirigé par des juges corrompus et manipulés : L’Étranger d’Albert Camus. Meursault tue un arabe sur une plage ; dans le contexte de la seconde guerre mondiale, ce n’est pas un crime ; quelques jours plus tôt, il avait perdu sa mère. Il est finalement condamné pour ne pas avoir pleuré lors de l’enterrement de sa défunte