Camarade Camarade Erich Maria Remarque

Nouvelle Objectivité ». Description : (Partie par partie) Volet de gauche : Dans une brume matinale, on distingue des soldats dont les plus visibles sont de dos et revêtent l’uniforme de la Première Guerre Mondiale. Au centre, on remarque le Soleil levant mais les nuages qui le surplombent sont inquiétants. Quant à ce qu’on présume être de la brume, elle est également inquiétante car y beigne la file de soldat de l’extrémité gauche du tableau. Dans le coin gauche se trouve une roue

| |Séance 9  |Exprimer ses sentiments : champs lexicaux |Extrait de A l’Ouest rien de nouveau, |Lecture et repérage, puis définition des | | |et figures de style (Métaphores, |de Erich Maria Remarque (1928), p.48-49|différentes figures de style et de leurs | |Lecture / OL |Comparaisons, Polyptote, |du manuel Français 3ème Livre Unique, |effets : Métaphores, | |

peurs et ainsi s’engager plus facilement dans les combats. Entre deux périodes de combats, les soldats accomplissent diverses corvées pouvant être un nettoyage des latrines, un remplissage de sacs de sable par exemple. Enrique Marcia Remarque, A l’Ouest Rien de Nouveau Cet extrait est un exemple des corvées que les soldats pouvaient exécuter. Il témoigne également des dures conditions. De plus, la corvée de « barbelé » était une des plus importante et redoutée car elle s’effectuait sur

jjjj- jjjjjjjjjjjjjjjjjjErich Maria Remarque, né Erich Paul Remark, né le 22 juin 1898 à Osnabrück, mort le 25 septembre 1970 à Locarno, Suisse, est un écrivain allemand. Son livre À l'Ouest, rien de nouveau (Im Westen nichts Neues), roman pacifiste sur la Première Guerre mondiale, connut, dès sa parution en 1929, un succès mondial retentissant et reste un ouvrage-phare sur le premier conflit mondial. Ce livre fut brûlé lors des autodafés nazis dès 1933. Remarque s'exila en Suisse, puis aux États-Unis

primitif. En effet, le guerrier a le besoin de se sentir vivant et pour ce faire, il viole, mange les animaux qu’il peut croiser… La guerre est donc un environnement dans lequel tous les sentiments sont poussés à l’extrême. De ce fait nous pouvons remarquer que la nature humaine se révèle plus particulièrement ici. La question de la condition humaine à la guerre prend alors tout son sens. Barbusse, dans le feu, explicite l’horreur de la guerre caractérisée par les bombardements incessants, la faim,

ressentir des sentiments ne peuvent leur être d'aucune utilité.A l'arrière il n'y a pas de brutalisation mais plutôt une forme d'ignorance par rapport aux horreurs de la guerre.Par exemple Paul préfère mentir à sa mère que de la choquer. La bande de camarades prend conscience de la brutalité au moment où ils voient sortir des blessés du train au moment de s'apprêter à monter dans celui ci.A ce moment là ils voient des hommes blessés et complètement anéantis par les atrocités de la guerre. L'inutilité

les rats, les assauts, les bombardements, des centaines de milliers de morts, des suicides, des désertions, des mutilations volontaires etc. Ils vont connaître Verdun et le Mont Kemmel, batailles horribles, et la seconde est aussi décrite par Erich Maria Remarque dans « A l’Ouest rien de nouveau » Et puis, il y a, à l’arrière, le village qui continue à vivre. La nature qui suit son rythme éternel : les printemps succèdent aux hivers, les étés chauds et durs précèdent les automnes plus doux. Et le

A L’OUEST RIEN DE NOUVEAU I/ Introduction Le romancier allemand Erich Maria Remarque, de son vrai nom Erich Paul Remark tient sa notoriété internationale principalement grâce à la publication de son roman de guerre pacifiste A l’ouest rien de nouveau paru en 1928. Remarque n’avait que 16 ans au début de la première guerre mondiale, mais 2 ans plus tard il est mobilisé par l’armée et envoyé sur le front de l'ouest en juin 1917, où il sera blessé. Mais il est devenu pacifiste dans les tranchées

sa conduite, au bureau de recrutement, pour demander à s’engager. Je le vois encore devant moi, avec ses lunettes qui jetaient des étincelles, tandis qu’il nous regardait et qu’il disait d’une voix pathétique : « Vous y allez tous, n’est-ce pas, camarades ? » […] Toutefois, l’un d’entre nous hésitait et ne voulait pas marcher. C’était Joseph Behm, un gros gaillard jovial. Mais il finit par se laisser persuader. Il faut ajouter qu’autrement il se serait rendu impossible. Peut-être que d’autres encore

A l’ouest rien de nouveau Paul Bäumer est un jeune allemand de 19 ans. Après avoir été soumis à un bourrage de crâne patriotique par leur professeur, Kantorek, tous ses camarades de classe et lui-même s'engagent volontairement dans l'armée impériale allemande3. Après dix semaines d’entraînement, la rencontre du fameux caporal Himmelstoss et la brutalité de la vie au front font découvrir à Paul et à ses amis que leurs idéaux de patriotisme et de nationalisme se résument à des clichés inadaptés