Cacher Derrière Mon Apparence

nous avons deux personnages présents sur scène : Bérenger et Jean. Tout deux sont opposés en bien des points. Tout d’abord, ils n’ont pas le même intérêt au niveau vestimentaire. En effet Bérenger apparaît comme un homme se souciant guère de son apparence «  j’ai un petit peu la gueule de bois » ligne 7. Sa totale désinvolte face à son aspect physique est d’autant plus mise en évidence par Jean qui ne cesse de le lui reprocher. Il commence dès sa première réplique qui ouvre la pièce « vous êtes dans

1977. Ici le texte est une chanson engagée contre le racisme qui consiste à nous montrer une réalité quotidienne. Cette histoire nous délivre un message et nous parle encore du regard que l’on peut avoir sur l’autre. On devine l’humour utilisé derrière un message dur et engagé. Dans un style naïf, humaniste et malicieux, l’auteur et interprète qui est aussi le narrateur extérieur a un point de vue omniscient. Il nous parle d’inégalité et d’injustice avec ironie car, dans cette chanson ce sont les

une princesse comme sa tante.Dans la luxueuse 806 en cuir de ses parents, entre son frère et sa sœur, elle contient sa hâte d’arriver à l’église. Là, derrière l’émerveillement des belles robes, sous le tourbillon des froufrous et des dentelles, elle voit poindre l’intolérance et l’égoïsme des grandes personnes.On voit bien que l’on s’efforce de cacher la petite trisomique de la famille pour qu’elle ne gâche pas les photos (la mariée étant la première à ne pas vouloir de cette tâche dans le beau tableau

passagère, un jeu institué par la vanité du monde. Elle est apparence, mais elle nous influence tant par ses couleurs, ses manières, ses coupes, qu'irrésistiblement ou inconsciemment, on la suivra. Les budgets seront variables selon les possibilités de chacun... Depuis que nous en portons, les vêtements ont toujours eu une grande importance pour nous. Soit qu'ils montrent à quelle catégorie sociale on appartient, soit qu'ils servent à cacher certains défauts corporels ou à émettre des signes érotiques

l'homme est conçue comme une véritable anthropologie fondée sur l'expérience et le raisonnement. Si la démarche intellectuelle, les arguments et la présentation n'ont rien de théologique, il faut reconnaître cependant que Pascal a sa « pensée de derrière la tête » (fr. 659). Sa propre conception de l'homme lui vient de la tradition augustinienne qui souligne constamment l'opposition entre la nature de l'homme telle que Dieu l'a créée et l'état de déchéance qui est la conséquence du péché originel

œuvres qu'il publie alors sont des œuvres commencées lors de son exil à Guernesey. Victor Hugo meurt le 22 mai 1885 en devenant le plus populaire écrivain de son époque. Il représente le symbole du régime nouveau et de la liberté romantique et laisse derrière lui, une œuvre sans doute inégale selon les périodes mais qui aujourd'hui sont toujours d'actualité. Metteur en scène : Laurent Pelly est un metteur en scène né en 1962. Il fait ses vrais débuts au théâtre à 18 ans en créant la compagnie Le Pélican

physique. Monstruosité physique : Le Minotaure est un monstre aux larges épaules, il a de gros bras musclés, un torse bombé humain, une tête de taureau avec deux cornes, il a une carrure athlétique. Il est de taille humaine. Il a une apparence qui intimide, une apparence qui mêle de l'humain et du bœuf. La situation du récit : Le roi Minos est honteux de sa progéniture (le Minotaure) ce qui entraîne un conflit entre Thésée et le Minotaure. Analyser les visées du texte, du document :

avec son verbiage (discours sans valeur réel) de même qu’il séduit et attire le spectateur. La brillance rhétorique du discours ne peut pas cacher une conception cruelle et guerrière des rapports amoureux dans lesquelles Dom Juan est en position de prédateur et de conquérant. Dom Juan s’affirme comme un personnage baroque car, derrière les apparences du beau discours, se trouve un amant infidèle et inconstant. Dans cette tirade Dom Juan montre son libertinage sensuel et que cette profession

méfiance qu'il faut avoir des apparences. En effet, il insiste sur le fait que ceux qui semblent les plus gentils méritent le plus d'être évité : « [...] qui ne sait que ces loups doucereux, De tous les loups sont les plus dangereux ». ➢Enfin, un autre personnage récurrent, les fées. Une morale est ici donnée sur la gentillesse mais aussi sur les apparences, comme pour le loup du petit chaperon rouge. Les fées sont toujours des créatures pouvant revêtir différentes apparences : « Un jour qu'elle était

elle nous fait le récit de son éducation « particulière », qui lui a enseigné l’art de la duplicité. « Elle observe puis elle réfléchit », la marquise sait de détacher de son être pour mieux appréhender ce qu’il faut laisser voir et ce qu’il faut cacher. Elle a une maîtrise de soi parfaite (caractéristique masculine) et se sait au dessus des autres femmes. Merteuil prend alors pour maxime « vaincre ou mourir » et transforme sa faiblesse en une arme dévastatrice. La marquise nous livre ici une violente