C2i Questions

processuels et substantiels par la procédure de la garde à vue française. Avec l’introduction de la question prioritaire de constitutionnalité, très rapidement le juge constitutionnel a été saisi de la question de la constitutionnalité de la procédure de la garde à vue. Dans ses deux décisions 14/22 QPC du 30 juillet 2010 et 191/194/195/196/197 du 18 novembre 2011, le Conseil constitutionnel a été saisi de la question de constitutionnalité de la garde à vue. En premier lieu, le Conseil constitutionnel dans

dégagé quant à la conformité de loi aux sources internationales. Reconnues par la Constitution, la loi doit s’y conformer. Cependant, aucun texte ne fait référence à l’organe compétent pour effectuer un tel contrôle. De ces constations découle la question suivante, dans quelles mesures la loi est-elle jugée conforme aux normes supérieurs, qu’elles soient d’origine interne ou internationale ? Les différents contrôles, de la conformité de la loi aux textes qui lui sont supérieurs, sont de la compétence

est un véritable pouvoir de droit puisqu'il est mis en place par la Constitution dans l'article 89. Il s'agit de la modification de certains articles selon la procédure établie par la Constitution et en respectant les limites qu'elle prévoit. La question est ici de savoir s'il faut encore réviser la Constitution. Début 2013, le président de la République François Hollande avait déclaré son intention de réviser la Constitution de 1958. Mais aujourd'hui cette révision semble se compliquer puisqu'il

L’ÉCRAN DE LÉGISLATIVE Question initiale: Le juge administratif peut-il annuler un acte administratif contraire à la Constitution ? Réponse soutenue : Une réponse nuancée s'impose: a - si l'acte administratif contraire à la Constitution ne s'appuie sur aucune loi, le juge peut l'annuler pour inconstitutionnalité; b - si l'acte administratif contraire à la Constitution est conforme à une loi, le juge ne peut pas l'annuler pour inconstitutionnalité. On parle alors de

allons voir à travers un arrêt de la Cour de cassation siégeant en Assemblée Plénière datant du 8/07/2010et une décision du Conseil Constitutionnel datant du 07/10/2010. Dans le premier arrêt, la Cour de cassation a été saisie pour statuer sur la question prioritaire de constitutionnalité formée par MM.X, M.Y et le syndicat CGT-FO. En l’espèce, un syndicat affilié à la CGT-FO ainsi que MM.X et Y soutiennent que le fait d’interpréter strictement et purement mathématiquement le critère d’audience de

d'exception » : La révision constitutionnelle du 23 juillet 2008 instaure, en plus du contrôle a priori, un contrôle de constitutionnalité a posteriori par le biais du mécanisme de question prioritaire de constitutionnalité (QPC) :  permet désormais à un juge qui constaterait une violation de la Constitution par une loi de poser la question de son accord avec la Constitution au Conseil constitutionnel. - Existe aussi des contrôle non constitutionnels mais dit de « légalité » ou de « conventionnalité » : c'est

Décision n° 2010-74 QPC – 3 décembre 2010. Commentaire. Introduction Le Conseil constitutionnel a été saisi le 30 septembre 2010, par un arrêt de la chambre criminelle de la Cour de cassation, d’une question prioritaire de constitutionnalité posée par MM. Jean-Marc P., René B., Éric B. et la société AUCHAN France, relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des dispositions du paragraphe IV de l’article 47 de la loi n° 2005-882 du 2 août 2005 en faveur des petites

la question prioritaire de constitutionnalité pour l’année 2010 Document 10 : CJUE, arrêt de la Cour (grande chambre) du 22 juin 2010 (demandes de décision préjudicielle de la Cour de cassation - France) - procédures contre Aziz Melki(C-188/10), Sélim Abdeli (C-189/10) Exercices - revoir les articles 56 à 63 - revoir l’arrêt CE 27 avril 1962, Sicard (à propos du contrôle de constitutionnalité des décrets) - analyser la décision 88-244 (structure de la décision, normes de référence, questions soulevées

quoi sert le contrôle de constitutionnalité des lois ? Le contrôle constitutionnel français a fait l’objet d’une révision le 23 juillet 2008. En effet, une nouvelle loi constitutionnelle a introduit dans notre système de contrôle les Q.P.C. (Questions Prioritaires de Constitutionnalité) qui permettent, autrement dit, le contrôle a posteriori, par voie d’exception comme c’est déjà le cas de l’autre côté de l’Atlantique. Afin d’arriver à mieux cerner le contexte du sujet ainsi que ses intérêts

administrative le respect de règles non écrites qui sont les principes généraux du droit. De surcroit dans l’intitulé de la question le « peut-on » exprime un doute sur la notion de juge qui « gouverne ». Le problème est comment expliquer que des règles issue de la jurisprudence peuvent être de sources de droit administratif et s’imposer à l’administration ?Ainsi pour répondre à cette question nous évoquerons l’importance des règles issues de la jurisprudence comme consécration des sources de droit administratif(I)