C Rien Sa Vaut Rien Dire

Un fait est-il toujours discutable ? Un fait est un événement présent ou passé, connu par expérience ou par ouï-dire, excepté par la raison. Se demander si un fait est toujours discutable, ce n’est pas chercher s’il doit être discuté. Il ne s’agit en effet pas de savoir si on doit toujours discuter un fait mais si, toujours, on le pourrait. Or théoriquement, ne peut-on pas toujours questionner ou contester la réalité d’un fait ? Cette question soulève un problème fondamental : en effet

travail en fonction de son salaire, en tout cas il en est ainsi dans tous les pays évolués. « Le travail leur est un moyen, il a cessé d'être un but en lui même » l'emploi du verbe « cesser » dans cette phrase montre bien une rupture, cela reviendrait à dire qu'il y a eu du changement ces dernière années sur la façon de travailler, la vision que les hommes ont du travail. Désormais les hommes voient le travail comme un moyen d'accéder à une fin, le salaire, le bon salaire si possible, il semble qu'auparavant

qu'il assure à sa vie une dignité, et en même temps assure une soumission à quelque chose qui le dépasse : l'idéal par lequel il s'assure aussi qu'il est avant tout un "être de sens" et de parole vivant parmi d'autres hommes dans la cité. Est-ce à dire que la vérité n'est chose purement personnelle ? Peut-être pas non plus. Si elle est "hors de moi", elle ne dépend précisément pas de moi, même si c'est moi qui décide de lui donner un prix particulier. I A CHACUN SA VERITE ? "A chacun sa vérité"

santé. Il veut devenir comme lui jusqu’à ce qu’il découvre que le chien vit attaché et préfère garder sa liberté Mieux vaut vivre affamé qu’attaché implicite Genisse & chevre & brebis en société avec le lion. Ils font société, ils divisent en 4 leur bénéfices et le lion prends par différentes raison qu’il énumère, les 4 parts. Illustration de La loi du plus fort. il vaut mieux s’associer entre personnes « égales » implicite La besace Jupiter convoque les animaux et leur propose de corriger

  — Il ne dit rien. Il est inconscient. Il a aussi un shock, résulté d'un fort coup à la tête. Vous avez aussi un coup à la tête. Dans l'accident, l'un de deux casse la verre de la voiture. Mais je lui dis déjà que nous ne savons pas qui est le conducteur. Deux ont plus ou moins les mêmes lésions. — Il me dit que je suis possiblement un voleur, mais que vous ne le savez pas et que je ne le sais pas non plus: une vérité ?   Tr — Quelle situation! Qu'est-ce que l'autre homme dit ?

-Allo? -J'voulais te dire que j'ai rien à te dire. Que j'ai rien à regretter, j'te laisse une chance. -Imbécile. C'est à toi d'avoir une chance désormais. Tu sais pourquoi? Car t'es mon meilleur ami, mon p'tit bout de bonhomme mon éléphant, mon amour, l'homme de ma vie. T'es la meilleure chose qui m'ai arriver, j'pense tout le temps à toi. Dans mon répertoire ton nom c'est "mon mien", mon code pin c'est ta date de naissance, la photo au dessus de mon lit c'est une photo de nous deux, quand je

elle dormait fort mal la nuit suivante. Oreille répétait sans cesse à sa femme : - Tu devrais avoir la main plus large, puisque nous ne mangeons jamais nos revenus. Elle répondait : - On ne sait jamais ce qui peut arriver. Il vaut mieux avoir plus que moins. C'était une petite femme de quarante ans, vive, ridée, propre et souvent irritée. Son mari, à tout moment, se plaignait des privations qu'elle lui faisait endurer. Il en était certaines qui lui devenaient particulièrement

Epicure développe le thème de la peur des gens face à la mort. Sa thèse est qu'il ne faut pas craindre la mort car elle n'est rien pour nous (...) Plan du commentaire: Introduction I) Les inconvénients de la crainte de la mort II) La mort est l'absence de douleur III) Le philosophe ne craint pas la mort II- La mort (le temps) 1. Pourquoi n'y a-t-il rien à craindre de la mort ? 2. En quoi lever cette peur change-t-il la vie ? 3. Montrez comment la position sur les dieux et celle

COMMENTAIRE D’UN TEXTE DE ROUSSEAU Texte : « Malheur à qui n'a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède. On jouit moins de ce qu'on obtient que de ce qu'on espère, et l'on n'est heureux qu'avant d'être heureux. En effet, l'homme avide et borné, fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu'il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui rend présent et sensible, qui le lui livre en quelque sorte,

Dès lors, cela n’implique-t-il pas de s’empêcher de les réaliser puisqu’à la limite on pourrait aller jusqu’à vouloir les supprimer ? N’est-il pas préférable de tenter de les réaliser, condition minimale pour qu’ils soient satisfaits ? Dès lors, vaut-il mieux changer nos désirs que l’ordre du monde ou au contraire ne faut-il pas tenter de réaliser nos désirs quoiqu’il arrive ? Dans un premier temps, préferer changer ses désirs plutôt que l’ordre du monde peut être en effet conçu comme la manifestation