C Grivel

titre est évidemment capital dans les premières hypothèses du lecteur quant au livre qu’il tient entre ses mains. Dans Le mot de la fin, Guy Larroux nous dit que « le titre […] est un élément décisif de la “production de l’intérêt romanesque” (Ch. Grivel) ». Et d’ajouter qu’il est, en cela, « un élément textuel en suspens qui crée un horizon d’attente 356» Nous avons parlé assez longuement du titre dans notre deuxième partie, sommes revenus sur le caractère antiphrastique que lui assigne Mitterrand