C Est Une Des Singularités Du Coeur Humain Que Malgré Les Penchants Qu Ont Tous Les Hommes

Le Sens de la Mort dans le théâtre Annotations professorales : 2 Préface 5 Hernani, Acte V scène 6, Victor Hugo, 6 Le suicide et l’orgueil Humain 14 Roméo et Juliette, Acte V Scène 3, La mort par Amour 15 La Mort par Amour 18 Antigone de Jean Anouilh 20 La Mort come choix de Vie 23 En attendant Godot, Samuel Becket 24 La Mort, une confrontation avec la solitude et l’inconnu 27 Le Roi se Meurt, Eugène Ionesco, 28 L’acceptation de la Mort 30 Les justes, Albert Camus

La conscience Citation 125 Friedrich NIETZSCHE / Humain, trop humain. (1878-1879) / OEuvres I / Robert Laffont -Bouquins 1990 « Que l’on observe plutôt des enfants qui pleurent et crient afin d’être objets de pitié, et pour cela guettent le moment où leur situation peut tomber sous les yeux ; qu’on vive dans l’entourage de malades et d’esprits déprimés et qu’on se demande si les plaintes et les lamentations éloquentes, l’exhibition de l’infortune, ne poursuivent pas au fond le but de faire mal

point de vue social et culturel Ethnologie est différente de anthropologie ethnologie→ étude des ethnies (peuple) anthropologie → étude des êtres humains en Angleterre on utilise anthropologie sociale et culturelle. en France on dit anthropologie physique. origine de la discipline: Ethnologie et anthropologie est l'étude des hommes. c'est une approche comparative des cultures qui traite l'altérité. Période de antiquité: Hérodote (empereur) était l'un des grand précurseurs; il étudiait

d’une action difficileL8 a 17Il explique sa passivité par la peur, et l 11 le danger extrême, violent, ennemi, détruiraitonForme générale, tout homme est concernéoseL’action est possible même si difficile « parfois » à peine »L13 « malgré tout »Volonté d’agir clairement malgré une fin sans issue « jamais de survivre »2- Le thème du retour : la mise en place de l’intrigueL’annonce du retourL18 : épanorthoseRetourner, revenirIl décide de revenir auprès des sienslesUne famille passéeMes traces, mes pasUn

ment prétendants à l’existence, pour ainsi dire, aussi bien que lui, il faut que la cause du monde ait eu égard ou relation à tous ces mondes possibles, pour en déterminer un 4. Selon Leibniz, si Dieu a créé le monde, c’est qu’il avait une raison de le faire, et cette raison tient au fait que ce monde, « tout compté, tout rabattu », s’est trouvé être le meilleur parmi tous les mondes possibles prétendant à l’existence dans son entendement. Si le calcul divin avait fait émerger deux mondes meilleurs

l'équipement de haute technologie et d'avoir accès à tout le matériel que le projet exigeait. Merci à Hélène Couture qui a donné vie à la femme de Vigor morlis. Sa foi en ce que nous faisions, sa présence et son talent m'ont permis de créer et d'avancer malgré l'inconfort de l'inconnu. Merci à Céline Jantet pour son rôle de spectre dansant. Merci aussi pour son travail d'assistante à la mise en scène. Son exigence, son sens critique et son intell igence ont permis de pousser nos efforts encore plus

l’un l’autre. Analyse : Lignes 623-630 : Phèdre parle de la mort de Thésée. On a en effet l’impression qu’elle le regrette. Cependant, on voit un éclair de lucidité lorsqu’elle dit « je m’égare » puis elle ajoute « Seigneur ; ma folle ardeur malgré moi se déclare ». On peut sous-entendre qu’elle se reprend et essaie de lui faire passer un message ; elle l’aime. Lignes 631-633 : Hippolyte ne comprend juste rien. Il est persuadé qu’elle est sincèrement triste que son mari soit mort. Il ne comprend

conçues  et  exécutées en dehors de leur esthétique.  Un  critique  intelligent  devrait,  au  contraire,  rechercher  tout  ce  qui  ressemble le moins aux romans déjà faits, et pousser autant que possible  les jeunes gens à tenter des voies nouvelles.  Tous  les  écrivains,  Victor  Hugo  comme  M.  Zola,  ont  réclamé  avec  persistance le droit absolu, droit indiscutable, de composer, c'est­à­dire  d'imaginer ou d'observer, suivant leur conception personnelle de l'art.  Le  talent  provient  de  l'originalité

centrale de toute philosophie est la suivante : l'être humain, à la différence de Dieu, est mortel. C’est un être fini, limité dans l’espace et le temps. Mais à la différence des animaux, il est le seul être qui ait conscience de ses limites. Il sait qu'il va mourir et que ses proches, qu’il aime, aussi. Il ne peut donc s'empêcher de s'interroger sur cette situation qui, a priori, est inquiétante, voire absurde ou insupportable. La finitude humaine et la question du salut Le salut désigne d'abord

gratitude, et le meilleur de ma reconnaissance, à Madame Monique Castillo pour avoir accepté de diriger ce travail. Ces mots, aussi immuables que sincères, me viennent du fond du cœur, car, la présente recherche n’aurait jamais vu le jour sans sa patience, sa sympathie active, ses orientations et suggestions lumineuses, et tous les contacts pris en ma faveur. Et je n’oublie pas l’apport décisif de son séminaire d’éthique et politique suivi. Il aura tel-00691525, version 1 - 26 Apr 2012 contribué