C Est Quoi L Obéissance

seulement rationnel, il n’obéirait qu’à une pure loi universelle, semblable en cela à une loi de la nature. Mais animal et rationnel, il veut à la fois la loi et la dérogation. Plus précisément, il veut l’obéissance pour tous et une exception à cette obéissance en sa faveur. Tel est l’homme dont la raison ne réussit jamais à battre en brèche définitivement l’animalité. Pour Aristote, que l’homme soit un “ζωον λογον” (“animal rationnel”), peut se dire aussi, l’homme est un “ζωον πολιτικον” (“animal politique”)

subjectifs, que dans un vrai dialogue. En effet, la difficulté du dialogue consiste à laisser son égo loin de sa raison, au lieu de quoi l'interlocuteur à tendance à se laisser trahir par des préjugés personnels ou ethnocentriques. De surcroît, le dialogue est souvent erroné car il s'installe entre les interlocuteurs un rapport de force dûe, soit à une docile obéissance à une quelconque autorité , une servitude d'esprit, souvent accompagnée d'un instinct grégaire de la pensée c'est à dire à imité

nécessaires à l’étude du politique. En effet, il y a pour Platon une identité de structure entre Commentaire [a1]: Mon accroche s’appuie sur quelque chose d’assez commun et évident : le peuple est invoqué dans les discours pour tout et n’importe quoi. D’autres accroches sont possibles. J’ai choisi celle-là pour l’opposition réalité politique et fiction linguistique qui me permet d’introduire ma problématique dans le §2. Commentaire [a2]: Je mets en perspective cet élément évident (mon accroche)

César devient le chef des légions romaines. • Qui était Vercingétorix ?  Il était chef du peuple arverne et prend la tête des armées gauloises contre les Romains. • Qu’appelait-on des thermes ?  Il s’agissait d’établissements de bains publics. • À quoi servait un aqueduc ? Peut-on en voir un encore en France ? Quelle ville desservait-il ?  Par les aqueducs, on amenait l’eau dans les villes ; le Pont du Gard en est un ; il alimentait en eau la ville de Nîmes. • Qui étaient les Gallo-Romains ?  Ce

la chaleur ambiante, mon corps avait déjà chaud. La prise de conscience à proprement parler n’a lieu qu’à partir du moment où je me dis : « Il fait chaud ! » Sans les mots, nous serions la proie de nos sensations sans être capables d’y distinguer quoi que ce soit ; nous subirions l’existence et nous ne serions conscients de rien ; nous réagirions instinctivement sans jamais rien comprendre. Bref, « nous », en tant que sujets conscients, n’existerions même pas. B. Le monde est construit C’est

philosophie: c'est celle de son existance en temps de conscience. (Car si "je" doute alors il y a un je qui doute et donc "je suis", existe toutes les fois que je pense. c'est pourquoi l'homme se definie par sa consciene le cogito devient ceux a partir de quoi le monde est connaissable. Descartes va devenir le symbole de "la naissance historique du sujet transcendantale" (kante) conscient lui meme, maitre de lui et de la nature ("l'homme doit etre maitre et possesseur de la nature"). III. Les illusions

différentes conceptions de la modernité. Il va donc s’agir de s’interroger sur la valeur du dénominateur commun de ces différentes manières d’être moderne c’est-à-dire l’opposition aux Anciens. Comment cette opposition se caractérise-t-elle ? Et en quoi nous permet-elle de donner une définition - plurielle - du moderne ? I- Être moderne, c’est prôner l’émancipation d’un individu libre, autonome et jouissant de droits, ce qui implique une réorganisation du politique par rapport au système des Anciens

millénaire et Rousseau ne prétend pas l’expliquer, mais il propose de chercher ce qui pourrait être producteur de légitimité dans l’ordre politique. S’il admet que l’on puisse, dans la pratique, vivre dans une obéissance aliénante, Rousseau évoque la possibilité de changer la vision de cette obéissance afin de retrouver une certaine liberté politique et civile, après avoir perdu notre liberté naturelle en entrant en société. La légitimité de cette liberté ne sera pas d’ordre naturel, elle émanera de conventions

classification à laquelle nous venons de faire référence. Nous pouvons relever une autre occurrence de cette expression dans une autre classification de l’éducation composée de la culture didactique, de la culture pragmatique et de la culture morale (4). Quoi qu’il en soit de ces différentes classifications, on peut repérer entre la discipline et la culture morale une distinction de nature. Kant écrit que la discipline «empêche les défauts» tandis que la culture morale «forme la façon de penser». Cela signifie

attention le fatalisme et le déterminisme. Parce que souvent dans l'opinion le fatalisme est le déterminisme. Le fatalisme dit : cet événement que vous craignez est inévitable. Quoi qu'il arrive, quoi que nous fassions il est impossible de faire en sorte qu'il n'arrive pas. Le fatalisme c'est l'asservissement à la nécessité. Quoi qu'il arrive l'événement se produira toute de même. Dans la légende Grec Œdipe est destiné à épouser sa mère et à tuer son père. La tragédie Grec est fondée sur la puissance