C Est Quoi L Obéissance

Devoir de Philosophie Chaque individus sur terre est contraint d’obéir à des règles , à une morale , quelqu’un de supérieur ou plus vieux que lui. Mais en quoi le fais d’obéir créer une enclave à la liberté? Le concept de liberté représente la volonté d’indépendance d’un individu par rapports aux autres , tandis que l’obéissance est caractérisé par la soumission d’un individu à une règle ou un ordre donné. De ce fait , les concepts d’obéissance et de liberté semblent bien être contradictoires.

est passé, accepte par les différentes composantes sociales et qu’il doit de ce fait être respecte ? L’individu n’est –il pas alors contraint de se soumettre a l’autorité établi et de ses lois ?n’est-il pas contraint d’y obéir quoi qu’il arrive ? Cependant, cette obéissance a l’état est-elle toujours une obligation ?n’y a-t-il pas aussi des circonstances particulieres, dans les quels l’obéissance n’est alors plus considérée comme une obligation, mais comme un choix délibéré de la part de l’individu

allons nous demander si la désobéissance est un accès direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté ? Peut-on être libre si on obéit ? Est-il possible d’allier obéissance et désobéissance ? La question de la liberté et de la désobéissance en impose implicitement d’autres : Qui est libre de désobéir ? Peut-on désobéir ? Obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Sommes-nous libre qu’en désobéissant ? Aux

une question se pose: Faut-il respecter les lois? Ou faut-il réfléchir sur elles pour savoir si elles doivent être respectées? Premièrement, on étudiera pourquoi le respect des lois nous éloigne de la barbarie et ensuite nous analyserons en quoi une obéissance aveugle peut comporter des dangers. La question sur le respect des lois n’est pas posée souvent car sa réponse est normalement évidente. Le respect pour les lois est devenu plus un automatisme qu’une réflexion. Ainsi ce pose une nouvelle

faut-il simplement appliquer les lois et leur obéir, ce qui pourrait parfois impliquer que nous sachions aussi parfois désobéir? Il faut obéir impérativement aux lois pour se préserver d’un retour à la violence primitive (état de nature) notre obéissance aux lois est quotidienne et est devenue un automatisme: nous respectons les lois de notre pays comme un commun accord entre l’Etat et chacun de ses citoyens pourquoi même se poser la question de l’obéissance aux lois? c’est une habitude et fait

à "contrecœur", il sait également lorsque cette obéissance lui rend service, lorsqu'elle le protège : par exemple dans l'œuvre La bicyclette bleue de Régine Desforges, à l'époque de la seconde guerre mondiale lorsque l'heure des couvre-feux arrive, plus personne ne doit circuler dans le but de ne pas courir le risque d'être pris entre les feux ennemis. Les français obéissaient à ce couvre-feu en pleine conscience de la sécurité que cette obéissance impliquait. Obéir peut donc être pour le bien de

autorité d’aucun pouvoir coercitive. IL importe de faire comme Pierre Clastres la distinction entre pouvoir coercitive et pouvoir non coercitive. Le pouvoir coercitive repose sur la violence (violence légitime), il suppose le rapport commandement- obéissance. C’est l’idée que défend Max Weber lorsqu’il écrit ‘’ tous les groupements politiques consistent en un rapport de domination de l’homme sur l’homme fonde sur le moyen de la violence légitime. (Le savant et le politique p 126). Tandis que le pouvoir

première est celle de se conserver. Nous parlons ici très abstraitement : cet individu ne peut véritablement être libre que s’il ne rencontre aucun obstacle, et se doit donc de ne jamais suivre la volonté de quelqu’un d’autre que lui-même. La moindre obéissance serait renoncement à ses désirs, renoncement à sa volonté de les réaliser, et finalement renoncement à soi et à sa liberté. On peut dire que dans cette perspective l’individu est identifié à sa liberté comme droit naturel d’agir comme bon lui

Faire son devoir librement est un exercice de sa liberté, la désobéissance est une forme d’esclavage. Cependant, l’obéissance ne peut-être pratiquée par un individu seul. L’obéissance suppose un ordre, émanant d’une autorité, et une durée. Toute obéissance n’est pas bonne, et celui qui obéit n’est pas nécessairement libre. Introduction La liberté est chérie des poètes, qui écrivent son nom sur des pages tremblantes, des sculpteurs, qui l’érigent illuminant le monde, des peintres, qui la

conscience. Si nous aspirons à être libre alors cela présuppose que nous ne sommes pas d'emblée libre, que nous avons à le devenir, comment se libérer des déterminismes que nous subissons et quels sont ces déterminismes ? Pourquoi sommes nous dépendants ? A quoi sommes nous assujettis ? Ce terme d'aspiration est significatif du fait que la liberté est une exigence, une difficulté, une conquête et non pas comme on le croit spontanément, une facilité parce qu'elle découlerait, d'après nos représentations,