C Est Quoi L Obéissance

LECTURE ANALYTIQUE DU PRECHE DE PANELOUX ( intro : présentation œuvre / auteur situation de l’extrait + définition « argumentation, convaincre et persuader » problématique : Pourquoi et en quoi peut-on parler de sermon visant à persuader ? annonce du plan un discours oratoire habile 1 la structure ( une démonstration construite sur un jeu entre différents discours (d’une l’impression d’une vie presqu’orale au sermon) et qui utilise deux des cinq parties

Lacédémoniens ». Il défend les réformes de Lycurgue, critique les autres cités grecques, il est composé de 25 chapitres, le chapitre deux, qui est celui que nous allons étudier, porte lui l’éducation des enfants Spartiates, avec l’agôgé. Ainsi, en quoi Xénophon montre t’il l'originalité des institutions sociales spartiates au travers de l’éducation des enfants ? I- l’éducation a- La nourriture, un manque nécessaire « l’irène se contentât, pour les repas en communs de sa troupe, d’une quantité

pur raisonnement, mais qui ne se rencontrent guère dans ces pièces où l'on ne recherche que les belles paroles. C'est à elles qu'il m'a fallu regarder le moins, et je me suis mis principalement en peine de pénétrer dans la pensée de mon auteur. En quoi je me suis proposé son exemple. Car il ne s'est pas amusé à cribler de la terre avec un grand soin pour n'y mettre ensuite que des tulipes et des anémones; il a désiré que son discours eût plus d'effet que ces coups de canon sans boulet qui font quelque

La liberté de penser exclut elle toute contrainte ? Il apparaît juste de mettre comme postulat que la liberté de penser ne peut pas exister s’il existe des contraintes. La liberté de penser doit alors exclure toute soumission, toute obéissance. Les contraintes seraient vues alors comme des barrières, des freins à une libre expression de la pensée. Mais il peut paraître nécessaire que les contraintes existent pour que la liberté de penser puisse s’exprimer sans pour autant nuire à l’autre ? Une

la nomination de l’Homme d’Eglise. Le Saint Empire Germanique est un empire avec plusieurs seigneurs et vassaux. Chaque seigneur avait l’habitude de donner un fief et comme gage de reconnaissance, les vassaux promettaient leurs services et leur obéissance. Les seigneurs contrôlaient tout et s’immisçaient dans les affaires de l’Eglise en nommant eux mêmes les hommes d’Eglises. Cela va s’appeler la Querelle des investitures. Cette querelle va se dérouler entre 1075 et 1122. Saint Anselme va lui prendre

une école gratuite, laïque et obligatoire. En France, au milieu du XIXème siècle de nombreux garçons fréquentaient, de façon au moins épisodique mais sans grandes ambitions, l’enseignement d’un maître d’école, le plus souvent ecclésiastique. En quoi peut on dire que l’école est au service de la troisième république A cette époque, la France est, pour beaucoup de ses habitants, une inconnue : on voyage peu, on lit peu, on ne dispose pas des grands moyens de diffusion et d’information de notre

indéfinissable selon les positivistes, ou en tous les cas susceptible d’une telle multiplicité d’interprétations possibles que il faut en conclure que, si ce droit naturel existait (au sens d’une loi supérieure), nul ne saurait pourtant exactement en quoi il consiste (il y a plusieurs conceptions possibles de ce qu’est le droit naturel). Mais problème, si le droit naturel n’existe pas, ou nous est inconnu, sur quel critère peut-on alors juger de la valeur de nos lois ? Ne peut-on pas juger les autres

méfiant de son zèle constant. Et ce, à raison car Baraddas était un hypocrite, et n’avait aucune parole. Lorsque Baraddas vit l’estime que le roi accordait à ce Zadig, auteur de vers litigieux, il fut pris d’une rage profonde, et il se jura que son obéissance servile ne serait pas vaine. Un jour où Zadig et Baraddas furent invités à la table du roi, Zadig eut l’occasion de discuter de tout et de rien avec Baraddas. Cependant, la froideur dans la voix de ce dernier se faisait sentir, et Zadig avait remarqué

Pour Nietzsche, la moralité ne peut venir que des mœurs et peu importe ces mœurs. Il emploi le mot « obéissance », ligne 1, qui est un mot très fort : On obéit à des mœurs pour être une personne morale. Ce mot nous indique une certaine obligation que la moralité nous inflige, celle d’obéir !(Deuxième partie)La deuxième partie du texte, ligne 2 à 5, se distingue

hommes robustes. Regarde son épée : ne sais-tu point qu'elle a fait voler la tête des plus hardis champions7, depuis tant d'années que le Ie roi d'Irlande envoie ce géant porter ses défis par les terres vassales ? Chétif, veux-tu chercher la mort ? A quoi bon tenter Dieu ? » Cet autre songeait : « Vous ai-je élevés, chers fils, pour ces besognes de serfs, et vous, chères filles, pour celles de servantes ? Mais ma mort ne vous sauverait pas. » Et tous se taisaient. Le