C Est Quoi L Obéissance

TEXTE 1 Intro  : Molière, critique de la société –> ici médecine interprétée en 1673 ici, monologue servant de sc. d’expo (special donc), argan qui parle argent et medecineProblematique  : Comment cette scène d’exposition met-elle en contraste le côté satirique et comique d’Argan? LECTURE EXPRESSIVE Mvmt 1  (l. 1 à 18)  : Mise en scene d’un vieil homme seul s’imaginant unu dialogue avec son apothicaire, créant alors un comique de situation

des parties engagées ? Si on dit qu’il ne suffit pas d’obéir pour être juste, car les coutumes et lois peuvent être injustes, alors par rapport à quoi dira-t-on que les coutumes et lois sont injustes ? Être juste consiste dans cet appel à un tiers, à une instance neutre ou impartiale ; or cette instance, si on commence à la contester, à partir de quoi le fera-t-on ? 1. 1. Si la justice se définit par l’obéissance aux lois et aux coutumes, qu’en est-il de cette justice si ces lois et coutumes

est décrit comme un lieu idéal dans lequel de jeunes gens recevraient une éducation fondée sue des préceptes humanistes et sur la règle paradoxale « Fais ce que voudras ». Nous chercherons en quoi la description de cette abbaye propose un idéal de vie humanistes. Dans un premier temps nous expliquerons en quoi Théleme est une société harmonieuse puis nous démontrerons que Théleme n'est qu'une utopie fondée sur des idéaux humanistes. I-) Une société harmonieuse Dés les premières lignes, le lecteur

pas, livré à l’Etat de nature, sera t’il réellement libre et raisonnable sans orientation ni limite ? Enfin, est-ce judicieux de parler de maître ? Quel type de maître ? Et si on ne peut pas nécessairement dire que l’Homme a besoin d’un maître, de quoi a t’il vraiment besoin ? Comment considérer que l’Homme puisse avoir besoin d’un maître ? Le sujet libre n’a t’il pas pour lui son indépendance, sa capacité à affirmer sa raison et son libre arbitre ? Le libre arbitre, c’est la capacité de l’individu

Mesland) ; or si ma volonté d’être libre est déterminée par des raisons, un « parce que », elle n’est déjà plus libre (plus indéterminée). Sens 2 : pour quoi ? (Comme dans « Pourquoi coupes-tu du bois ? ») ⋄ dans quel but ? pour en faire quoi, de cette liberté ? 2 pistes peuvent alors s’ouvrir : 1). On prend la question au pied de la lettre : de quoi la liberté est-elle un moyen, une condition ? - La liberté peut être une condition du bonheur, compris comme souverain bien. C'est une idée avancée

LA N°1 Fables de Jean de la Fontaine Problematiques possibles : En quoi cette fable est elle caracteristique de l’ecriture de la Fontaine ? En quoi peut on dire que cette fable est satirique ? A quoi la Fontaine s’attaque t’il dans cette fable ? Montrer que cette fable est un apologue. ( récit qui a une visée didactique ( qui veut nous enseigner quelque chose) 1er Axe : Un recit distrayant Un recit concis et efficace. _Un octosyllabe pour evoquer la S.I , un alexandrin pour clore le

qui on ote un droit, il ne renonce pas a la liberté s'il se bat pour le récuperer. - Faire son devoir ce n'est pas renoncer à la liberté car le devoir est le propre da la liberté morale = permet d'échapper au déterminisme. (" La liberté c'est obeïssance à la loi qu'on s'est proscrite" Rousseau) Enfin pour Sartre, l"homme est condamné à être libre" III) "Lhomme est condamné à être libre" - L'oxymore présentée ici pose tout le problème. L'homme dans son état de nature est libre, mais

que le cadre du déroulement de l’intrigue romanesque reste et demeure l’Afrique. Dans les sociétés africaines, le nom est cette réalité ethnolinguistique par laquelle on désigne quelqu’un. Ce nom marque le porteur et l’influence. Du moins, c’est ce à quoi nous assistons avec les personnages des contes africains et quelques fois même dans la société. Mais nous constatons ici, dans le roman que c’est juste quelques personnages (Klobo, Agbozo, Goudjèman, Langnon, Assahou, Gouton ) qui portent des noms

HEROS TRAGIQUE | |Grandeur d’âme : issu de la noblesse, il en partage les valeurs élevées : sacrifice, don de soi, service, courage, obéissance, | |loyauté. Il espère obtenir la gloire, par sa fidélité au sens de l’honneur, valeur suprème. (L’anti-héros, au contraire, sacrifie | |tout à ses intérêts).

dépourvue de sens, à quoi bon posséder la liberté puisqu'il n'y a pas de choix à faire ? On ne peut être libre qu'en s'opposant aux lois, mais sans opposition la liberté perd tout son sens. On peut donc se demander si la loi est un obstacle à la liberté. La contrainte accroît-elle ou supprime-t-elle la liberté humaine ? » L'homme accepte d'obéir à ces lois même si elles le désavantagent personnellement car celles-ci vont au profit de la majorité de la société. Cette obéissance ne serait alors pas