C Est Quoi L Obéissance

L'obéissance est-elle nécessairement contraire à la liberté ? Dans les sens propres des termes, les mots liberté et obéissance signifient respectivement le pouvoir de faire ce que l'on veut sans subir la contrainte de quelqu'un ou de quelque chose, et le fait d'être soumis à la volonté d'autrui, donc suppose un état de contrainte acceptée ou non. Ainsi obéir et être libre semblent tout à fait contradictoires. Mais si la liberté est le contraire de l'obéissance, alors doit-on en conclure que pour

Troisième République [doc. 3 et 4 p. 35] 2. A quels grands principes font-elles références [doc. 3 p. 13]? 3. Doc. 1. p. 33. Questions du livre. 4. En quoi consiste le principe de laïcité ? Qu’est-ce que l’anticléricalisme [vocabulaire p. 36]? 5. Quelles sont les deux grandes étapes de laïcisation de l’Etat [docs. 2 et 3 p. 37 et doc. 1 p. 38]? 6. En quoi l’Ecole laïque est-elle, d’après le document ci-contre, une école de démocratie et de liberté ? A quel autre type d’enseignement, qui rejette la

distinguer vérité formelle (validité) et vérité matérielle: un discours contradictoire peut-il être pris au sérieux? En quoi l'impossibilité d'une expérience cruciale marque-t-elle l'échec de l'effort pour conforme vérité formelle et vérité matérielle? Si cette confusion est impossible l'hypothèse doit-elle être nécessairement être rationnelle: =>Être libre par rapport à quoi? Par rapport aux appétits? Relier la conscience morale, la bonne volonté, l'impératif catégorique: en insistant sur la libération

complètement insensé. Il reproche également à sa femme son admiration pour Trissotin, qui ne lui inspire pas confiance. Il en arrive à parler du mariage d'Henriette et Philaminte annonce qu’elle projette de lui donner Trissotin pour époux, ce à quoi Chrysale ne sait pas quoi répondre Il n’ose pas lui parler de ses propres projets de mariage. Quand Ariste reparaît, il ne veut pas admettre qu’il a échoué Il prend cependant la décision de dominer sa femme.  A l’acte troisième, Trissotin épate de tout son

prévoit entre autre de se rapprocher des administrés par le biais de représentants de l’Etat mais aussi de collectivités territoriales qui ne dépendent pas directement de l’Etat. En effet même si les représentant nommée par l’Etat sont aussi sous son obéissance, les collectivités territoriales elles sont élus par les administres et ne sont pas sous l’obéissance de l’Etat. Nous pouvons donc nous demander si cette décentralisation ne va pas à l’encontre du maintien de l’unité de l’Etat. Nous verrons donc

répartition des richesses. ⎝ Bornes du sujet : « Entre-Deux-Guerres », c’est à dire de 1918 (fin de la 1re Guerre Mondiale) à 1939 (début de la 2e Guerre Mondiale). - Problématique : Dans ce devoir, nous allons répondre à la question suivante : « En quoi les régimes totalitaires fascistes et nazis ont-ils des modes de gouvernement contraires aux principes démocratiques et comment ceux-ci encadrent-ils totalement la société et la population de ces deux pays ? » - Annonce du plan : Nous proposons

dit « l’élu de Dieu ». Dans le royaume, les habitants sont considérés comme les sujets du roi, c'est-à-dire qu’ils sont soumis à sa volonté : ils lui doivent une obéissance absolue. Problématique : En 1789, c’est Louis XVI qui dirige le pays. En 1804, Napoléon Bonaparte proclame l’Empire. Que c’est-il passé entre ses deux dates ? En quoi cette période marque-t-elle une rupture dans l’histoire politique, économique et sociale de la France ? Quelles sont les nouvelles idées à l’ origine de la révolution 

Sur quoi repose le pouvoir de ceux qui nous gouvernent ? PLAN 1. la justification du pouvoir et ses instruments. A. la justification du pouvoir. B. Les instruments du pouvoir. 2. les sources de la légitimité du pouvoir A. pouvoir et légitimité B. pouvoir, légalité et légitimité intro : Le pouvoir politique est un type de pouvoir qu'une personne ou un groupe de personne exerce dans une société. Il existe de nombreuses façons d’exercer un tel pouvoir, la plus évidente étant celle

conclusion. II Etudier la problématique du sujet 1) La réflexion à engager La ptiq est donnée par le sujet, c’est le pb auquel la q posée invite à se confronter, ce à quoi le sujet veut faireb réfléchir. Il faut y répondre. 2) Ex 1 : faut-il tjs obéir à la loi ? Reformulation : la loi a un caractère obligatoire donc obéissance Mais exceptions ? Si oui qu’est-ce qui les fonde ? III Choisir la thèse à dvper 1) Le sujet vous demande de vous déterminer par rapport à une thèse Trois positions

faire parce que la force est une puissance dite naturelle et que c’est cette nature qui est la norme universelle de ce qui est juste. - Une obligation : Une obligation est ce à quoi je ne suis pas contraint mais que je me sens moralement tenu de faire ou de ne pas faire. - Une contrainte : Une contrainte est ce à quoi je ne peux pas échapper, ce qui ne dépend pas de ma volonté. 2) Comment la notion de droit naturel a-t-elle pu être rejetée ? Comment peut-on au contraire tenter de la défendre