C Est Quoi L Obéissance

PHILONote :Commentaire :A quoi devons-nous obéir ? Emile Zola écrit, dans J’accuse … !  ; « Qui dit discipline dit obéissance. » La notion d’obéissance renvoi, en effet, assez souvent à celle d’ordre, de règle, de loi, elle suppose une hiérarchie entre celui qui demande ou ordonne l’obéissance, et celui qui obéis. Elle peut être définit de manière générale, comme le fait de faire ce qu’on nous a demandé ou ordonné. Mais qui est ce « on » qui fait appel à notre obéissance ? Car devons-nous

donne-t-elle plus de contrainte que de plaisir à respecter des ordres qu’on a l’habitude de répondre car c’est dans notre culture ? L’obéissance semble avoir ses limites, par respect pour autrui elles sont approuvées mais au fil du temps, cette obéissance ne peut-elle pas devenir lassante ? Ne devient-elle pas une contrainte ? Ou a-t-elle toujours était une contrainte qui se fait de plus en plus ressentir au fil du temps quand la liberté se perd ? L’obéissance est-elle plus dure à accepter quand

de Philosophie : L´obéissance à l´État est-elle toujours une obligation ? L´obéissance politique est-elle toujours un choix ? Lorsqu´on est obligé de faire quelque chose on peut le faire ou pas à la suite d´un jugement sur l´affaire en question. De l´autre part, si on est contraint de quelque chose il n´y a aucun jugement, on est soumis à la contrainte. La société s´organise en base d´une obéissance générale à un État qui détient le pouvoir. On peut penser que cette obéissance n´est pas une contrainte

n'avait-elle pas obéi" que sur le manque d'autorité qui m'avait caractérisé. Cette question a été une des premières réflexions de mon stage, et, avec l'aide de l'éducatrice spécialisée, j'ai pu la décliner: * Pourquoi, comment se fait-on obéir? A quoi obéit-on? * Quelles sont les motivations d'autrui à obéir? A désobéir? * Quelles sont les limites à l'obéissance? Ce questionnement a directement nommé le concept sur lequel j'allais travailler, sans même me soucier de son pendant inhérent

résistance de l'esprit et l'obéissance des lois. Par ces deux vertus le citoyen assure l'ordre et assure sa liberté dans la société où il vit. Sa thèse repose donc sur le rapport de la liberté au pouvoir, la liberté du citoyen et le pouvoir de l’État. En quoi ces deux vertus sont-elle liées ? Il expose cette thèse dans cet extrait à travers deux parties que nous allons analyser. D'une part Alain nous parle de la corrélation de l'ordre et de la liberté et d'un autre il aborde une autre corrélation mais cette

CITOYENNETE ET OBEISSANCE Introduction Originellement liée à la démocratie dont elle est l’un des « rouages » essentiels, la citoyenneté moderne est néanmoins l’aboutissement d’une succession de conceptions. Par ce que représente la citoyenneté, c’est la question du fondement de l’autorité politique qui est soulevée, et par là même de son obéissance. Le civis romanus était défini en terme de statut juridique. La citoyenneté athénienne était l’expérience du primat du citoyen grec

; -entre l’esclavage physique et moral (cf Epictète ), - entre la liberté et la licence (Platon) ; - entre l’obéissance passive, ignorante et l’obéissance réfléchie, raisonnée (qu’ele soit obéissance aux principes que l’on se donne à soi-même par sa raison, donc obéissance à soi-même ! ou qu’elle soit obéissance aux lois dans un Etat démocratique et toute vie en société digne de ce nom) ; - entre la contrainte subie et l’obligation choisie ; - entre le plaisir sensible, immédiat ou pulsionnel (Calliclès)

à la loi de la gravitation : mais est-ce qu'une telle obéissance prend la forme d'un devoir ? J'obéis bien à la loi du plus fort, lorsque je suis contraint : mais, de même, puis-je parler de devoir ? Dans les deux cas, il semblerait bien saugrenu de parler de devoir. Ainsi, en définissant le devoir uniquement comme le fait d'obéir à une loi, ne risque-t-on pas de le confondre avec une soumission aveugle ? Par conséquent, la simple obéissance à une loi ne suffit pas à définir le devoir. Mais, si

La thèse de ce texte prend l'aspect d'un paradoxe, puisqu'Alain défend l'idée que les deux caractéristiques normalement opposées de résistance et obéissance sont deux vertus citoyennes qu'il faut concilier pour trouver le juste équilibre politique. Ce qu'il faut comprendre est que l'équilibre politique dépend de ce savant dosage entre obéissance et résistance, ce qui ne peut être obtenu que si le citoyen possède un esprit critique qui lui permet de juger des lois. En ce sens, il résiste ou obéit

liberté. L’homme obéissant peut sentir le poids des chaines peser sur lui. Obéissance et liberté ne semblent pas compatibles. Tout semble opposer liberté et obéissance, pourtant qui aujourd’hui fait ce qu’il veut ? L’homme, cet animal social s’est intégré dans la cité, la « polis » et pour survivre en a accepté les règles, les codes, les lois. Par ce fait est-il vraiment libre ? Est-il possible d’allier liberté et obéissance ? Un homme libre peut-il obéir ? Dans un premier temps nous verrons que