C Est Pas Moi Je Le Jure Comparaison

je vais sur la jetée (…) je suis déjà de l’autre côté »· Comparaison avec la corde qui tire· Image du vertige 3- Une maladie, un envoûtement, une folie· Gradation : folie, vraie maladie, un sorcierII- Une situation douloureuse et impossible à résoudre : une forme de Destin ? A- Le chant d’amour de Fanny, source de souffrance et inéluctable 1- La jalousie« je te jure qu’il n’y a pas de femme qui ait de ‘importance dans ma vie »« il

des textes. Travaillez sur votre cahier. Répondez aux questions suivantes: 1. Qui est positif et ouvert? 2. Alceste est chouette; cela veut dire qu´il est timide ou qu´il est sympa? 3. Dans quel portrait trouvons-nous des qualités sous forme de comparaison? 4. Quel personnage exprime ses goûts? 5. Quel sentiment inspirent les bénévoles? Quels adjectifs justifient ce sentiment? Voulez-vous lire d'autres portraits littéraires? Visitez : http://www.lille.iufm.fr /passages/article.php3?id_article=162

obligatoires. En ce sens, il est tout à fait particulier car il ne prescrit pas et donc, il n’est pas un ordre juridique. Il est plutôt une science, une discipline. Pour être plus exact, plutôt que de parler de droit comparé, il faudrait parler de comparaison des droits. Néanmoins, tous ceux qui font du droit comparé continuent à parler de droit comparé, bien qu’ils reconnaissent que l’expression est impropre. L’étude du droit comparé couvre deux domaines: l’étude des droits étrangers eux-mêmes.

dommage et quel grand malheur [...] », « […] voyez comme le hasard me contrarie ! », « Moi qui allais l'aimer ». Octave intrigué par ces paroles demande a Marianne de certifier ses dires : « En vérité ! » Elle continue son ironie par un « Oui » puis elle jure « Sur mon âme » en expliquant que si il avait persisté dimanche au plus tard elle aurait été sienne « ce soir ou demain matin, dimanche au plus tard, je lui appartenais ». Elle le critique au passage en disant que son amour ne pouvait pas être vrai

nous allons voir l’axe de la passion qui est présent dans l’extrais et la manière dont l’auteur la mise en valeur pour exprimer la passion de l’un des personnages. Lorsque le narrateur dit : « Ecoute j’oublie tout. Je ne te parlerai de rien ; mais jure-moi une chose : hc’est que tu vas me suivre » Prosper Mérimée veut faire comprendre par-là que le personnage est prés a tous oublier si sa bien aimé part avec lui dans un autre continent afin qu’ils puissent enfin vivre ensemble leur amour. « Je suis

exemple vous instruise. La pauvreté a ses franchises ; l'opulence à sa gêne. O Diogène ! si tu voyais ton disciple sous le fastueux manteau d'Aristippe, comme tu rirais ! O Aristippe, ce manteau fastueux fut payé par bien des bassesses. Quelle comparaison de ta vie molle, rampante, efféminée, et de la vie libre et ferme du cynique déguenillé ! J'ai quitté le tonneau où je régnais, pour servir sous un tyran. Ce n'est pas tout, mon ami. Ecoutez les ravages du luxe, les suites d'un luxe conséquent

objet * accumulations des verbes d'action * phrases plus longues → énumérations des étapes pour séduire une femme *caractère excessif → rôle des négations → ses désirs *comparaison avec Alexandre le grand *rôle de l'éloquence → images → rythme rapide → phrases complexes THEMES Amour – combat – argumentation – libertinage COMPARAISONS Tartuffe avec son éloquence particulière et son côté séducteur CARACTERISTIQUES STYLISTIQUES 1) exclamations – questions rhétoriques - modalisateurs - négations – exagérations

celui qui écoute son histoire peut s’identifier au personnage car l’événement est raconté à la 1ère personne (je, nous). Un récit épique Le texte est un récit épique, c’est-à-dire très imagé, très visuel, avec des adjectifs qualificatifs et des comparaisons poétiques. Dans le récit d’Enée, le combat se passe de nuit. Il y a un contraste entre la nuit et le feu de l’incendie. C’est très visuel, la couleur chaude rappelle la couleur du sang (cela rappelle la phrase d’Andromaque dans la poésie » Il

première apparition un personnage plus proche de la comédie que de la tragédie. Son langage familier, parfois vulgaire, son attitude risible et la peur panique qui le prend devant le roi le transforme en bouffon. - On n’a pas parlé chef, je vous le jure.(…) Si on parle, ce sera les autres, ça ne sera pas moi.(…) Chef, j’ai deux enfants. Le comique de répétition provoqué par les occurrences du mot « chef » achève le portrait caricatural du personnage. 6. Les thèmes : Les anachronismes : On peut

pour susciter sa pitié. C’est une demande qu’il évoque plusieurs fois : « En ce combat dont je vous parle / Il n’y a d’autre salut qu’en la pitié » (v. 35-36) ; « Il serait temps d’avoir pitié de moi » (v. 47). Le poète lui avoue son amour et lui jure fidélité : « Dame, je ne redoute rien de plus / Que d’être privé de votre amour » (v. 37-38). [§ développant l’analyse de détail du deuxième aspect de l’axe 1] Cette demande s’effectue dans le strict respect des codes de la fin’amor. Ainsi, le