C Est Pas Moi Je Le Jure Comparaison

II ) Regard ironique de Molière A ) Les figures de rhétorique - Grossissement d’énumérations, d’accumulation (rhétorique du rire) : « Son mari, son chef, son supérieur et son maître » (v. 712) B ) Discours confus d’Arnolphe C ) Comparaison entre Arnolphe et Dieu TEXTE: ARNOLPHE, assis. Agnès, pour m'écouter, laissez là votre ouvrage. Levez un peu la tête et tournez le visage : Là, regardez-moi là durant cet entretien, Et jusqu'au moindre mot imprimez-le-vous bien

dernières semaines. Au début de l’interrogatoire, la jeune fille ne souffle mot de la visite d’Horace. Puis quand Arnolphe évoque le « jeune homme inconnu » (v. 469), elle avoue la vérité avec naïveté (« Il n’a presque bougé de chez nous, je vous jure », v. 476). Les questions se font ensuite plus pressantes et Agnès raconte en détail sa rencontre avec Horace : les dialogues sont rapportés mot pour mot. Inspiré par la jalousie, Arnolphe poursuit son enquête en multipliant les questions tandis

formule suivante : « Je fais serment sur ce poignard qui punit les parjures de garder jalousement tous les secrets de la vénérable Charbonnerie, de ne pas écrire, graver ou dessiner sans en avoir obtenu par écrit la permission de la Haute Vente. Je jure de secourir dans la mesure de mes moyens mes Bons Cousins et de ne pas attenter à l'honneur de leurs familles. Si je deviens parjure, je me réjouis que mon corps soit mis en morceaux, puis brûlé et que mes cendres soient dispersées au vent afin que

sa tête, devant une glace, le petit bouquet de fleurs d'orange, appelé chapeau de la mariée. FIGARO : Dix-neuf pieds sur vingt-six. SUZANNE : Tiens, Figaro, voilà mon petit chapeau ; le trouves-tu mieux ainsi ? FIGARO : lui prend les mains. Sans comparaison, ma charmante. Oh ! que ce joli bouquet virginal, élevé sur la tête d'une belle fille, est doux, le matin des noces, à l'œil amoureux d'un époux !... SUZANNE : se retire. Que mesures-tu donc là, mon fils ? FIGARO : Je regarde, ma petite Suzanne

le navire : • L’air est en colère : « orageux » au vers 12. Il veut arrêter la progression du bateau. • L’eau s’enfle pour « crever son sein » au vers 13. On aboutit à un sentiment de crainte des éléments. L’auteur fait des comparaisons. Il compare • Les soldats aux oiseaux (vers 3 et 4) • Les rames aux branches (vers 5) • Les voiles au feuillage ( vers 6) La transformation de l’arbre en navire symbolise la complexité de la vie. Rien n’est jamais acquis. L’arbre

« Tiberge parut effrayé de ce raisonnement. Il recula de deux pas, en médisant, de l’air le plus sérieux, que, non seulement ce que je venais de dire blessait le bon sens, mais que c’était un malheureux sophisme d’impiété et d’irréligion : car cette comparaison, ajouta-t-il, du terme de vos peines avec celui qui est proposé par la religion, est une idée des plus libertines et des plus monstrueuses. » Son père : « Asseyez-vous, monsieur, me dit-il gravement, asseyez-vous. Grâce au scandale de votre

(excellent moyen de gagner du temps), insérez la problématique dans votre introduction et la démarche que vous suivrez. DEVELOPPEMENT: détachez-vous de vos notes, regarder le juré dans les yeux et parlez-lui. Vous êtes en train d'argumenter tout de même. CONCLUSION :répondez a la question et faites une ouverture(comparaison ou question relançant le débat) Titre du livre : Les aventures de Télémaque Année de publication : en 1699. (Roi de France à cette époque : Louis XIV) Auteur

représente la principale figure parentale dans la vie de Poil de Carotte. La domination et la cruauté qu’elle exerce sur lui a un impact conséquent, qui entraîne Poil de Carotte à faire une tentative de suicide pour mettre fin à l’enfer qu’il vit : « je te jure [s’adressant à son père] que pas plus tard qu’hier, je voulais encore me pendre. » L’adverbe « encore » montre que ce n’est pas la première tentative de suicide du personnage principal. Pour cause, Madame Lepic le bat, le pince quand il dort, lui cache

narration des événements .   L’espace : Les lieux où se déroulaient les différentes actions sont la mine ,le villages ,les maisons et le roman ne marque pas de pose. Le style : L’œuvre est du style romanesque, la figure la plus fréquente est la comparaison .   Les chemins qui montes C’est l’histoire d’un jeune homme kabyle dont la mère est Française et dont le père est kabyle, qui vis une relation d’amour avec Dehbia dont le père est Chrétien. Une histoire d’amour pas comme les autres, car elle

et de la bourgogne diffèrent en de nombreux caractères. Tout d'abord les températures, la ou le printemps si peu apprécié, tolère des températures ou le “soleil irrésistible chauffe ma peau”, la ou le pré est arrosé d’une “pluie tiède”, Colette ne jure que par la bourgogne et son "tiède et frais après midi de février” où “la neige bleuâtre fond lentement”. Cette même idée transparaît au cours de la phrase "l'arôme sûr qui monte du tapis de feuilles mortes macéré de quatre mois”. On voit ici grâce