C Est Donc être Misérable Que De Se Connaitre Miserable

malfaiteur serait plus misérable que sa victime. Pourquoi? Eh bien, une chose est laide, car elle est désagréable ou défavorable. Sans aucun doute, il est plus agréable d’infliger une injustice que de l’éprouver. Alors, c’est parce qu’elle est plus défavorable que l’action est plus laide. Comment est-ce plus défavorable? N’est-ce pas en commettant une mauvaise action qu’on devient une mauvaise personne? En tuant une personne honnête ne devenons-nous point malhonnêtes? Il est donc plus défavorable, plus

Je me permets aujourd'hui de porter à votre attention, ma lettre concernant votre article sur le romantisme. Vous me permettrez toutefois de ne pas être d'accord avec votre écrit. Je vais tenter de vous en expliquer les raisons. Je crois aux vertus de la discussion. J'espère que vous voudrez bien excuser la longueur de ma réponse. Si je vous suis bien, dans votre article vous reprochez à la littérature romantique d'afficher des larmes éternelles et de mettre en scène des personnages abattus et sans

susceptible, et que la bienfaisante nature avait pris soin d’écarter de lui. Les hommes sont méchants ; une si triste expérience dispense de la preuve ; cependant l’homme est naturellement bon, je crois l’avoir démontré ; qu’est-ce donc qui peut l’avoir dépravé à ce point sinon les changements survenus dans sa constitution, les progrès qu’il a faits et les connaissances qu’il a acquises ? Qu’on admire tant qu’on voudra la société humaine, il n’en sera pas moins vrai qu’elle

Etienne Perrier explique le dessein de cette oeuvre : faire connaître à l'Homme son "état de misère". Dans cet extrait du cent trente-sixième fragment, appartenant à la section "Divertissement" des Pensées, Pascal cherche en effet à nous montrer, à travers ce plaisir illusoire qui nous détourne de notre nature misérable, que l'Homme ne peut accéder au bonheur. Mais comment le philosophe parvient-il à nous convaincre que l'Homme ne peut être heureux, même en se divertissant ? Nous étudierons dans

du langage. Ainsi personne ne peut nier, avoir au moins une fois dans sa vie du faire face à cette barrière, que peut être l’ambiguïté de notre langage ; car si nous pouvons traditionnellement définir le sens des termes que nous utilisons, bien souvent ces définitions rencontrent des limites et nous ne sommes jamais à l'abri des ambiguïté du langage. Donc si les sens peuvent être multiples cela peut bien souvent fortement altérer notre compréhension ou nuire à la clarté de la communication entre

l’homme, l’auteur fait donc preuve d’un certain stoïcisme voire scepticisme. 2. Portrait de l’homme par un humaniste 3.3. Les côtés sombre de l’homme * Etre partagé entre sa condition misérable et son désire de supériorité, Corps/Fiente et son esprit cherche a s’évader et lui permet d’oublier et de garder espoir * Il cherche toujours a connaître mais se fonde souvent sur des erreurs « intelligence(L13 et 21 : Substantif), secret(L16), + VB savoir et connaître » * CL de l’illusion

Biographie de Montaigne : Michel Eyquem de Montaigne naquit en 1533 à Montaigne, comme son père, Pierre Eyquem de Montaigne (qui avait alors 38 ans et mourut en 1568, âgé de 72 ans et tourmenté d'une maladie de pierre à la vessie que devait connaître plus tard son fils aîné). Sa mère s'appelait Antoinette de Louppes [descendante de juifs du Portugal ou de Tolède nommés Lopez]. Il eut comme frères Thomas, seigneur de Beauregart et d'Arsac, Pierre, seigneur de la Brousse et Bertrand de Montaigne.

I. Question corpus Dans ces quatres textes : celui de Stendhal La Chartreuse de Parme, celui de Balzac Une Ténébreuse Affaire, celui d'Hugo Les Misérables et celui de Rambaud La Bataille, nous remarquons plusieurs images de Napoléon. Certaines similaires, d'autres non. Premièrement nous relèverons les images se ressemblant dans les quatres textes. Nous avons l'image de Napoléon étant décrit comme un sauveur :

INTRODUCTION : La conscience peut être définit comme étant le propre de l’homme, donc, la connaissance que l’homme a de lui-même, de ses pensées, de ses sentiments ou encore de ses actes mais aussi du monde qui l’entoure. Elle définit donc ce que l’Homme est : un être capable de penser, de se rendre compte de ses actes et de leurs conséquences. Elle donne à l’homme sa capacité d’analyser, de se juger ainsi que de juger les autres. C’est grâce à cette conscience

manière de vivre en société et d'apprivoiser le monde. 1. L'homme cultivé sait vivre en société -la culture doit permettre à l'homme d'apprendre, et donc de penser librement sa place dans le monde et la société. Connaître une civilisation, dans ses fondements historiques et politiques, facilite l'insertion. Certes l'enfant est éduqué pour être poli, respecter le bien d'autrui,...etc...Mais pour participer vraiment à la vie sociale et politique, il est nécessaire de l'analyser et de la comprendre