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5. Des clés pour comprendre le roman a. Mariama Ba, Ramatoulaye et l’influence de la femme blanche (Germaine le Goff) Quoique Mariama Bâ se soit toujours défendue d'avoir écrit un texte autobiographique (d’ailleurs, leurs vies respectives diffèrent sur plusieurs points), il est indéniable que le discours de Ramatoulaye est teinté de références à la vie de Mariama Ba, surtout celle liée à son expérience personnelle d’ancienne de l'École normale d'institutrices de Rufisque en qui la « femme

l’a-t-il connu ? Pourquoi l’auteur nous fait-il rencontrer ce personnage au début du roman ? 4. Quel est le point de vue adopté dans le roman ? S’agit-il d’une autobiographie ? Justifiez. Expliquez la dédicace du roman p. 7. 5. La première phrase du roman : pourquoi est-elle intrigante ? (On peut remarquer qu’elle dit la vérité du personnage, mais aussi celle du narrateur, voir ci-dessous)  Aux sources du roman : Marc Dugain a voulu raconter, lui qui voguait dans les hautes sphères de la finance

Contrebasse", qui sera jouée pour la première fois à Munich en 1981. Elle sera publiée en 1984. Cette pièce est jouée régulièrement depuis sa création en Allemagne et a été jouée à Paris avec Jacques Villeret, dans le rôle titre. Le Parfum est son premier roman, édité pour la première fois en 1985 à Zurich, sous le titre Das Parfum, Die Geschichte eines Mörders, puis traduit en français par Bernard Lortholary en 1986 avant d'être réédité par Fayard. Il vaut à son auteur un succès mondial. Il a d'ailleurs

Guy de Maupassant en 1885 et se nomme Bel-Ami. Ce roman raconte l'histoire d'un jeune homme arriviste et ambitieux appelé Georges Duroy. Ce personnage va d'ailleurs ce servir des femmes pour réussir et donc progresser dans la société en se servant notamment de son physique qui ne laisse pas les femmes indifférentes. Ce roman naturaliste a pour but dépeindre la société de la 3ème République (1870-1940). Ici, nous sommes à la dernière page de notre roman (Excipit). Il nous raconte le 2ème mariage

notamment publiés dans la Gazette littéraire hongroise. * 1986 : les éditions du Seuil publient son premier roman, largement autobiographique, Le Grand cahier. En France, elle obtient le Prix du Livre européen. Il sera par la suite traduit dans plus d'une trentaine de langues. * 1988 : Les éditions du Seuil publient La Preuve, son second roman. * 1991 : Publication du roman Le troisième mensonge, le dernier tome, qui obtient le Prix du Livre Inter. * 2008 : elle reçoit le prix autrichien

Analyse des termes allemands dans « La Mort est mon métier » de Robert Merle « La Mort est mon métier » est un roman qui traite de l’Allemagne nazie, et plus particulièrement de l’ascension vertigineuse d’un jeune civil allemand (R.Lang) jusqu’au grade de commandant du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz. Ce roman se déroule du début à la fin dans une situation géolinguistique allemande : soit en Allemagne, soit dans un autre pays avec lequel elle eut maille à partir. Mais jamais

Black Beauty est une œuvre littéraire qui est, à l’origine, un roman pour ceux qui travaillent quotidiennement avec les chevaux. Cette œuvre deviendra par la suite un roman de jeunesse destiné aux enfants à partir de 10 ans, elle est écrite par Anna Sewell entre 1871 et 1877 et c’est d’ailleurs l’unique œuvre écrite par cette dernière. Anna Sewell, issu du milieu quaker mais l’accent sur les bons et les mauvais nobles, de plus l’accent est mis sur la religion, en ce sens, il faut respecter

Chedid a déménagé à Paris à l’âge de 26 ans. Ecrivaine d’expression française, elle nous a offert une vaste oeuvre, allant du roman à la poésie, en passant également par le théâtre. Son oeuvre cherche à discuter les questions les plus universelles. La position de l’homme face à Dieu, à l’écoulement du temps et à la mort, ce sont ces sujets qu’elle évoque avec finesse dans son roman Les marches de sable, sorti en 1981. Il raconte l’histoire de trois femmes réfugiées au désert à l’Egypte du IIIe siècle

loin de faire semblable découverte. La réalité ne correspond pas à ce qu'elle a lu dans ses livres. Nous apprenons, par un retour en arrière, l'influence de la littérature, des images et du couvent sur Emma qui s'est délectée de livres pieux, de romans sentimentaux et historiques, de poèmes romantiques. Elle a rêvé devant des images pieuses, des assiettes peintes, des gravures anglaises ou exotiques représentant des scènes d'amour. Charles s'émerveille de trouver en Emma une épouse accomplie, sachant

sentiments humains, il ne montrait d’intérêt que pour les choses de l’esprit. À l’âge de dix-sept ans, entrant à ‘’Trinity College’’, il choisit le français et l’italien comme langues étrangères, se destinant à une carrière de professeur de langues romanes. Il goûta le théâtre vibrant qui fleurissait dans le Dublin d’après l’indépendance, préférant les reprises des pièces de J.M. Synge. Surtout, il put voir des films américains et découvrir les comédies muettes de Buster Keaton et de Charlie Chaplin