Bric Economie

réglementations internationales P.9 CONCLUSION P.10 Table Des ACRONYMES & VOCABULAIRE FMN : Firmes Multinationales PIB : Produit Intérieur Brut CA : Chiffre Affaire IDE : Investissement Direct à l'Etranger Économie d’échelle : Économies réalisées par une entreprise du fait de sa taille, parce que ses différents services peuvent avoir recours à un même service pour telle ou telle tâche ou parce qu’elle peut vendre des produits fabriqués en très grande série. Joint-venture :

les peuples et les systèmes sociaux et productifs. Elle se traduit souvent par un élargissement de la pauvreté, un approfondissement des inégalités sociales et un renforcement des inégalités nord – sud, à l’exception de pays à économie émergente comme ceux constituants les BRIC. Parallèlement à cela les droits sociaux sont très souvent réduits, voir niés et les services publiques sont remis en cause par privatisation. L’action des organisations internationales comme : l’OMC, le FMI, la banque mondiale

quotidien, nous, tout petits pions sur cet immense échiquier. La réponse tient en premier lieu dans un mécanisme dont le seul nom fait peur : le “crédit crunch”, ou crise du crédit. Les banques jouent un rôle fondamental dans le fonctionnement de notre économie. Dans un premier temps, elles prêtent à ceux (individus, entreprises, pays, autres banques…) qui souhaitent investir sans en avoir la ressource. Ensuite, l’investissement réalisé, elles accompagnent ces acteurs qui, pour la plupart, ne sauraient

équipements et accessoires (glaces, sièges, éclairage...). Ces deux composantes principales de l'automobile lui permettent de remplir sa fonction essentielle de mobilité, tout en répondant à des contraintes spécifiques relatives à la sécurité, aux économies d'énergie et au respect de l'environnement. Sur un plan organisationnel, le mode d'agencement de ces différents organes ainsi que leur nature ont permis de faire de l'automobile un produit de consommation de masse dont la fabrication est, de longue

années un taux d’épargne négatif. Le marché des produits dérivés ($500 000 milliards) représente 10 fois d’argent plus que le PNB mondial ($ 50 000 milliards). 4 phénomènes majeurs qui expliquent la crise : * Bipolarisation industrielle des économies développées : les pays dits développés (du Nord, OCDE) ont connu une croissance axée sur le développement d’une part des industries à forte VA, symboliquement les NTIC et d’autre part, sur des services à faible VA (services à la personne). La production

Problématique : Comment expliquer la mise en place de la mondialisation actuelle depuis le milieu du XIXème s. et la nouvelle hiérarchie des puissances qui en a résulté ? I – Croissance et mondialisation depuis 1850. Quelles sont les mutations des économies mondiales depuis le milieu du XIXème siècle ? A) Le démarrage d’une forte croissance économique au milieu du XIXème s : * Qu’est-ce que la croissance économique ? La croissance est une augmentation de la production d’un pays et de

le franc est dévalué tous les 6 mois et le franc belge. Le SME a permis de se mettre à l’abri des Etats-Unis et d’éviter un désastre. La monnaie est un révélateur de l’économie. L’ECU fait apparaître en Europe des économies dynamiques : l’Allemagne et les Pays-Bas et des économies en retard : la France, l’Italie et le Royaume-Uni. III) De l’acte unique à Maastricht (1984-1992) F) La relance des années 80 13) « L’eurosclérose » et l’entrée de l’Espagne et du Portugal

les peuples et les systèmes sociaux et productifs.. Elle se traduit souvent par un élargissement de la pauvreté, un approfondissement des inégalités sociales et un renforcement des inégalités nord-sud à l'exception de pays à économie émergente comme ceux constituants les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine). Parallèlement à cela, les droits sociaux sont très souvent réduits voire niés et les services publics sont remis en cause par privatisation. L'action des organisations internationales comme l'OMC

plus près, on remarque que la majorité de cette croissance proviendra, selon les anticipations, des pays émergents et notamment des pays asiatiques avec 6.3% de croissance prévue en 2013 contre 1.1% pour les économies avancées. On remarque que ces prévisions tournent toujours en faveur du bloc BRIC qui, malgré un sensible ralentissement, possède le potentiel de croissance le plus pertinent. Les indices de la consommation et de l’investissement vont croitre de manière très calme mais a un rythme stable

rimé avec firme (nord)-américaine ou (ouest)-européenne. Longtemps ce terme a aussi rimé, pour nombre de critiques de gauche, avec «pays du Nord», tant il y avait adéquation entre intérêt des territoires économiques et de leurs entreprises dans une économie mondiale encore très largement fermée jusque dans les années 1970 – il faudra en effet attendre cette décennie pour connaître à nouveau le taux d’ouverture mondial de 1913. Epoque où ce qui était «bon pour General Motors» était «bon pour l’Amérique»